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On parle souvent de l’ombre comme de ce que l’on cache, de nos blessures, de nos failles, de ce qui gêne, fait honte ou peur. Mais il existe une autre forme d’ombre, plus discrète, plus insidieuse : celle qui se dissimule dans notre lumière.

Nos qualités les plus célébrées – altruisme, douceur, loyauté, sagesse – peuvent, lorsqu’elles deviennent absolues, nous enfermer. Ce n’est pas leur nature qui est en cause, mais l’excès, la rigidité, la fuite de la nuance. Une bonté sans limite peut se transformer en sacrifice. Une écoute constante, un oubli de soi. Une paix à tout prix, une impossibilité de poser ses limites.

Carl Jung nous a appris que l’ombre n’est pas seulement négative. Elle comprend aussi ce que nous ne nous autorisons pas à être : assertif, vivant, libre… parfois dérangeant.
Et si notre plus grand enfermement venait parfois de notre volonté de bien faire ?

Cet article propose de plonger dans cette zone méconnue de l’ombre – la face lumineuse – pour mieux comprendre comment nos plus grandes forces peuvent, sans conscience, devenir nos plus subtiles prisons. Et surtout, comment les réconcilier.


Trop de douceur : la tyrannie de la bonté

Imaginons la tyrannie de la douceur :

  • vous dites « oui » pour éviter de blesser… jusqu’à vous oublier
  • vous absorbez les émotions des autres… puis vous craquez
  • vous cultivez une image « bienveillante » et lisse mais au fond de vous gronde une colère sourde ou une fatigue inexpliquée

La générosité est une magnifique qualité, cependant quand elle est « en excès », elle devient fuite ou manipulation : une manière d’éviter le conflit – ou de chercher une reconnaissance sans dire clairement ce qui est attendu de l’autre.


Réhabiliter la nuance et le paradoxe : sortir du tout ou rien

Notre société aime les étiquettes : on est fort ou fragile, gentil ou égoïste, lumineux ou sombre. Pourtant, la psyché humaine ne se laisse pas enfermer dans ces cases binaires. Jung l’avait bien compris : c’est dans la tension des contraires que naît l’unité intérieure.

Réhabiliter la nuance, c’est accepter qu’on puisse être :

  • généreux(se) et avoir besoin de recevoir
  • empathique et avoir le droit de dire non
  • engagé(e) et parfois indisponible
  • sage et toujours en chemin
  • doux (ce) et tenace dans la défense de ses besoins

Voici quelques exemples concrets :

  • Une femme reconnue pour sa bienveillance naturelle peut, inconsciemment, se sentir coupable de poser une limite, même quand elle est épuisée. Son don de soi devient alors un voile sur sa colère silencieuse
  • Un thérapeute très connecté à la souffrance d’autrui peut oublier d’exprimer sa propre vulnérabilité, se cachant derrière le rôle de soutien
  • Un homme loyal envers sa famille peut nier ses propres désirs d’émancipation, croyant qu’honorer ses proches signifie se sacrifier pour eux

Ces tensions ne sont pas des faiblesses. Ce sont des appels à revisiter notre lumière, à lui redonner du mouvement, du souffle, de l’humanité. Une bonté consciente inclut la fermeté. Une écoute sincère connaît aussi ses limites.

En réalité, c’est souvent en réintégrant notre polarité oubliée que notre qualité retrouve son équilibre. Elle cesse d’être une armure ou un devoir, pour redevenir un choix vivant et incarné.


Identifier la toxicité au creux de la lumière apparente

Certaines de nos qualités les plus admirées – écoute, générosité, responsabilité, perfectionnisme, loyauté – peuvent devenir « nos pires enemies » si elles s’exercent sans conscience.

Comment repérer leur possible dérive ?

  • Vous vous sentez constamment vidé(e) ou débordé(e) malgré vos efforts pour « bien faire »
  • Vous ressentez une frustration intérieure quand vos élans ne sont pas reconnus ou valorisés
  • Vous ne vous autorisez pas à décevoir, dire non ou faire moins, même quand vous êtes à bout
  • Vous avez l’impression que votre valeur repose uniquement sur ce que vous apportez aux autres
  • Vous attirez des relations unilatérales, où vous donnez beaucoup… sans réciprocité

La lumière devient alors toxique et agit comme un masque. Elle vous pousse à vous conformer à une version idéalisée de vous-même, à vous sur-adapter sans cesse et de plus en plus, souvent au détriment de votre vérité intérieure.

Identifier ces mécanismes, ce n’est pas renier vos qualités : c’est leur redonner de la souplesse. Vous pouvez continuer à aimer, à donner, à accompagner, à inspirer – mais sans vous trahir.


Comment réconciler force et douceur en conscience ?

Vous êtes généreux(se), toujours disponible, et pourtant vous vous sentez silencieusement épuisé(e) ou frustré(e) ?
Il est peut-être temps de vous choisir enfin et d’apprendre à :

  • repérer ce qui rend toxique vos plus belles qualités
  • apprendre à poser des limites saines et respectueuses
  • équilibrer votre énergie intérieure (donner ET recevoir)
  • vous (re)connecter à votre être profond
  • suivre votre joie, vos élans du cœur sans culpabilité

Voici quelques objectifs qu’offre l’accompagnement personnalisé proposé par Anaïck Vaillant – Coach de vie et Psycho-praticienne – à Rezé (Nantes) ou à distance.

