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Vie conjugale

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Quand l’amour révèle un retour à Soi


L’élan vers la fusion : mémoire d’unité

Sur le chemin de l’éveil, de nombreuses femmes, et certains hommes sensibles, font l’expérience d’un appel profond à fusionner avec un autre être. Ce n’est pas un simple désir affectif, ni une projection romantique. C’est un frémissement de l’âme qui se rappelle, au plus intime, ce qu’elle a toujours été : Un

Dans cet élan, la relation n’est pas là pour combler un manque, mais pour révéler une origine perdue de vue.

« Elle venait tout juste de le rencontrer, mais une sensation de familiarité l’a traversée comme un choc : elle le connaissait, sans doute ailleurs, avant, ou sur un autre plan. Tout en elle voulait s’ouvrir, s’unir, se fondre. Et pourtant, il n’y avait aucune histoire encore entre eux. »


L’autre comme miroir sacré : la projection de l’anima/animus

Selon Carl Jung, chaque être humain porte en lui une polarité intérieure inconsciente :

  • L’anima, féminin intérieur chez l’homme
  • L’animus, masculin intérieur chez la femme

Quand l’un rencontre l’autre dans la matière, l’attirance peut être fulgurante… parce que l’autre reflète une part de soi non encore intégrée.

Ainsi, l’intensité émotionnelle ressentie n’est pas « personnelle ». Elle est souvent le signe que quelque chose d’essentiel en nous cherche à émerger à travers cette rencontre. Allez à sa rencontre.


L’amour vibratoire : quand l’énergie précède la relation

Sur le chemin d’éveil, la “relation” commence bien avant les mots, les gestes ou le contact. Parfois, une simple pensée suffit à activer une fréquence.

« En pleine méditation, alors qu’elle pensait à lui sans intention particulière, elle sentit une vague d’énergie monter du cœur jusqu’à la gorge. Comme si leurs champs se rejoignaient, au-delà de toute distance. Pas de mot, pas de contact. Juste la sensation d’être ensemble dans l’invisible. »

Ces états de fusion vibratoire peuvent être troublants… voire bouleversants. Ils appellent à rester présent à l’intensité sans chercher à la posséder ou à la nommer. Car ce qui s’ouvre là, c’est une porte vers le Soi, pas une promesse relationnelle extérieure.


Le retournement vers Soi : la vraie fusion

La fusion tant recherchée avec l’autre devient, tôt ou tard, impossible à maintenir à l’extérieur. C’est là que se révèle le véritable enseignement :
Ce n’est pas l’autre que je cherche…
C’est moi, dans ma Plénitude, Complétude, libérée du sentiment de manque et de la séparation.

« Pendant des mois, elle a cru qu’il était « l’élu ». Elle attendait qu’il revienne, qu’il comprenne. Mais au fil du silence, une autre voix s’est levée en elle : « Et si c’était vers toi que tu aspirais à revenir ? » Ce jour-là, elle a compris que ce qu’elle aimait tant chez lui… c’était la partie d’elle-même qu’il reflétait. »


De la dépendance mystique à l’amour non duel

L’éveil spirituel nous conduit à reconnaître l’autre non pas comme une source d’amour, mais comme un écho du Soi.
Il n’y a plus de fusion à obtenir, ni de lien à sécuriser. Seulement une Présence – Conscience, qui accueille tout ce qui est là, y compris l’Amour, le manque, la beauté et la perte.

Ce que je ressens à travers toi… est en réalité ce que JE SUIS.


Que faire quand on ressent cet appel à la fusion ?

  • Ne vous précipitez pas vers l’autre : Restez à l’écoute de ce que vous vivez, ressentez.
  • Honorez l’intensité vibratoire de cette reconnexion sans chercher à la nommer ou à la valider.
  • Laissez l’Amour vous brûler, vous transformer, vous élargir… sans forcément qu’il devienne une relation.
  • Revenir au Soi : ce que vous ressentez de divin chez l’autre… est déjà là, en vous.

Pour aller plus loin : être accompagné(e) dans cette traversée

Il n’est pas toujours facile de traverser ces espaces d’amour mystique, d’éveil émotionnel ou de bascule vibratoire seul(e).
Si vous vous sentez appelé(e) à déposer, comprendre, ou intégrer ce que vous vivez dans la sécurité d’un espace profond et sensible, Anaïck Vaillant, Révélatrice du Soi, propose un accompagnement sur-mesure, ancré dans la Psychologie des profondeurs, la vision non duelle, et l’écoute vibratoire du cœur.

Vous pouvez découvrir l’accompagnement et prendre contact.

Un simple pas vers vous-même, dans l’ouverture et la Conscience.

Comment se fait-il que le cœur d’une femme consciente se retrouve si souvent en résonnance avec un homme encore endormi à lui-même ?

Malgré les prises de conscience, le lien semble rester flou, bloqué ou instable.
Et pourquoi, certaines femmes en viennent même à rejeter ceux qui l’aiment pourtant sincèrement ?

La réponse se trouve souvent au-delà des apparences, dans les profondeurs invisibles de notre psyché.

Carl G. Jung a mis en lumière une vérité fondamentale : nous portons tous, en nous, une polarité intérieure opposée.

  • Chez la femme, cette polarité prend la forme de l’animus : un masculin intérieur qui pense, structure, oriente, dirige.
  • Chez l’homme, c’est l’anima : un féminin intérieur qui ressent, inspire, aime, relie.

Ces figures ne sont pas juste symboliques, elles influencent nos pensées, nos attirances, nos blocages, nos choix de partenaires, bien souvent de façon totalement inconsciente.

Or, si l’anima blessée chez l’homme peut provoquer de la peur de l’intimité ou une fuite face à l’amour authentique (comme exploré dans l’article précédent), l’animus blessé chez la femme joue, lui aussi, un rôle central dans ses relations.

Il agit en souterrain, par les voix intérieures, les jugements, les exigences mentales et guide parfois à notre insu nos élans, nos choix, et même… nos ruptures.

Dans cet article, explorons ensemble ce « masculin intérieur » chez la femme, souvent méconnu : l’animus. Comment il se construit, comment il agit, et surtout… comment le réconcilier pour vivre des relations plus conscientes, justes et apaisées ?


L’animus : le masculin intérieur de la femme

C.G. Jung décrit l’Animus comme un phénomène psychique vivant, fait d’idées, de convictions, de voix intérieures et de figures masculines intégrées depuis l’enfance. Pour la femme, il se construit :

  • à travers l’image du père,
  • les premiers amours,
  • les figures masculines culturelles (héros, maîtres, chefs…),
  • mais aussi… par les blessures liées au masculin.

L’animus peut être soutenant, clairvoyant, créateur.
Mais lorsqu’il est blessé ou mal intégré, il devient critiquant, exigeant, ou fermé au lien.


Quand l’animus prend le pouvoir : ses formes blessées

Un animus blessé chez le féminin se manifeste de façon parfois subtiles :

  • Idéalisation de la figure masculine : l’homme « devrait être plus fort, plus sûr, plus initié…”
  • Aspiration carriériste forte : importance donnée au travail, ambition, matérialisme, argent, réussite
  • Exigence mentale : Manque d’écoute du ressenti / corps, priorité à la tête, tout est analysé
  • Difficulté à accueillir la dimension de l’Etre : vulnérabilité, sensibilité, intuition, capacités subtiles
  • Rejet vis à vis du masculin : méfiance, froideur, contrôle relationnel
  • Confusion affective : attirance répétée pour des hommes émotionnellement indisponibles

Dans ces cas-là, ce n’est pas l’homme extérieur qui bloque ou empêche la relation… mais la figure masculine que la femme à intériorisée.