Prenez dès maintenant contact avec elle pour échanger sur ses différentes propositions d’accompagnement (vie privée – vie de couple – vie professionnelle).


Et si l’ombre n’annulait pas la lumière mais l’affinait ?

La lumière quand elle devient toxique n’est ni un défaut ni une faiblesse : c’est une qualité mal orientée.
L’enjeu ? La reconnaître sans la juger, l’ajuster sans la nier.
Réhabiliter cette ombre qui se dissimule au creux de la lumière, c’est offrir à vos qualités – l’empathie, l’engagement, la douceur, la profondeur et la clarté qu’elles méritent.

Ainsi, il vous est possible de devenir entièrement vous-même, authentique, sincère, sans filtre ni artifice. Et si vous aussi – comme de nombreuses personnes l’ont fait avant vous – vous décidiez d’oser cette réconciliation intérieure ? Et si vous aussi vous faisiez confiance à l’expertise d’Anaïck Vaillant pour vous permettre d’y arriver plus facilement ?

Le moment n’est il pas venu de révéler pleinement votre lumière au Monde !

La blessure de rejet est l’une des cinq blessures émotionnelles et psychologiques profondes et invisibles qui peut avoir un impact durable sur la vie d’un individu. Elles sont réveillées par des expériences traumatisantes (abus, pertes, violences) de la part de nos figures d’attachement (souvent les parents) et elles entachent le lien d’amour chez l’enfant. Tant qu’elles ne sont pas conscientisées et libérées, elles se réactivent tout au long de la vie dans les situations relationnelles et font souvent l’objet de consultations en thérapie ou coaching de vie.

Comprendre pour se libérer de la blessure de rejet

Ne pas se sentir digne d’amour, avoir le sentiment d’être exclu, ignoré, invisible ou être constamment sur la défensive dans ses relations ? Fuir dès qu’une relation devient trop intime, notamment avec un partenaire du sexe opposé ? Ces sensations ou comportements pourraient être le signe d’une blessure de rejet. Profondément enracinée dans l’enfance, cette blessure impacte l’estime de soi et la qualité des relations, notamment amoureuses.

Comment la reconnaître, la comprendre et surtout, s’en libérer ? Explorons ensemble cette blessure et les solutions pour la transcender.

Les origines de cette blessure

La blessure de rejet a pour fondement le droit d’exister

Elle a pour origine un traumatisme pendant la grossesse et est réveillée par le parent du même sexe (figure de réveil) – le personnage (notre parent) n’est pas responsable de la blessure, il met en place ce dont l’enfant a besoin pour s’observer et transcender ce sentiment de non reconnaissance.

Cette blessure est extrêmement souffrante puisque l’être ressent des angoisses profondes liées à son existence. Se sentant rejeté pour qui il est (ou certaines parts de lui), il ne remet pas en question les figures d’autorité qui le repoussent, mais c’est lui même, son existence propre qu’il rejette. Il rejette les plaisirs de la vie et les sensations corporelles, croyant ainsi qu’il plaira davantage à ceux qui l’entourent. Il a tendance à s’isoler, se couper des aspects matériels, manifestant de cette manière son refus d’accepter tout ce qui lui permettrait d’aimer son être.

Ce qui a est gravé chez l’enfant touche son identité, avec le sentiment de ne pas être digne, légitime, à la hauteur des défis qui lui sont confiés, ce qui le conduit une fois adulte à chercher la reconnaissance à tous prix (validation, encouragements, place, travail, renommée, statut, argent…) et à s’imposer des normes de réussite inatteignables (exigence).

Comment se manifeste la blessure de rejet ?

Face au sentiment d’insécurité ressenti par l’enfant qui n’a pas la maturité émotionnelle suffisante pour gérer ce qu’il ressent, l’ego met en place des mécanismes de défense, appelés aussi « masques » qui sont des stratégies de survie pour le protéger et lui éviter des troubles graves de la personnalité.

Il grandit avec ses masques de protection. En voici quelques signes chez l’adulte :

  • « Faux-self » : façade protectrice conforme aux attentes extérieures qui masque le « vrai self », créant un hyper contrôle de soi, une recherche de perfection (« driver » Sois-parfait), un état défensif ou adaptatif en société
  • Grande dépendance au regard de l’autre : recherche constante d’approbation et de validation extérieure, peur de déplaire, de décevoir, d’être jugé
  • Besoin de reconnaissance sociale ou au contraire recherche d’invisibilité
  • Fuite des émotions (état dissociatif) avec refuge dans l’analyse mentale (recherche de solution, relativisation, minimisation…)
  • Stratégies d’évitement ou d’isolement : des relations trop intimes (amicales ou amoureuses), de la communication (peur des conflits) … isolement ou « sauveur » ultra disponible pour les autres s’impliquant énormément dans le travail, les activités, la famille, le sport …
  • Difficultés à exprimer ses besoins : peur d’être blessant pour l’autre ou d’être rejeté s’il ose exprimer ses ressentis, envies ou besoins
  • Autocritique exacerbée : dévalorisation de soi, comparaison aux autres, sentiment d’être nul (non existant), déception de ce qu’il est
  • Comportements d’auto-sabotage notamment dans les relations qui impliquent une intimité relationnelle et émotionnelle
  • Sentiment de culpabilité avec des difficultés à se choisir, à se prioriser pour vivre pleinement l’amour

Qui dit besoin de reconnaissance de soi dit Acceptation. L’être qui souffre du rejet par manque d’accueil à son égard est en résistance avec la vie, avec ce qu’il est et refuse la plupart du temps de s’accorder l’amour auquel il a droit. Il fuit sa réalité, son existence et aura tendance à faire de même avec les situations de la vie, tant qu’il n’aura pas pris conscience de ce schéma.

La blessure de rejet dans la relation de couple

Dans la relation de couple, cette blessure crée des schémas toxiques : 

  • Une certaine distance relationnelle et émotionnelle vis à vis du partenaire 
  • Un besoin excessif de validation : attente constante d’attention et d’affection, attitude enfantine
  • Un évitement de la communication : peur des conflits, que l’autre s’éloigne (le rejette)
  • Des stratégies toxiques : longs silences, fermeture émotionnelle,  ghosting (interruption de la relation sans prévenir ni communiquer) , mensonges et gaslighting (déformation de l’information qui est une forme de manipulation mentale)  
  • Une difficulté à poser des limites : peur d’être mal considéré, de décevoir 
  • Une attirance pour des partenaires distants : renforcement inconscient de la blessure – moins de risque de s’attacher et de souffrir 
  • Un manque d’engagement relationnel et de présence à l’autre et ses émotions 

Comment guérir de la blessure de rejet ?

Heureusement, il est possible de s’en soulager voire de s’en libérer avec un travail personnel et des actions concrètes :

  • Prendre conscience de ses schémas : observer ses réactions face aux situations de rejet
  • Travailler sur l’estime de soi : pratiquer l’auto-compassion et l’affirmation de soi
  • Exprimer ses ressentis / émotions : oser dire ce que l’on ressent sans peur du jugement 
  • Reprogrammer son inconscient : utiliser des techniques comme l’EFT, la visualisation ou la méditation guidée.
  • Se faire accompagner : un coach de vie peut être un allié précieux dans ce cheminement.

En quoi le coaching de vie peut-il soulager ?

Un coaching de vie peut vous aider à :

  • Prendre conscience des blessures inconscientes et de leurs manifestations
  • Transformer les croyances limitantes que vous avez à propos de vous 
  • Mettre en place des actions concrètes pour transcender les stratégies / masques mis en place pour éviter de revivre le rejet
  • Apprendre à poser des limites saines dans vos relations
  • Vous détacher des peurs qui vous paralysent – agir et prendre votre place 
  • Apprendre à ressentir le corps, faciliter la libération émotionnelle  
  • Oser vous engager pleinement dans les relations intimes – apprendre à vous ouvrir, à faire confiance, à exprimer vos sentiments, envies, besoins.
  • Ouvrir la porte de votre cœur (chakra cœur) à votre propre existence pour faire la paix en vous-même et vous ouvrir authentiquement à l’amour

C’est bien souvent dans le cadre d’une thérapie de couple que cette blessure est conscientisée. En effet, si le/la partenaire a un fonctionnement en polarité inversée (blessure d’abandon), il/elle va exprimer son incompréhension face au fonctionnement « fuyant/évitant » de sa/son partenaire, la relation étant en miroir.

Article : la blessure d’abandon : dépendance affective

Conclusion

La blessure de rejet n’est pas une fatalité. En comprenant ses origines et en adoptant les bonnes stratégies, il est possible de s’en libérer et de retrouver une sérénité intérieure et une véritable connexion avec soi et les autres. Que ce soit par un travail d’introspection ou avec l’aide d’un coach de vie ou de couple, chaque étape vers la guérison est une avancée vers une vie plus épanouie et des relations plus authentiques. 

Prêt(e) à transformer votre vie ? Faites le premier pas aujourd’hui et osez vous libérer du poids du rejet ! Prenez contact avec Anaïck Vaillant – premier échange téléphonique de 15mn possible gratuitement puis séances à son cabinet de Rezé – Nantes ou en distanciel.

Impression que rien ne vous nourrit, vous rassasie ? Quête insatiable pour remplir ce vide intérieur ressenti puissamment et recherche vaine à l’extérieur, dans les relations, les situations et les objets ? Sentiment de « puits sans fond » qui n’est jamais rempli et d’insatisfaction constante ? Ces sensations et ces attitudes pourraient bien être le signe d’une blessure d’abandon.

La blessure d’abandon est l’une des cinq blessures de « l’âme » identifiées par la thérapeute Lise Bourbeau. Chacune des blessures est réveillée suite à des expériences traumatiques de la part de nos figures d’attachement, les parents la plupart du temps. Elles seront réactivées au long de la vie au travers des expériences vécues. Profondes et souvent inconscientes, elles impactent de nombreuses sphères de notre vie, notamment les relations amoureuses. D’où vient la blessure d’abandon ? Comment se manifeste-t-elle ? Et surtout, comment la traverser ? Cet article vous apporte des réponses concrètes ainsi que des pistes de solutions, notamment à travers du coaching de vie.

1. Comprendre pour se libérer de la blessure d’abandon

Ressentir fortement l’absence parce que l’être se sent déconnecté de son Essence

Alors que votre plus grand désir est de renouer profondément avec le sentiment de Plénitude intérieure et de trouver le bonheur en vous-même, c’est la tendance à nourrir les sensations de manque et à vous sentir insuffisant, incomplet qui prévaut. Ces pensées provoquent une sensation d’accablement face aux défis qui se présentent à vous.

Explorons ensemble cette blessure d’abandon, ses origines, ses manifestations et les solutions pour la transcender afin de redevenir libre d’être Soi.