Vers une Alliance sacrée : apprivoiser son « animus »

Apprendre à reconnaître et à transformer l’animus pour une femme, c’est entamer une véritable alchimie intérieure. Cela commence par :

  • Identifier les croyances inconscientes portée sur les hommes (ex. : « aucun ne peut me comprendre », « on ne peut jamais compter sur eux », « il faut que je sois forte », « l’amour n’existe pas ou fait souffrir »),
  • Ecouter les voix intérieures qui jugent ou ferment (la voix du père, de la mère dénigrant le père, d’un ex, de l’autorité…),
  • Et ainsi pouvoir enfin guérir le lien au masculin, en soi d’abord.

Un animus conscient devient alors un allié précieux :

  • il aide à poser des limites avec clarté,
  • il soutient les projets, les élans de vie créateurs,
  • il ouvre à une relation plus juste, équilibrée et aimante avec les hommes

Quand l’amour extérieur reflète l’état intérieur

Une relation amoureuse difficile ne signifie pas – “je ne suis pas aimée ou aimable” – la plupart du temps, elle vous montre ce qu’il reste à guérir en vous.

Quelques exemples :

  • J’attire des hommes absents ou fuyants → Masculin intérieur déconnecté des besoins émotionnels profonds, ou j’ai intégré l’idée qu’il est dangereux d’être pleinement vue
  • Je repousse les hommes doux ou stables → Animus blessé valorisant l’intensité, le drame ou l’effort, et rejetant ce qui semble trop simple ou sain
  • J’attends un homme “idéal” → Animus ayant figé un modèle irréel, exigeant, souvent basé sur des croyances inconscientes (ex : “il doit être spirituel, fort, riche, sensible, et me deviner sans que je n’ai besoin de parler”)
  • Je tombe toujours sur des hommes immatures ou dépendants → Animus non soutenant dans la souveraineté intérieure et je prends inconsciemment le rôle du masculin fort pour compenser
  • J’ai peur de l’engagement → Animus enseignant que liberté et amour sont incompatibles ou que s’ouvrir serait se mettre en danger
  • J’ai souvent le sentiment d’être en compétition avec les hommes → Animus agissant en mode guerrier ou protecteur extrême, ce qui ne laisse pas de place à la co-création relationnelle.

Réaliser cela ne doit pas vous culpabiliser mais permettre de vous libérer : la rencontre extérieure n’est que le reflet d’un dialogue intérieur (pensées crues).


Accueillir le Masculin Sacré en Soi

Guérir l’animus, ce n’est pas “travailler sur soi pour attirer l’autre”, c’est retrouver un équilibre intérieur, réunir les parts masculines et féminines en soi et gouter une paix profonde, une solidité douce.

C’est être capable d’aimer sans se sacrifier, de s’ouvrir à l’autre dans la relation sans se perdre, d’accueillir le lien sans en dépendre.

C’est aussi permettre à l’homme de faire connaissance avec un féminin aligné, qui n’attend pas d’être sauvé, mais d’être rencontré pleinement.


Etre accompagnée pour aller se rencontrer

Si tu ressens que ces dynamiques te parlent, que ton rapport aux hommes semble bloqué, ou que tu sens en toi un masculin intérieur exigeant, critique ou épuisé, sache que tu peux transformer ce lien.

En tant que professionnelle expérimentée de la relation, je propose des accompagnements pour t’aider à écouter l’animus, comprendre les blessures de l’ego, et cheminer à tes côtés vers une relation intérieure apaisée. C’est la condition essentielle pour que tu puisses t’épanouir dans des liens amoureux sains et conscients.

Pour réserver une séance, tu peux prendre contact avec moi. Au cabinet de Rezé (Nantes sud) ou en séance à distance, je t’accueillerai avec joie, douceur et une écoute sincère et profonde.

Dans certaines rencontres, la femme peut sentir subtilement qu’elle touche un homme bien au-delà des apparences. Son regard s’attarde, sa présence devient nerveuse, un flottement s’installe entre les mots. Elle ne comprend pas toujours ce qu’il vit, mais quelque chose en elle sait : elle a réveillé une zone sensible qu’il ne maîtrise pas.

Et parfois, l’homme se retire. Il disparaît, il doute, il rejette, ou bien il revient avec un regard plus profond… sans jamais vraiment pouvoir poser des mots sur ce qu’il traverse.

La psychologie Jungienne nous aide à comprendre ce qui se joue dans l’invisible, la part inconsciente : la femme a touché l’anima de l’homme. Et si cette anima est blessée, le choc peut alors être intense.


L’Anima : le féminin intérieur de l’homme

Carl G. Jung a mis en lumière une idée essentielle : en chacun de nous vit une polarité opposée.

  • Chez la femme, c’est l’animus : une forme masculine intérieure, faite de pensées, de directions, de principes d’action.
  • Chez l’homme, c’est l’anima : une présence féminine intérieure, qui contient la sensibilité, la créativité, l’intuition, l’amour, la vulnérabilité…

Mais ce féminin n’est pas toujours intégré. S’il a été blessé dans l’enfance, dénigré par la culture, humilié dans l’histoire familiale, il devient alors une zone fragile. Et lorsque le féminin puissant d’une femme vient en réveiller l’écho… c’est souvent trop.


Ce qu’une femme réveille, sans le vouloir

Une femme pleinement connectée à elle-même, son cœur, ses sensations, son intuition, sa vérité, peut représenter une figure archétypale forte pour l’homme :
Elle n’offre pas seulement ce qu’elle est, elle devient miroir de ce qu’il n’a pas encore reconnu en lui.

Cela peut éveiller :

  • une attirance puissante,
  • un magnétisme,
  • un profond respect,
  • mais également… une peur immense.

Car ce féminin, en lui, dort. Ou pire : il est profondément blessé, enfoui.


Les formes que prend l’Anima blessée chez l’homme

Quand l’anima est blessée, l’homme peut :

  • idéaliser la femme : la mettre sur un piédestal, puis la rejeter quand elle montre son humanité, sa vulnérabilité
  • avoir peur de l’intimité : il fuit la relation quand elle devient profonde
  • projeter inconsciemment ses blessures passées sur elle (mère intrusive, ancienne compagne, figures d’abandon)
  • ressentir un tiraillement intérieur : entre désir d’ouverture et peur de se perdre, d’être démasqué.

Il ne s’agit pas d’un manque d’amour, mais d’une blessure d’âme (le Soi individualisé) qui cherche à guérir, parfois à travers la douleur que fait émerger le lien.


Ce qui se joue en profondeur : une initiation masculine

Dans les traditions anciennes, rencontrer l’Anima était vu comme une épreuve initiatique pour l’homme. Il devait faire face à sa propre vulnérabilité, entrer dans l’inconnu, accueillir ses émotions, ses sensations et traverser ses ombres.

Aujourd’hui encore, les femmes sont bien souvent des initiatrices dans la relation de couple, bien souvent sans en avoir conscience. Elles éveillent cette part enfouie, elles réveillent le souvenir d’un lien plus vaste, plus vrai, plus sacré.

Mais ce chemin du retour à Soi ne peut être forcé. Il demande de la patience et du courage. Et surtout, il est indispensable qu’il vienne de l’élan du cœur de l’homme lui-même.


Quels comportements adopter en tant que partenaire féminine ?

Il est important qu’elle ne porte pas à la place de l’homme ce qu’il n’est pas encore prêt à accueillir, au risque de se transformer en « sauveuse ».
Elle est plutôt incitée à :

  • honorer ce qu’elle a perçu, ressenti, sans se perdre dans une attente interminable et souffrante,
  • respecter son propre rythme, sans se diminuer,
  • offrir sa lumière, sans imposer sa présence,
  • s’abandonner à la Vie et faire confiance.

Si l’homme est prêt, il reviendra naturellement vers elle.
Si l’homme reste en résistance, il cheminera ailleurs, mais ce qu’elle aura permis d’éveiller, continuera à vivre en lui, à son insu.


Le lien d’âme : un véritable miroir de guérison

Lorsqu’une femme réveille « sans le vouloir » l’anima blessée d’un homme, elle ne le fait pas pour le « sauver ». C’est sa Présence, sa Vibration, sa Vérité qui est à l’oeuvre.

Elle devient pour l’homme le miroir d’un féminin intérieur oublié, parfois nié, souvent souffrant.
Et même s’il ne peut pas (encore) le voir, quelque chose en lui a été transformé.

Il est vraiment précieux de reconnaître et d’honorer ces dynamiques invisibles. Parce qu’elles nous montrent combien certaines rencontres, loin d’être de simples « hasards », sont bien souvent des appels profonds de l’âme (le Soi individualisé) à guérir, à se retrouver pour être en capacité de trouver sa complétude et d’aimer d’un amour plus vrai dans la relation de couple.


Accueillir ce qui se réveille en soi

Si cette lecture résonne en toi, si tu sens que certains liens t’ont bouleversée de manière significative ou ont réveillé en toi des zones de doute, de souffrance ou d’intuition profonde, il est peut-être temps d’écouter ce que ton âme cherche à te dire à travers ces rencontres.

En tant que Révélatrice du Soi, je t’accompagne (au cabinet de Nantes sud ou à distance) dans cet espace subtil, là où la parole, les symboles et les ressentis s’unissent pour mettre du sens sur l’invisible, sur ce que l’on appelle communément l’intuition.

Ensemble, nous pouvons accueillir ce que ces liens te révèlent de toi afin de te permettre d’avancer avec plus de conscience, de clarté et de confiance en toi.

👉 Tu peux m’envoyer un message directement sur la page de contact ou m’appeler si tu sens l’envie d’un accompagnement « sur mesure » si cette thématique fait écho en toi.

La présence ne se crispe t’elle pas sous l’envie de comprendre ?

Il est très précieux d’avoir l’envie d’écouter, d’être un(e) partenaire attentif.ve, concerné(e), aimant(e).

Mais parfois, cette belle intention se transforme en tyrannie. Elle devient trop – trop présente – trop pressante – trop sur le qui-vive – trop en alerte émotionnelle.

Et au lieu de nourrir le lien, elle finit par l’étouffer.

Avez-vous déjà senti que, malgré votre écoute sincère, l’autre se referme de plus en plus ?
Qu’au lieu de créer de l’intimité, l’intérêt que vous portez à l’autre, les questions l’éloignent subtilement ?
Que dans votre désir d’être attentive, d’aider parfois, vous prenez sans le vouloir une place de thérapeute… au lieu de rester celle de partenaire ?

Dans les relations de couple conscientes, cette frontière est parfois floue. Et pourtant, essentielle.


Curiosité affectueuse ou intrusion déguisée ?

L’écoute véritable ne cherche pas à « savoir » – elle cherche à « être avec« .
La sur-analyse cherche à comprendre, anticiper, dénouer, prévenir. Elle veut tout capter, tout décrypter, souvent par peur.

Quelques signes de bascule entre écoute active et sur-analyse :

  • Vous posez des questions en chaîne sans laisser d’espace vide
  • Vous cherchez le « pourquoi » au lieu d’accueillir le « comment tu te sens »
  • Vous avez du mal à tolérer les silences ou les non-réponses
  • Vous interprétez en permanence ce que l’autre dit… ou ne dit pas
  • Vous ressentez une tension intérieure quand l’autre ne se livre pas comme vous l’espériez

Ce n’est pas un défaut. C’est une stratégie de contrôle. Une manière subtile de tenter de maîtriser l’insécurité relationnelle, la plupart du temps en lien avec la blessure de trahison.


Quand l’attention déclenche une réactivation inconsciente

Pour certains hommes, la sensation d’être trop écouté, trop observé, trop « ressenti » dans le lien amoureux peut réveiller un souvenir corporel ancien : celui d’une emprise maternelle douce mais envahissante. Une présence constante, saturante, presque affectivement étouffante, vécue dans l’enfance comme une impossibilité à exister par soi-même.

Dans le couple, cette mémoire peut se réactiver face à une partenaire attentionnée, très à l’écoute… mais peut-être trop, installée dans une posture qui peut être légèrement au-dessus, comme si elle savait mieux, sentait mieux, comprenait pour deux. Même si cette posture est bien souvent pleine de bonne volonté, elle peut être perçue, inconsciemment, comme une intrusion dans l’espace vital, une prise de pouvoir sur l’autre.

Et alors, sans comprendre pourquoi, l’homme se ferme, fuyant la parole, repoussant le dialogue, choisissant le repli plutôt que l’intéraction.

Ce n’est bien souvent pas de la mauvaise volonté, mais un mécanisme archaïque et automatique de protection.

Lorsque l’homme en prend conscience et qu’il est en mesure de l’exprimer à sa partenaire, le couple peut alors faire un pas de côté : non pas pour moins s’écouter, mais pour le faire autrement. En s’offrant plus d’espace, plus d’humilité, plus de respect de l’intégrité de chacun.

Et surtout, plus de conscience des vieux récits qui s’invitent dans le présent.


Quand la recherche de compréhension entrave l’intimité

À force de chercher à comprendre, on oublie d’aimer.

L’intimité ne se crée pas par la parole uniquement, elle naît dans les respirations communes, les regards silencieux, dans le fait de se sentir accueilli, sans devoir toujours s’expliquer.

Parfois, vouloir tout savoir de l’autre, c’est lui signifier qu’il n’est pas encore tout à fait compris tel qu’il est ou lui faire sentir qu’on n’arrive pas à lui faire entièrement confiance.

Et cela peut créer :

  • Un retrait émotionnel,
  • Un sentiment d’être sous surveillance affective,
  • Une confusion entre amour et analyse,
  • Une forme de pression à devoir tout livrer pour rassurer l’autre.

Pratiques pour développer une présence détendue

Et si l’amour consistait à simplement être là, sans agenda ni attente de dévoilement ?

Voici quelques pistes pour alléger la relation tout en restant proche et complice :

  • Pratique du silence conscient : S’offrir 5 mn côte à côte, sans échanger, juste respirer ensemble. La présence n’est alors plus liée au contenu.
  • Question unique et vraie : Plutôt que de creuser mille choses, poser une seule question sincère… puis écouter, vraiment, sans préparer sa réponse.
  • Demander le consentement affectif

Ex : Est-ce que tu es disponible pour que je te partage quelque chose de délicat ? ou, à l’inverse : As-tu envie d’en parler ou préfères-tu que je sois juste là, avec toi ?