2. Origines de la blessure d’abandon

La blessure d’abandon a pour fondement le manque, l’impression d’un besoin permanent de quelqu’un ou de quelque chose pour être satisfait.

Elle tire son origine d’une situation traumatique majeure (entre O et 3 ans) et qui s’est réveillée au contact du parent du sexe opposé. C’est lui qui a pour rôle d’aider l’enfant à accueillir l’amour des autres. L’abandon n’a pas besoin d’être définitif ou réel pour être activé, les longs silences, l’absence de regard de ce parent au moment où le jeune enfant réclame son attention est suffisante pour activer les filtres de perception qui provoquent une forte insécurité affective.

L’enfant sera alors en constante quête du soutien de ce parent mais ses filtres, sa manière de percevoir le Monde qui l’entoure, l’empêchent de voir ce que ce parent lui offre, mettant en exergue, uniquement, ses manquements. L’enfant ressent donc beaucoup de tristesse et développe petit à petit le sentiment de ne pas pouvoir exister seul, par lui-même, sans ce soutien. Il associe l’amour à l’incertitude, la proximité à la menace d’un éloignement. Et comme il se construit avec l’idée qu’il ne mérite pas d’avoir d’attention, lorsqu’il a besoin d’aide, il va plutôt choisir de s’isoler.

A l’âge adulte, ses relations avec les personnes du sexe opposé seront teintées par le filtre de l’abandon ce qui provoquera une difficulté à s’ouvrir à l’autre et à faire confiance. Il recherchera inconsciemment de la compagnie pour obtenir de l’attention et parvenir, en vain, à remplir ce vide qu’il ressent profondément. Pourtant, malgré cette compagnie, il se sentira toujours seul, vide, incompris. Et quand il fera l’expérience du refus ou des désistements, ce sera vécu comme un abandon de plus.

C’est cette profonde « tristesse originelle » que l’être aspire à transcender pour gouter à la plénitude, la complétude, c’est la voie de la guérison.

3. La blessure d’abandon : Les protections de l’ego

Pour éviter de faire face à ce sentiment d’abandon, l’ego « va alors développer des stratégies de protection qui deviendront, au fil du temps, symptomatiques et souffrantes dans la vie de l’individu, en voici quelques signes :

  • La dépendance affective ( soif d’attention et d’amour intense – manque d’autonomie)
  • Recherche désespérée de soutien émotionnel chez l’autre
  • Tendance aux addictions et aux compensations auto-destructrices (nourriture, alcool, drogue, sexe, jeux vidéos) destinés à combler le vide intérieur
  • Difficultés à ressentir pleinement les sensations, émotions – « corps = souffrance »
  • Manque d’estime de soi : sentiment d’être insuffisante ou de ne pas mériter l’amour
  • Tendance à la soumission (enfant victime) – « j’accepte « des miettes » dans les relations » ou je m’oublie
  • Difficultés à poser des limites et à exprimer ses besoins
  • Sentiment de ne jamais pouvoir s’accomplir seul
  • Risque d’emprise et de relations avec des profils pervers narcissiques

Pour éviter d’être confronté au manque, au vide intérieur et à sa plus grande peur, l’isolement, l’individu développe une stratégie de survie en adoptant un comportement dépendant affectif.

Il ne veut pas seulement aimer, il veut être sûr que l’objet de son amour ne partira jamais, qu’il ne sera plus jamais seul !

L’isolement n’est pas la solitude (moment de retrait volontaire) mais une sensation éprouvée à la suite d’absence prolongée de contacts. La crainte étant l’absence de soutien affectif et le besoin primordial, celui d’être aimé, l’individu va bien souvent être conduit à marchander l’amour (accepter des miettes) ou à faire passer les besoins des autres avant les siens. Il sera sujet à bien des déceptions lorsque les autres brilleront pas leur absence le laissant alors insatisfaits face à ses besoins (renforcement de sa croyance limitante).

Ces mécanismes de défense, bien qu’utiles pendant l’enfance, finissent par générer encore plus de souffrance et d’insatisfaction.

4. Comment se manifeste la blessure d’abandon ?

Les symptômes de cette blessure sont variés et peuvent s’exprimer sous différentes formes :

  • Sentiment chronique de vide ou d’insécurité (crises d’angoisse, panique)
  • Difficultés à vivre seul(e) ou isolement par protection, peur d’être abandonné
  • Comportements de surinvestissement dans les relations – donner plus que recevoir – donner « trop » – « être assez » pour que l’autre reste
  • Besoin de validation constante – recherche de réassurance permanente
  • Oscillation constante entre dépendance et peur de déranger / besoin d’être rassuré et honte d’en demander trop
  • Comportements passif-agressif : les attentes envers l’autre sont nombreuses et l’attitude « d’attente (de soutien, de nouvelles, de présence, d’engagement, de prises de conscience…) conduit à la frustration – agressivité
  • Forte anxiété surtout face à un profil de personnalité « fuyant » (cf. article sur la blessure de rejet)
  • Etat de panique lors d’une séparation – symptômes physiques de « coeur brisé » ressentis
  • Dépression et idées suicidaires car l’incarnation est vécue comme intolérable

Dans la relation de couple, ces manifestations peuvent créer un cercle vicieux d’attachement excessif et de conflits répétitifs.