  • Observer les élans d’analyse : Prendre conscience, sans se juger, chaque fois qu’on cherche à comprendre l’autre au lieu de juste l’écouter, et essayer de rester en silence.

Pourquoi ne pas faire appel à un(e) professionnel(le) de l’accompagnement ?

Thérapeute relationnelle et Coach de vie, Anaïck Vaillant vous offre un espace d’exploration sécurisant et sensible pour :

  • Apprendre à écouter activement, sans se perdre,
  • Se libérer de la posture de « psy » dans son couple,
  • Revenir à une présence authentique et puissante,
  • Redonner à l’intimité relationnelle sa simplicité et sa joie.

Les séances sont ouvertes aux couples comme aux démarches individuelles pour celles et ceux prêts à désactiver les schémas subtils qui empêchent d’aimer librement.

📍 En visio ou en présentiel à Rezé – Nantes sud.


Et si aimer rimait avec lâcher-prise ?

On croit parfois que comprendre l’autre, c’est l’aimer mieux.

Mais aimer, ce n’est pas décoder. C’est être là, sans s’imposer, sans forcer, sans guider.

C’est faire confiance à la relation, même quand l’autre est flou, silencieux, ou en retrait. C’est accueillir qu’il/elle ait ses zones d’ombre, ses peurs, ses lenteurs, ses silences.

Et c’est se demander, honnêtement :

Suis-je avec lui/elle… ou suis-je dans ma tentative de le/la réparer ?

C’est là que commence une autre qualité relationnelle, plus libre, plus vivante, plus vibrante.


Prenez rendez-vous ou contactez-la par mail : contact@anaick-vaillant.fr

Est-ce un silence sourd ou un silence qui en dit long ?

Dans le tumulte de la vie moderne, le silence des hommes intrigue, blesse parfois, questionne souvent. Ce silence, dans la sphère intime du couple, n’est pas toujours vide de sens. Il peut être un refuge, un cri étouffé, un repli archaïque… ou une quête inconsciente d’un espace intérieur encore inexploré.

Et si ce silence n’était pas une absence, mais un appel ?

L’accompagnement proposé par Anaïck Vaillant est nourri de la psychothérapie du lien et des travaux de G. Jung : Ce que l’homme tait n’est pas forcément ce qu’il ne veut pas dire, mais peut-être ce qu’il n’arrive pas encore formuler. L’absence du père, les injonctions au contrôle émotionnel, la peur de l’effondrement… façonnent un masculin en tension, parfois incapable d’habiter l’espace relationnel autrement que par la fuite ou le mutisme.

Et si nous apprenions à décrypter ces silences, au lieu de les combler ?


L’héritage inconscient : un masculin amputé

Carl G. Jung a ouvert la voie à une compréhension profonde des dynamiques psychiques, et notamment du processus d’individuation. Chaque être humain, homme ou femme, porte en lui une polarité masculine et féminine. Pour l’homme, intégrer son anima – cette part féminine intérieure – favorise le chemin vers la complétude. Mais ce chemin est semé d’embûches, surtout dans une société qui valorise encore l’action, la maîtrise et la performance.

Lorsqu’un homme reste enfermé dans le silence, ce n’est pas toujours par indifférence ou désintérêt. C’est souvent le signe qu’il n’a pas encore rencontré sa propre intériorité, qu’il n’a pas appris à nommer ce qu’il ressent, ni à s’autoriser la vulnérabilité.

Et derrière cela, bien souvent : l’absence symbolique ou réelle du père.

  • Père lointain, critique, instable, violent …
  • Père silencieux lui aussi, incapable de transmettre une parole fondatrice
  • Père idéalisé ou déchu, qui laisse l’homme face à lui-même, sans modèle d’incarnation solide

Sans transmission consciente du masculin, beaucoup d’hommes errent dans le lien sans savoir comment l’habiter pleinement.


Le silence comme tentative de régulation

Dans la dynamique de couple, ce silence masculin devient souvent un point de friction. Mais il n’est pas toujours un rejet de l’autre. Il peut être une tentative, maladroite mais sincère, de retrouver de l’espace. L’homme se tait ou fuit pour :

  • Éviter le conflit qu’il ne sait pas contenir,
  • Récupérer une énergie intérieure dispersée,
  • Ne pas blesser l’autre avec une parole qu’il sent encore brute,
  • Se reconnecter à lui-même, sans en avoir les mots.

Ce silence peut devenir toxique s’il s’installe durablement. Il crée de la distance, de l’incompréhension, parfois un épuisement affectif chez la partenaire (dans le cadre d’une relation hétérosexuelle). Mais à la racine, il y a bien souvent un homme qui ne sait pas encore être présent autrement.


Couple et processus d’individuation : deux chemins croisés

C. G. Jung nous invite à comprendre que la relation de couple est un puissant miroir du Soi. Le lien amoureux réactive les blessures d’enfance, confronte aux ombres, révèle les projections. Pour l’homme, cette confrontation est parfois vécue comme une mise en échec. Plutôt que de s’exposer à la critique ou à la remise en question, il se retire.

Mais c’est justement là que le chemin commence.

  • Se confronter à « l’anima », c’est accepter l’émotion, la réceptivité, l’écoute,
  • Reconnaître son ombre, c’est cesser d’accuser l’autre de ses propres zones aveugles,
  • Oser la parole, c’est sortir de la loyauté au silence masculin transmis de génération en génération.

Le couple devient alors un espace de transformation, à condition que chacun s’engage à revenir vers soi sans accuser l’autre.


Thérapie du lien : un soutien au masculin en mutation

C’est là que l’accompagnement proposé par Anaïck Vaillant prend tout son sens. Dans un cadre sécurisant, non jugeant et profondément respectueux des rythmes de chacun, il devient possible de :

  • Mettre en mots ce qui n’a jamais été dit,
  • Explorer les loyautés inconscientes à l’histoire familiale,
  • Retrouver de la souveraineté intérieure,
  • Apprendre à rencontrer ses émotions, libérer celles cristallisées dans le corps
  • Reconnecter l’homme à son cœur, sans l’humilier ni le forcer.

Ce travail peut se faire en individuel lorsque l’homme est prêt à faire une démarche personnelle ou en thérapie de couple, pour redonner au lien son pouvoir d’évolution mutuelle.


Masculin blessé, masculin en chemin

Les nouvelles générations d’hommes parlent de plus en plus de fatigue émotionnelle, de surcharge mentale, de quête de sens. Ils ne veulent plus « faire semblant ». Ils aspirent à un masculin plus doux, plus vrai, plus aligné. Mais ils manquent souvent de repères. Et dans « repère », il y a le mot « père ».

Le silence est souffrant pour eux également et n’est souvent plus tenable. Il est alors temps de créer des espaces où l’homme peut enfin se dévoiler en sécurité, s’ouvrir, dire, comprendre et se libérer.

De plus en plus de « groupes de parole pour les hommes » voient le jour et cela contribue grandement, en complément du travail individuel, à leur redonner confiance et à créer une nouvelle forme de masculinité.


Naissance de l’homme nouveau : un masculin qui ose se dire

Ce n’est pas la parole performative qui est attendue, c’est une parole vraie, fragile parfois, mais incarnée. Ce n’est pas la perfection qui est demandée, mais une présence, à Soi et à l’autre.

Quand l’homme cesse de fuir son monde intérieur, il devient alors capable d’habiter le lien affectif. Il ne cherche plus un espace pour s’éloigner, mais un lieu pour être.

Et si ce silence était une invitation ? Non pas à le rompre brusquement, mais à l’habiter différemment.

Pour entamer ce chemin de reconnexion, contactez Anaïck Vaillant, Révélatrice du Soi, elle accompagne les hommes, les femmes et les couples vers un lien plus conscient, plus vrai, plus vivant.

👉 Pour prendre rendez-vous

Faites du silence un tremplin, pas une frontière.

Quand le lien s’effrite… est ce que le véritable couple ne serait pas en train d’émerger finalement ?

Il y a ce moment, que peu osent nommer : celui où le vernis craque. Où l’évidence du lien se trouble. Le désir vacille. L’autre n’est plus tout à fait celui ou celle qu’on avait idéalisé.

Ce moment ne signe pas toujours la fin du couple. Parfois, il marque son véritable début.

Parce que ce n’est pas l’amour qui manque. C’est la conscience, la maturité du lien, le discernement sur soi et l’autre.

Et si c’était justement dans ces phases d’ébranlement que l’on pouvait passer du couple-idéalisé au couple-vivant ?

La crise que votre couple traverse n’est pas un échec : c’est peut-être juste un appel, un éveil ? Celui de déconstruire ce qui n’était pas fondé sur le vrai, le sincère, pour enfin poser les bases d’une relation d’amour consciente, éclairée, authentique.


L’éveil du couple : quand la « crise » devient « passage initiatique »

Ce qu’on appelle communément « crise de couple » est souvent le point d’émergence de besoins longtemps tus, d’envies enfouies et de douleurs impossible à nommées jusqu’ici.

La crise est souvent l’expression de :

  • limites floues ou jamais posées,
  • une communication usée, trop mentale / déconnectée du cœur,
  • d’épreuves de vie individuelles (burn-out, reconversion, parentalité, deuils…) qui bousculent l’équilibre initial et transforment,
  • de loyautés inconscientes au modèle parental ou à la « norme sociale du couple »

Mais la bonne nouvelle, c’est que la crise ne signifie pas toujours la fin de l’histoire, elle contient également une ouverture. La possibilité de choisir un couple plus conscient, plus éclairé, plus aligné, plus libre.


Quand l’amour ne suffit pas : apprendre à être en lien

On croit souvent que l’amour suffit à faire durer le lien. Mais aimer ne garantit pas l’intimité, la compréhension ou la capacité à co-créer un quotidien nourrissant.

Ce qui fait la qualité d’un lien, c’est la façon dont chacun des partenaires s’y engage :

  • Suis-je à l’aise/ libre d’exprimer ma vérité sans peur (rejet /abandon/ humiliation) ?
  • Suis-je en capacité d’accueillir l’autre comme il/elle est, même quand ça me dérange ?
  • Réussissons-nous à revenir dans le lien après un conflit, plutôt que choisir le repli et d’accumuler les silences ?

Il ne s’agit plus de « tenir bon » ou de « faire des compromis », mais bien de faire place à un lien plus sincère et authentique.

Un couple conscient est un espace où chacun peut :

  • faire ses choix, évoluer sans devoir renoncer au lien,
  • exprimer ses besoins sans les imposer à l’autre,
  • se dire sans se blesser volontairement,
  • mettre à jour régulièrement les bases / accords sur les besoins relationnels, au fil des étapes de vie

La crise comme invitation à un nouveau contrat d’âme

La relation de couple peut être vu comme un « contrat » entre 2 âmes dont aucune ne pourrait prédire la durée. Parfois, ce contrat devra être réécrit, réinventé ensemble, non pour retrouver une forme de « comme avant », mais, au contraire, pour rencontrer ce qui est juste pour chacun maintenant.

Et si la véritable intimité commençait là : dans cette disponibilité à s’ouvrir, à exprimer sa vérité, à s’écouter de nouveau, à ajuster l’engagement ?


Et si vous choisissiez de prendre un moment de vérité ?

Anaïck Vaillant, coach de vie et psycho-praticienne, accompagne les couples (et les individus en lien) à travers des séances profondes, incarnées, sensibles.

  • En vue de transformer la « crise » en « passage »,
  • Pour restaurer la sécurité émotionnelle dans le lien,
  • Afin d’écouter ce que le corps exprime quand les mots manquent,
  • Et pour faire émerger un lien plus libre, plus aligné, plus vivant.

Prenez rendez-vous pour une première rencontre, en ligne ou en présentiel à Rezé ( Nantes sud).


Ce n’est pas la fin… plutôt un nouveau commencement

Et si le vrai couple commençait là, au bord du doute ? Quand tout s’effondre… et que l’on choisit de reconstruire. À partir du vrai. À partir de soi.

Il ne s’agit pas de sauver un couple. Il s’agit de retrouver deux êtres, dans leur vérité, leur puissance, leur liberté.

Osez cette réinvention. Pour un couple qui respire, qui vibre, qui choisit.

Et s’il y avait un « nous » à découvrir… après l’illusion d’effondrement ?

Et si vous sortiez des rôles figés pour retrouver l’élan du lien ?

Nous avons tous grandi avec des représentations implicites du couple, de l’homme et de la femme, du masculin et du féminin. Ces représentations, souvent héritées du système patriarcal, de notre histoire familiale, culturelle ou religieuse, modèlent nos attentes, nos comportements, nos conflits. Et s’il était temps de les remettre en question ?

Quand le principe « masculin » devient dureté, hyper-contrôle ou déconnexion émotionnelle. Quand le principe « féminin » se fige en sur-adaptation, en sacrifice, en attentes silencieuses. Le lien se déséquilibre.

Et si le couple devenait un espace privilégié et sacré de reliance, d’unité et de fluidité, entre ces deux polarités complémentaires ?

Et si plutôt que de les opposer, on choisissait de les faire danser ensemble ?


Comprendre les polarités en soi et dans le lien

Le masculin et le féminin ne sont pas des genres, mais des énergies. Dans la tradition Taoiste chinoise, on évoque le Yin-Yang comme un principe représentant la dynamique du Monde, qui transcende la dualité occidentale, transformant le duel en danse. Ces énergies coexistent en chacun de nous, indépendamment de notre sexe biologique.

  • Le principe masculin (yang) symbole de structure, d’action, d’ancrage, de clarté, de protection.
  • Le principe féminin (yin) symbole d’accueil, d’intuition, de ressenti, de fluidité, d’ouverture.

Quand ces polarités sont déséquilibrées en nous, cela crée des tensions internes qui se répercutent dans la relation de couple :

  • Hyper-masculin : rigidité, exigence, manque d’écoute, agressivité
  • Hyper-féminin : effacement, sur-émotivité, passivité

Il ne s’agit pas de « corriger » l’un ou l’autre mais d’apprendre à les faire cohabiter consciemment.


Le couple : miroir et laboratoire des archétypes

Dans une relation intime, chacun projette ses polarités inconscientes sur l’autre. C’est ce que Carl G.Jung appelait l’ombre et les archétypes (l’anima et l’animus).

  • Elle attend qu’il la comprenne, lise dans ses pensées, sans parler
  • Il attend qu’elle le rassure sans condition
  • L’un joue le sauveur, l’autre la victime
  • Ou encore, chacun endosse un rôle parental…

Ces dynamiques sont naturelles, mais peuvent être pacifiées si elles sont mises en lumière. Le couple devient alors un espace alchimique plutôt que de reproduction des schémas dysfonctionnels.