5. Quels sont les effets sur la relation de couple ?

La blessure d’abandon influence grandement la dynamique amoureuse :

  • Hyper-dépendance vis à vis du partenaire : peur irrationnelle de perdre l’autre
  • Forte exigence avec beaucoup d’attentes du partenaire sensé réparé le vide ressenti enfant
  • Sacrifice permanent – acceptation de l’inacceptable, risque d’emprise de manipulateurs
  • Contrôle de la relation (lié à la blessure de trahison) et signes de jalousie excessive (surveillance, intrusions…)
  • Recherche de fusion dans la relation
  • Attirance pour des partenaires indisponibles émotionnellement (blessure de rejet) / Oscillation entre fusion et rupture
  • Répétition du schéma d’abandon : j’abandonne avant d’être abandonné

Sans travail de conscientisation puis de libération émotionnelle, ces comportements peuvent mener à des relations toxiques ou insatisfaisantes. La thérapie de couple permet bien souvent d’identifier la présence de cette blessure, notamment quand le couple fonctionne en polarités inversées, l’un souffrant de la blessure de rejet, l’autre de la blessure d’abandon.

6. Pistes et solutions pour cicatriser puis guérir

Comprendre et accepter cette blessure est une première étape de cicatrisation vers la guérison. Voici quelques solutions pour amorcer la guérison :

  • Prendre conscience de la blessure et de ses impacts
  • Verbaliser ses émotions et apprendre à les accueillir pour s’en libérer
  • Cultiver l’amour de soi et développer l’autonomie affective
  • Reprogrammer les croyances limitantes engrammées dans le subconscient
  • S’entrainer à la respiration consciente pour apaiser l’anxiété – Outils de cohérence cardiaque, EFT, EMDR ou Hypnose (syndrômes post traumatiques)

7. En quoi le coaching de vie peut-il aider à s’en libérer ?

Le coaching de vie est un outil puissant pour accompagner la guérison de la blessure d’abandon. Un coach aide à :

  • Prendre conscience des mécanismes de défense (dépendance affective, peur du vide et de la solitude…) et identifier ses « failles narcissiques » pour éviter les manipulations
  • Déconstruire les croyances limitantes et reprogrammer le subconscient pour gagner en confiance
  • Apprendre des techniques de libération émotionnelle
  • Se reconnecter à Soi et s’ouvrir à l’aspect spirituel de l’être : Pratique d’intériorisation, méditations pour se reconnecter à l’abondance de la Vie
  • Développer l’expression de Soi, de l’intuition et les perceptions subtiles (chakra de la gorge) – l’individu se sent souvent coupé de ses sensations corporelles et extra sensorielles.
  • Apprendre à poser des limites saine
  • Etre capable de développer une relation d’amour pour soi afin d’être capable de vivre une relation amoureuse équilibrée avec un(e) partenaire.

Avec un accompagnement personnalisé, il devient possible de se libérer des peurs et de construire des relations plus saines.

Conclusion

La blessure d’abandon peut sembler insurmontable, mais avec une prise de conscience et un accompagnement adapté, il est tout à fait possible de cicatriser et pourquoi pas de guérir. Que ce soit par un travail personnel d’introspection ou de méditation, yoga, chemin spirituel ou par un accompagnement professionnel comme le coaching de vie, chaque pas vers la guérison vous rapproche d’une vie plus sereine et épanouie.

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Il y a des moments où tout devient TROP. Trop de pression, trop de responsabilités, trop de silences aussi. On continue d’avancer en pilotage automatique… jusqu’à ce que le corps, l’esprit ou le cœur lâchent. C’est souvent subtil au début : fatigue persistante, désengagement, irritabilité, perte d’élan. Puis vient l’impression d’être vidé(e), coupé(e) de soi.

Ce n’est pas toujours un burn-out clinique, mais cela peut en être la lisière.
On parle aussi d’épuisement émotionnel, mental, relationnel ou existentiel. Tous ces états ont un point commun : un désalignement profond entre ce que vous vivez et qui vous êtes vraiment.

Dans ce brouillard intérieur, le coaching de vie offre plus qu’un soutien. Il peut devenir un espace de reconnexion à votre rythme, à votre vérité, à vos ressources. Il ne s’agit pas de « repartir comme avant », mais de revenir à soi autrement : plus conscient, plus solide, plus aligné.


Un contexte sous pression : le burn-out n’est plus un « mal » isolé

Depuis quelques années, les cas d’épuisement explosent. Ce n’est plus une exception : c’est devenu une réalité silencieuse, souvent banalisée mais qui demande à être réellement prise au sérieux.

  • De plus en plus de personnes vivent un épuisement mental, émotionnel ou physique sans poser de mots clairs dessus.
  • Le burn-out professionnel touche aujourd’hui toutes les générations, y compris les jeunes actifs et les professionnels de santé.
  • Le burn-out parental, le bore-out (l’ennui extrême) et la surcharge numérique s’ajoutent à la pression ambiante.
  • Les femmes, les cadres, les aidants sont parmi les plus exposés, souvent en raison d’une accumulation de rôles invisibles.

L’épuisement n’a pas qu’un seul visage. Il peut être discret, progressif, déguisé en sur-adaptation.


Reconnaître les signes de l’épuisement : quand le corps et l’âme s’expriment

Il ne se manifeste pas toujours brutalement. Il s’installe souvent à pas feutrés, jusqu’à ce que quelque chose en vous dise : « je n’y arrive plus ».