Pratiques corporelles pour réconcilier les polarités

Le corps est un accélérateur de transformation. Travailler sur les polarités ne se fait pas seulement dans la tête (psychisme), mais en prenant conscience des sensations, dans la posture, dans le mouvement.

Quelques pratiques inspirantes :

  • Mouvements dédiés à l’énergie féminine : danse intuitive, chant, auto-massage, respiration
  • Ancrage du masculin : marche consciente, yoga, pranayama
  • Exploration en duo : l’un guide, l’autre suit, puis inverser – Observer ce que cela crée en termes de sensations corporelles.

Ces exercices dévoilent souvent des besoins profonds : être soutenu, être accueilli, être vu. Le lien se réhumanise alors.


Rituels symboliques pour le couple

Parfois, il suffit d’un moment vrai, d’un acte symbolique pour reposer les fondations du lien. Quelques propositions :

  • Écrire une lettre à son partenaire, depuis sa polarité blessée (féminin ou masculin).
  • Organiser un « date » (rendez-vous) où chacun exprime ses besoins sans être interrompu (face à face).
  • Co créer un « autel du couple » avec un objet représentant chaque polarité
  • Choisir un rituel de passage : feu, eau, parole, silence

Ces gestes ou rituels symboliques redonnent bien souvent du souffle à l’union. Ils remettent de la conscience dans le quotidien en offrant une forme de complicité relationnelle.


Une nouvelle écoute plus active émerge

Partout, des couples cherchent autre chose : moins de perfection, plus de vécu, de naturel, d’authentique. Moins de théorie, plus d’ancrage. Les accompagnements sensibles, holistiques et incarnés prennent le relais des modèles psychologiques classiques.

C’est dans cet esprit qu’Anaïck Vaillant, thérapeute de couple en chemin de conscience, propose un espace unique d’écoute, où le corps, les mots, les symboles et les émotions ont toute leur place.


Faire le choix d’un accompagnement sensible avec une vision spirituelle

Anaïck Vaillant, Révélatrice du Soi, accompagne les couples vers un lien plus conscient, plus aligné, plus incarné. En s’appuyant sur les archétypes, les mémoires trans-générationnelles, le corps et la parole véritable, elle ouvre un espace où chacun peut retrouver sa place, son axe, sa liberté d’être et sa vérité.

  • Consultations au cabinet de Rezé – Nantes sud ou en visio.

Pour cesser la division, la lutte de pouvoir de l’ego et initier la danse de la relation.


Pour que le couple puisse unir le masculin et le féminin

Le couple n’est pas un espace figé. Il est mouvement, rythme, respiration (inspir/expir). Quand enfin les polarités cessent de s’opposer, elles peuvent alors s’équilibrer.

Et dans cette danse, chacun redevient complet, entier, libre, et capable d’aimer un autre être humain sans se perdre.

Initiez dès maintenant cette nouvelle forme « d’union sacrée ». Prenez contact avec Anaïck Vaillant via son site ou par mail : contact@anaick-vaillant.fr

Le lien, comme toute danse, commence par un premier pas.

Une autre façon d’être ensemble est possible

Aimer n’est pas se fondre dans l’autre. Et pourtant, combien de fois confond-on l’amour avec la fusion, l’élan avec la dépendance, la proximité avec la perte de soi ?

Derrière le mot « amour », il y a souvent des peurs : peur d’être abandonné, peur de ne pas être aimé tel que l’on est, peur de perdre l’autre si l’on affirme trop sa vérité. Alors, on s’ajuste, on se sur-adapte, on se tait. Et peu à peu, c’est soi que l’on abandonne.

Mais il existe une autre voie, celle du lien conscient. Celle qui relie sans enfermer. Celle qui permet à chacun de rester entier au sein de la relation de couple.


Ce que la fusion vient souvent cacher

Dans les couples fusionnels, il y a parfois :

  • Une peur profonde de la solitude
  • Une croyance que l’amour véritable implique de tout partager
  • Une idéalisation de la complémentarité
  • Une difficulté à poser des limites saines
  • Un oubli progressif de soi

Quand deux partenaires amoureux fonctionnent ainsi, l’équilibre n’est plus : l’un porte, l’autre s’efface. Ou bien chacun attend de l’autre ce qu’il n’ose pas s’offrir lui-même.

La fusion n’est pas l’Amour. C’est une forme de protection inconsciente contre le sentiment d’insécurité.


La peur d’être Soi : au cœur des schémas affectifs

Ce qui empêche souvent d’être libre dans le lien, c’est la mémoire bien ancrée d’une blessure très ancienne :

  • L’enfant en nous qui ne s’est senti aimé que sous conditions : être sage, doux, gentil, conforme aux attentes de ses parents ou figures parentales d’éducation,
  • L’adolescent qui s’est senti exclu ou invalidé lorsqu’il à osé exprimer son avis ou s’est opposé,
  • L’adulte qui rejoue, sans s’en rendre compte, cet amour conditionnel dans les relations amoureuses.

Le couple devient alors aisément un terrain de répétition du schéma appris et bien souvent dysfonctionnel. Il se transforme en champ de bataille invisible où chaque partenaire cherche à être reconnu, validé, accueilli… mais dans l’incapcité de s’accueillir pleinement lui-même.

Le travail d’accompagnement que propose Anaïck Vaillant, Coach de vie et thérapeute de couple, vient justement déposer de la clarté sur ces mécanismes, qui sont la plupart du temps, inconscients. Il est alors possible pour chacun de reprendre la responsabilité de son propre espace intérieur.


Vers un couple libre : les repères d’un lien vivant

Un couple conscient et « secure » repose sur quelques piliers essentiels :

  • L’espace de chacun respecté : besoins, rythmes, envies, activités, relations
  • La parole vraie : exprimer sans reprocher ou accuser, faire des demandes et non exiger, poser des limites claires sans menacer (chantage)
  • La co-responsabilité du lien : ce n’est ni à l’u, ni à l’autre, de porter le couple, mais à chacun de s’y engager totalement
  • La reconnaissance des schémas affectifs blessés: plutôt que de blâmer l’autre, comprendre d’où vient sa réaction (enfant intérieur)
  • La nécessaire évolution : accepter que le couple évolue, change, que chacun se transforme avec la possibilité de ne plus souhaiter aller dans la même direction.

Une nouvelle forme de relation amoureuse en émergence

De plus en plus de couples ressentent le besoin de sortir des modèles figés du passé (du patriarcat). Ils n’ont plus envie de jouer « au couple modèle » mais au contraire, ils sont en recherche d’un lien vrai et authentique.

Ce mouvement se ressent grandement dans les demandes d’accompagnement actuelles :

  • Davantage de couples en début de relation, souhaitant poser des bases saines,
  • Plus de demandes de couples « jeunes » (tranche d’âge 20 – 30 ans)
  • Mais aussi des partenaires de longue date, désireux de se réinventer,
  • Et principalement des individus en quête d’une manière d’aimer plus respectueuse et alignée

Cette évolution de la relation conjugale est une véritable chance : elle sert de catalyseur, permettant de transformer l’amour dans le couple en un chemin d’éveil.


Et si vous choisissiez un accompagnement du lien vivant ?

Anaïck Vaillant propose un accompagnement sur mesure pour les couples en transition, en relation d’âmes, en quête de sens ou en désir d’évolution.

Son approche, sensible et profonde, vous aide à :

  • Nommer ce qui bloque sans crainte,
  • Entendre l’autre sans se perdre,
  • Recontacter le désir authentique,
  • Créer une relation plus fluide, plus libre, plus ancrée.

Les séances de couple sont en duo exclusivement, en présentiel au cabinet de Rezé ou en visio. Après quelques séances, si une demande individuelle émerge et que le couple consent à ce que l’un (ou les deux) des partenaires entament un accompagnement individuel avec Anaïck, la démarche peut alors évoluer dans ce sens. C’est toujours décidé en conscience et consenti par chacun.


Aimer véritablement en étant complètement soi

Le vrai amour commence là : quand chacun peut rester entier, debout, vivant aux côtés de l’autre. Sans peur. Sans masque. Sans fusion.

Le couple n’est pas la réunion de deux moitiés d’êtres. Il est la danse de deux entièretés.

Et si vous aussi, vous choisissiez d’aimer autrement, d’aimer sainement, dès maintenant ?

Prenez rendez-vous avec Anaïck Vaillant pour explorer ensemble un nouveau territoire du lien. Un lien libre, vivant, engagé.

C’est un premier pas qui peut tout changer !

L’illusion estivale du lien apaisé…

Les vacances approchent. Et avec elles, cette envie profonde de repos, de légèreté… et souvent d’harmonie retrouvée dans le couple. On se dit que le soleil, les grasses matinées, le temps libéré vont tout réparer. Et parfois, c’est vrai. Mais ce n’est malheureusement bien souvent qu’une illusion.

Sous le sable chaud, il reste des tensions en suspens, des blessures non dites, des gestes absents. Le couple, lorsqu’il devient un refuge tiède ou une zone neutre, s’éloigne de sa nature vivante. Il ne s’agit plus alors d’aimer, mais de cohabiter « sans faire de vagues ».

Et si les vacances étaient justement l’occasion de faire autrement ? D’aller regarder, doucement mais lucidement, ce qui mérite d’être vu, entendu et ajusté ?


Le piège de l’été qui fait diversion

Pour de nombreux couples, les vacances s’appuient sur « l’extérieur » et sur les contingences familiales :

  • Enfants à occuper ou à surveiller,
  • Activités sociales ou sportives à enchaîner,
  • Excuses diverses pour repousser les vraies discussions,
  • Chaleur, fatigue, horaires décalés qui étouffent ou exacerbent les ressentis.

Mais derrière ces tentatives de « diversion » plus ou moins conscientes… que reste-t-il du lien profond, de la complicité, de la connexion ?

  • Les regards s’évitent-ils plus qu’ils ne se cherchent ?
  • Peut-on encore parler de soi, de l’autre, sans détour ?
  • Le silence est-il réellement paisible… ou chargé de tout ce qui est tu depuis longtemps ?

Et si l’été devenait une opportunité de conscience relationnelle ?

Loin d’être un décor propice à l’oubli, l’été pourrait devenir un espace de réajustement subtil, un retour à l’essentiel. Quelques pistes simples pour cela :

  • S’interroger : qui est mon/ma partenaire depuis la dernière fois que l’on s’est vraiment parlé ?
  • Créer de vrais temps d’écoute empathique, sans défendre son point de vue, juste pour écouter, être présent, entendre l’autre dans sa profondeur.
  • Oser nommer : les désirs, les envies mais aussi les peurs, les zones d’essoufflement, les questionnements.
  • Redonner de la place au corps, au plaisir, au lien vivant, à la sexualité sacrée.

La plupart du temps, le couple ne meurt pas du conflit. Il s’éteint dans la routine, le non-dit, les rancunes, l’effacement de soi.


La thérapie de couple : une ressource pour explorer d’autres voies que la rupture

Trop souvent, on consulte quand il est presque trop tard. Pourtant, la thérapie de couple peut être un espace de prévention, de mise à jour, de réalignement.

Elle permet notamment de :

  • Prendre conscience des schémas répétitifs (blessures d’enfance, loyautés familiales),
  • Clarifier ce que chacun vit, ressent, attend,
  • Identifier les polarités, les rôles figés ou inversés dans la relation,
  • Retrouver une confiance relationnelle et une sécurité émotionnelle,
  • Réapprendre à se parler… et à s’écouter avec authenticité.

Et surtout : ne pas attendre que tout explose pour s’occuper de ce lien si précieux.


L’été, miroir de vérités cachées

On observe très souvent une forte augmentation des demandes de thérapie de couple à la rentrée. L’été agirait il comme un déclencheur, un révélateur ?

  • Le ralentissement, le changement de rythme, fait émerger les tensions enfouies,
  • Le face-à-face peu présent dans l’année devient ici inévitable,
  • Les écarts de désirs, de rythme ou de vision deviennent bien plus visibles.

Et si, au lieu de subir ce moment, vous décidiez de l’anticiper en conscience ? Afin de ne pas arriver à l’automne avec une valise trop pleine de ce qui n’a pas été exprimé.


Une guidance vivante pour réinventer le lien

Et si vous profitiez de cette période de pause pour vous offrir un vrai espace de recentrage à deux ?

Anaïck Vaillant, thérapeute du couple et de l’alignement personnel, vous propose :

  • des séances sur mesure, en ligne ou en cabinet,
  • un cadre sécurisé et bienveillant pour déposer ce qui pèse,
  • une approche subtile, sensible et corporelle,
  • des clés concrètes pour mieux vous comprendre… et mieux vous aimer.

S’offrir un espace au lien, dès maintenant

Le couple n’a pas besoin de promesses de rentrée, ni d’attendre que “ça passe”. Il a besoin d’un lieu. D’un vrai lieu où déposer, ajuster, éclairer. Ce lieu peut être choisi dès maintenant.

Anaïck Vaillant vous propose un accompagnement relationnel sur mesure, pour vous aider à :

  • Retrouver une qualité de présence dans votre couple,
  • Traverser un passage délicat sans vous perdre,
  • Ou simplement faire un point, dans un cadre sécurisé, loin du tumulte quotidien.

Les séances sont possibles en visio ou en présentiel à Rezé (Nantes sud) et s’adaptent à votre rythme et à vos besoins.

Il suffit parfois d’une vraie rencontre pour remettre du souffle dans le lien.

Pour prendre rendez-vous ou poser vos questions

Combien il est nécessaire de comprendre cette blessure originelle pour la transcender et vivre enfin pleinement ?

La blessure de rejet est l’une des cinq blessures émotionnelles et psychologiques profondes et invisibles qui peut avoir un impact durable sur la vie d’un individu. Elles sont réveillées par des expériences traumatisantes (abus, pertes, violences) de la part de nos figures d’attachement (souvent les parents) et elles entachent le lien d’amour chez l’enfant. Tant qu’elles ne sont pas conscientisées et libérées, elles se réactivent tout au long de la vie dans les situations relationnelles et font souvent l’objet de consultations en thérapie ou coaching de vie.


Comprendre pour se libérer de la blessure de rejet

Ne pas se sentir digne d’amour, avoir le sentiment d’être exclu, ignoré, invisible ou être constamment sur la défensive dans ses relations ? Fuir dès qu’une relation devient trop intime, notamment avec un partenaire du sexe opposé ? Ces sensations ou comportements pourraient être le signe d’une blessure de rejet. Profondément enracinée dans l’enfance, cette blessure impacte l’estime de soi et la qualité des relations, notamment amoureuses.