Les signaux peuvent varier selon les personnes, mais certains indicateurs reviennent fréquemment :

  • Fatigue chronique, même après une nuit de sommeil
  • Perte d’élan, de joie, d’envie – ce qui vous animait semble à distance
  • Irritabilité, hypersensibilité ou détachement émotionnel
  • Difficulté à se concentrer, sensation de brouillard mental
  • Tensions physiques persistantes : dos, nuque, ventre, maux inexpliqués
  • Sentiment d’absurdité ou de déconnexion vis-à-vis de votre travail ou de vos proches
  • Besoin de retrait, envie de silence, parfois culpabilité de ne plus réussir à “tenir” ou « faire face »

Ce qui rend ces signes complexes, c’est qu’ils peuvent sembler banals au départ. Mais lorsqu’ils se répètent, s’intensifient, ou deviennent une forme de normalité, ils méritent alors d’être sérieusement écoutés avec sérieux et tendresse.

Reconnaître l’épuisement, ce n’est pas faillir. Bien au contraire, c’est souvent le premier acte de courage vers une autre manière d’être au monde.


L’opportunité de mieux se connaître ?

L’épuisement n’est pas une impasse : il peut devenir le signal d’un besoin profond de changement. Un appel à réinventer son rapport à l’énergie, au temps, aux priorités. En ce sens, il nécessite un accompagnement spécifique et approprié, qui prenne en compte toutes les dimensions de l’être.
Le coaching de vie proposé par Anaïck Vaillant est à la fois boussole et laboratoire d’expérimentation, il permet de :

  • prendre conscience de son dialogue intérieur (ressentis, sensations, émotions, pensées…)
  • identifier ce qui a conduit au mal-être
  • envisager un mode de vie plus en phase avec soi
  • instaurer des habitudes respectueuses de son rythme
  • restaurer une énergie durable
  • reconnecter avec le désir d’agir

Avec l’aide d’un professionnel à vos côtés, vous retrouvez plus de clarté, de structure et de confiance.
Parce que loin d’être un frein, ce syndrome d’épuisement peut devenir une source fertile de renouveau.


Comment le coaching agit : 4 leviers de transformation

1. Redéfinir son énergie motrice

  • Identifier ce qui nourrit l’être, l’âme et ce qui l’épuise
  • Réorganiser ses activités en cycles plus respectueux de soi

2. Reposer ses limites

  • Reconnaître ses besoins non négociables (relaxation, sommeil, alimentation, relations, temps de pauses)
  • Apprendre à dire non avec bienveillance et demander de l’aide, du soutien, déléguer

3. Retrouver du sens

  • Clarifier ses valeurs et priorités
  • S’autoriser à rêver, à nourrir son imagination pour choisir des actions réalistes et alignées

4. Ré-énergiser le corps et l’esprit

  • Intégrer des pratiques simples : respiration, marche en conscience, micro-pauses, relaxation, cohérence cardiaque, méditation, contemplation, danse libre, chant spontané…
  • Mettre en place des rituels anti-épuisement
  • Prendre le temps d’une retraite : méditation – yoga – jeun – marche en conscience
    • Le village des Pruniers (Plum Village en Dordogne propose des retraites et accueille de plus en plus de personnes en situation de burn-out – pensez-y, c’est un merveilleux temps de ressourcement à s’offrir)
    • Suivre un programme de Mindfulness (Méditation de pleine conscience) : Cycle MBSR (ouvert à tous) ou MBCT (prescrit par un professionnel de santé, en cas de dépression) – les sessions se déroulent en individuel ou en groupe

Et si cet effondrement avait un sens ?

L’épuisement, bien qu’inconfortable, puisque souvent accompagné d’un sentiment d’effondrement de la structure (physique et psychique), peut devenir une chance. Celle de revenir à Soi : en questionnant les automatismes, en prenant conscience des pensées – croyances récurrentes, en suivant l’élan du coeur plutôt que la voix du mental contraignant.

Ce n’est peut-être pas un détour… Mais le vrai début du chemin !

Avec l’accompagnement professionnel, sensible et intuitif qu’offre Anaïck Vaillant, il n’est pas question de seulement mettre un bandage sur une plaie. Vous explorez ce qui, en vous, appelle à être respecté, entendu, reconnu, réorienté.

🔹 Pour transformer la fatigue en lucidité
🔹 Pour poser un nouveau souffle sur votre vie
🔹 Pour choisir plutôt que subir

Si vous ressentez l’envie d’être accompagné(e) sans pression, mais avec profondeur, prenez contact pour un premier échange.
Un espace vous attend, calme, soutenant, sans injonction.
Juste un espace pour vous, au moment où vous en avez le plus besoin.

Comment l’héritage devient un chemin de liberté ?

Nous portons tous en nous l’empreinte de notre lignée, et parfois, cet héritage agit comme un fil invisible qui nous retient, nous empêche d’avancer, de choisir librement notre vie. Comment honorer nos ancêtres sans rejouer leurs histoires ? Comment se libérer des schémas familiaux répétitifs tout en restant fidèle à soi-même ? Comment transformer le lourd poids du passé en un présent léger et joyeux ?


Les loyautés invisibles : des liens subtils mais puissants

Ivan Boszormenyi-Nagy, pionnier dans la thérapie familiale, a introduit le concept de – loyautés familiales invisibles – ces engagements inconscients que nous prenons envers notre famille pour maintenir l’équilibre du système. Ces loyautés jouent un rôle primordial dans les familles.

En effet, chaque individu semble être en attente de justice et de réciprocité dans les relations qu’il a avec ses proches. Cette attente est déterminante dans l’attitude qu’il aura envers eux.