Comment la reconnaître, la comprendre et surtout, s’en libérer ? Explorons ensemble cette blessure et les solutions pour la transcender.


Les origines de cette blessure

La blessure de rejet a pour fondement le droit d’exister

Elle a pour origine un traumatisme pendant la grossesse et est réveillée par le parent du même sexe (figure de réveil) – le personnage (notre parent) n’est pas responsable de la blessure, il met en place ce dont l’enfant a besoin pour s’observer et transcender ce sentiment de non reconnaissance.

Cette blessure est extrêmement souffrante puisque l’être ressent des angoisses profondes liées à son existence. Se sentant rejeté pour qui il est (ou certaines parts de lui), il ne remet pas en question les figures d’autorité qui le repoussent, mais c’est lui même, son existence propre qu’il rejette. Il rejette les plaisirs de la vie et les sensations corporelles, croyant ainsi qu’il plaira davantage à ceux qui l’entourent. Il a tendance à s’isoler, se couper des aspects matériels, manifestant de cette manière son refus d’accepter tout ce qui lui permettrait d’aimer son être.

Ce qui a est gravé chez l’enfant touche son identité, avec le sentiment de ne pas être digne, légitime, à la hauteur des défis qui lui sont confiés, ce qui le conduit une fois adulte à chercher la reconnaissance à tous prix (validation, encouragements, place, travail, renommée, statut, argent…) et à s’imposer des normes de réussite inatteignables (exigence).


Comment se manifeste la blessure de rejet ?

Face au sentiment d’insécurité ressenti par l’enfant qui n’a pas la maturité émotionnelle suffisante pour gérer ce qu’il ressent, l’ego met en place des mécanismes de défense, appelés aussi « masques » qui sont des stratégies de survie pour le protéger et lui éviter des troubles graves de la personnalité.

Il grandit avec ses masques de protection. En voici quelques signes chez l’adulte :

  • « Faux-self » : façade protectrice conforme aux attentes extérieures qui masque le « vrai self », créant un hyper contrôle de soi, une recherche de perfection (« driver » Sois-parfait), un état défensif ou adaptatif en société
  • Grande dépendance au regard de l’autre : recherche constante d’approbation et de validation extérieure, peur de déplaire, de décevoir, d’être jugé
  • Besoin de reconnaissance sociale ou au contraire recherche d’invisibilité
  • Fuite des émotions (état dissociatif) avec refuge dans l’analyse mentale (recherche de solution, relativisation, minimisation…)
  • Stratégies d’évitement ou d’isolement : des relations trop intimes (amicales ou amoureuses), de la communication (peur des conflits) … isolement ou « sauveur » ultra disponible pour les autres s’impliquant énormément dans le travail, les activités, la famille, le sport …
  • Difficultés à exprimer ses besoins : peur d’être blessant pour l’autre ou d’être rejeté s’il ose exprimer ses ressentis, envies ou besoins
  • Autocritique exacerbée : dévalorisation de soi, comparaison aux autres, sentiment d’être nul (non existant), déception de ce qu’il est
  • Comportements d’auto-sabotage notamment dans les relations qui impliquent une intimité relationnelle et émotionnelle
  • Sentiment de culpabilité avec des difficultés à se choisir, à se prioriser pour vivre pleinement l’amour

Qui dit besoin de reconnaissance de soi dit Acceptation. L’être qui souffre du rejet par manque d’accueil à son égard est en résistance avec la vie, avec ce qu’il est et refuse la plupart du temps de s’accorder l’amour auquel il a droit. Il fuit sa réalité, son existence et aura tendance à faire de même avec les situations de la vie, tant qu’il n’aura pas pris conscience de ce schéma.


La blessure de rejet dans la relation de couple

Dans la relation de couple, cette blessure crée des schémas toxiques : 

  • Une certaine distance relationnelle et émotionnelle vis à vis du partenaire 
  • Un besoin excessif de validation : attente constante d’attention et d’affection, attitude enfantine
  • Un évitement de la communication : peur des conflits, que l’autre s’éloigne (le rejette)
  • Des stratégies toxiques : longs silences, fermeture émotionnelle,  ghosting (interruption de la relation sans prévenir ni communiquer) , mensonges et gaslighting (déformation de l’information qui est une forme de manipulation mentale)  
  • Une difficulté à poser des limites : peur d’être mal considéré, de décevoir 
  • Une attirance pour des partenaires distants : renforcement inconscient de la blessure – moins de risque de s’attacher et de souffrir 
  • Un manque d’engagement relationnel et de présence à l’autre et ses émotions 

Comment guérir de la blessure de rejet ?

Heureusement, il est possible de s’en soulager voire de s’en libérer avec un travail personnel et des actions concrètes :

  • Prendre conscience de ses schémas : observer ses réactions face aux situations de rejet
  • Travailler sur l’estime de soi : pratiquer l’auto-compassion et l’affirmation de soi
  • Exprimer ses ressentis / émotions : oser dire ce que l’on ressent sans peur du jugement 
  • Reprogrammer son inconscient : utiliser des techniques comme l’EFT, la visualisation ou la méditation guidée.
  • Se faire accompagner : un coach de vie peut être un allié précieux dans ce cheminement.

En quoi le coaching de vie peut-il soulager ?

Un coaching de vie peut vous aider à :

  • Prendre conscience des blessures inconscientes et de leurs manifestations
  • Transformer les croyances limitantes que vous avez à propos de vous 
  • Mettre en place des actions concrètes pour transcender les stratégies / masques mis en place pour éviter de revivre le rejet
  • Apprendre à poser des limites saines dans vos relations
  • Vous détacher des peurs qui vous paralysent – agir et prendre votre place 
  • Apprendre à ressentir le corps, faciliter la libération émotionnelle  
  • Oser vous engager pleinement dans les relations intimes – apprendre à vous ouvrir, à faire confiance, à exprimer vos sentiments, envies, besoins.
  • Ouvrir la porte de votre cœur (chakra cœur) à votre propre existence pour faire la paix en vous-même et vous ouvrir authentiquement à l’amour

C’est bien souvent dans le cadre d’une thérapie de couple que cette blessure est conscientisée. En effet, si le/la partenaire a un fonctionnement en polarité inversée (blessure d’abandon), il/elle va exprimer son incompréhension face au fonctionnement « fuyant/évitant » de sa/son partenaire, la relation étant en miroir.

Article : la blessure d’abandon : dépendance affective


Choisir plutôt que souffrir ?

La blessure de rejet n’est pas une fatalité. En comprenant ses origines et en adoptant les bonnes stratégies, il est possible de s’en libérer et de retrouver une sérénité intérieure et une véritable connexion avec soi et les autres. Que ce soit par un travail d’introspection ou avec l’aide d’un coach de vie ou de couple, chaque étape vers la guérison est une avancée vers une vie plus épanouie et des relations plus authentiques. 

Prêt(e) à transformer votre vie ? Faites le premier pas aujourd’hui et osez vous libérer du poids du rejet ! Prenez contact avec Anaïck Vaillant – premier échange téléphonique de 15mn possible gratuitement puis séances à son cabinet de Rezé – Nantes ou en distanciel.