Ces loyautés se manifestent souvent sans que l’on s’en rende compte, sous formes de :

  • Répétition de schémas de vie (échecs, maladies, choix professionnels)
  • Sentiment de culpabilité à l’idée de réussir là où nos ancêtres pensent avoir échoué
  • Besoin de porter les souffrances non exprimées de nos aïeux

Ainsi, elles se tissent dans les gestes, les croyances, les non-dits. Un enfant peut, par amour, adopter les souffrances, les valeurs ou les limites d’un parent, même si cela freine son propre développement. Cette fidélité affective agit comme un pacte invisible : « Je ne réussirai pas mieux que toi « , « je ne vivrai pas ce que tu n’as pas pu vivre », « je resterai dans l’ombre pour que tu ne te sentes pas seul(e) », « je resterai fidèle à l’engagement du mariage car on ne divorce pas dans la famille », « je n’aurai pas un statut social, une renommée, davantage d’abondance financière que mes parents »…

Bien que la plupart du temps inconscientes, ces dynamiques influencent néanmoins profondément notre vie quotidienne.


Honorer sans répéter : une nouvelle approche de l’héritage

Il est possible de rendre hommage à nos ancêtres sans pour autant rester fidèle et reproduire leurs blessures. Cela passe par :

  • La reconnaissance des histoires familiales, sans jugement
  • La mise en lumière des schémas répétitifs grâce à des outils comme le génogramme familial
  • La prise de conscience de nos propres choix et désirs, distincts de ceux de notre lignée

Cette démarche permet de transformer l’héritage familial en une source de force et de résilience.


Les archétypes familiaux : une lecture symbolique de nos dynamiques

Carl Jung a introduit la notion d’archétypes, ces figures universelles présentes dans l’inconscient collectif. Dans le contexte familial, certains archétypes peuvent se manifester :

  • Le Sauveur : celui qui cherche à réparer les blessures du passé
  • Le Rebelle : celui qui rejette en bloc l’héritage familial
  • Le Gardien : celui qui perpétue les traditions sans questionnement

Identifier ces archétypes en soi permet de mieux comprendre nos comportements et de choisir consciemment notre positionnement.


Devenir bouc émissaire : quand la loyauté prend le masque du sacrifice

Dans de nombreuses dynamiques familiales, celui ou celle qui ose remettre en question les schémas établis, souvent le rebelle, devient alors le « bouc émissaire« . Ce rôle n’est pas une malchance : c’est souvent le signe d’une âme en quête de vérité et d’émancipation.

En sortant des loyautés invisibles, il révèle ce qui a été tu – caché. Il montre les fractures, dérange les silences, remet du mouvement dans un système figé. Et si ce rôle est douloureux, il est aussi profondément libérateur, pour soi et pour la lignée (passée et future) toute entière.

Faire ce lien, c’est reconnaître :

  • Que rompre la chaîne des répétitions n’est pas trahir, mais transformer
  • Que porter un regard lucide et aimant sur le passé est un acte de guérison
  • Que sortir du rôle assigné, même au prix de la solitude, est une étape vers l’alignement intérieur

👉 Pour aller plus loin, lisez aussi l’article Le mouton noir de la famille : bouc émissaire ou révélateur dans ma rubrique Articles


Loyautés et Individuation : un passage nécessaire vers le Soi

Sortir des loyautés familiales inconscientes est souvent une étape incontournable du processus d’individuation. Selon Carl Jung, ce processus dynamique est une quête de l’Être profond, un chemin vers la pleine réalisation du Soi. Tant que nous restons attachés à des schémas qui ne nous appartiennent pas, nous ne pouvons donc pas accéder à notre Essence véritable.

L’individuation implique donc :

  • La reconnaissance des influences familiales sur notre psyché (programmes internes – croyances)
  • La différenciation progressive de notre identité propre
  • L’intégration des parts héritées, sans les subir

Ce travail intérieur, parfois douloureux, ouvre la voie à une liberté plus consciente et à une vie alignée avec notre vérité intérieure.


Vers une prise de conscience collective

De plus en plus de personnes s’intéressent à leur histoire familiale pour mieux se comprendre et se libérer des schémas répétitifs. La psychogénéalogie et les constellations familiales, popularisées par Bert Hellinger, offrent des outils puissants pour explorer ces dynamiques. Ces approches permettent de :

  • Mettre en lumière les loyautés invisibles pour s’en émanciper
  • Réintégrer les membres exclus du système familial
  • Retrouver sa place légitime au sein de sa lignée

Cette prise de conscience collective témoigne d’un désir croissant de vivre en accord avec soi-même, libéré des poids du passé.


Etes vous décidé(e) à écrire votre propre histoire ?

Vous sentez que des schémas familiaux vous entravent ? Vous souhaitez vous libérer des loyautés invisibles tout en honorant vos racines ?

Anaïck Vaillant vous propose un accompagnement personnalisé pour :

  • Explorer ce qui dans votre histoire familiale impacte encore votre présent
  • Identifier les schémas répétitifs qui se perpétuent dans votre réalité
  • Apprendre la technique de « révision » pour choisir de nouvelles croyances non limitantes et manifester une nouvelle réalité
  • Retrouver ainsi la liberté d’être et de choisir

Offrez-vous la possibilité de vivre pleinement votre vie, en harmonie avec votre héritage.

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Hériter autrement, c’est choisir la Liberté

Sortir des loyautés invisibles ne signifie pas renier sa famille, mais au contraire, l’honorer en vivant pleinement sa propre vie. C’est reconnaître les souffrances du passé, les transformer en forces, et transmettre à son tour un héritage libéré.

Avec l’accompagnement personnalisé et novateur que je vous propose, vous pouvez entamer ce voyage intérieur, en toute sérénité et avec bienveillance.

Parce que votre histoire mérite d’être écrite ou ré-écrite en toute liberté

Comment les nombres peuvent éclairer les transitions de carrière ?

Changer de voie professionnelle est souvent un moment de remise en question. Et si la clé n’était pas à chercher à l’extérieur, mais dans la lecture subtile de soi-même ?
La numérologie créative, en s’appuyant sur la symbolique de votre identité (nom, prénoms, date de naissance), vous invite à écouter cette voix intérieure qui connaît déjà le chemin.
Un outil puissant pour naviguer avec clarté et confiance en période de transition.


La numérologie créative : un miroir de soi pour orienter sa carrière

Créée par Colette Le Floch, la numérologie créative est bien plus qu’un outil de guidance. C’est un révélateur de sens.

Elle permet de :

  • Mettre en lumière les talents et compétences naturels.
  • Identifier les cycles de vie favorables à la transformation.
  • Comprendre les freins inconscients qui bloquent l’élan.
  • Clarifier les aspirations profondes, parfois enfouies sous les obligations ou les injonctions sociales.

Dans le cadre d’un coaching de transition de carrière, en plus des outils traditionnels utilisés en coaching, elle agit comme une boussole : elle guide les décisions sans jamais les imposer, en réactivant l’autonomie intérieure.


Trouver sa voie : une quête universelle, à tout âge

Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui ressentent l’usure d’un métier déconnecté de leur essence.
Mais se reconvertir soulève souvent des peurs :

  • « Et si je me trompais encore ? »
  • « Suis-je trop âgé(e) pour recommencer ? »
  • « Que vont penser les autres ? »
  • « Est-ce que je vais y arriver seul(e) ? »

La vérité, c’est qu’il n’y a pas d’âge pour se réaligner.
Changer de voie à 30, 45 ou 60 ans, ce n’est pas fuir : au contraire, c’est revenir à soi.
La grille de lecture qu’offre la numérologie créative, en révélant votre rythme intérieur, vous aide à faire la paix avec vos cycles passés… et à entrer dans cette nouvelle étape de votre vie avec confiance.


Une approche qui résonne avec les mutations actuelles

La vague de reconversions que nous traversons depuis la crise sanitaire l’a prouvé : les carrières linéaires appartiennent au passé.
Ce que recherchent désormais les actifs ?

  • Du sens dans leur activité
  • Une utilité réelle
  • Un meilleur équilibre de vie
  • L’alignement entre valeurs personnelles et cadre professionnel

Le coaching qui utilise cette approche répond véritablement à cette quête d’authenticité. Il soutient l’émergence d’une nouvelle façon de travailler : plus libre, plus incarnée, plus intuitive.


Vous êtes à un tournant ? Offrez-vous un vrai point de bascule

Vous sentez que quelque chose ne colle plus dans votre métier ?
Vous aspirez à une vie professionnelle plus vivante, plus alignée ?

Avec l’accompagnement sensible et pragmatique d’Anaïck Vaillant, vous pouvez :

  • Identifier votre “pierre angulaire professionnelle”
  • Explorer vos cycles d’évolution
  • Mettre plus de clarté sur ce que vous ressentez confusément
  • Avancer à votre rythme vers un avenir qui vous ressemble

Une transition professionnelle qui part de l’âme

Trop souvent, on cherche sa voie comme on chercherait un job.
Mais la véritable transformation naît du lien à soi.
La numérologie créative n’est pas une réponse toute faite : c’est un espace de révélation, une carte subtile pour cheminer depuis l’intérieur.

Avec douceur, avec précision, elle vous accompagne à chaque étape :

  • Décoder vos potentiels
  • Libérer les blocages
  • Rendre visible le sens caché de votre parcours
  • Et surtout, vous reconnecter à cette part de vous qui sait exactement où elle veut aller

Osez une transition alignée avec votre vibration profonde. Parce que votre place vous attend.

🔎 Pour en savoir plus sur les accompagnements d’Anaick Vaillant et pour consulter les articles partagés.

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Comment réapprendre à aimer sans s’abandonner ?

Dans une époque où les relations se consomment autant qu’elles se cherchent, il devient essentiel de revenir à notre essence : l’Amour véritable en couple ne nous fait pas disparaître – il nous Révèle.

Trop souvent, aimer rime avec se fondre dans l’autre, se sacrifier, faire des compromis, s’oublier pour maintenir le lien à tout prix – Et à quel prix parfois ? Pourtant, ce que l’Amour vrai nous enseigne, ce n’est pas de se fuir dans la fusion avec l’autre, mais de se rencontrer intimement, dans la profondeur de l’être.


La recherche de relations vécues en conscience

Aujourd’hui, on observe une évolution majeure des attentes relationnelles :

  • Besoin d’authenticité, d’écoute, d’alignement,
  • Refus des schémas de dépendance, soumission/domination ou de sacrifice,
  • Soif de relations qui élèvent, font grandir plutôt que celles qui imprisonnent.

Le coaching relationnel, en séance individuelle ou en duo, tel que proposé par Anaïck Vaillant, répond à cet élan. Il invite à une rencontre avec Soi… dans la rencontre avec l’autre.


Une posture alignée, pas un compromis

La rencontre amoureuse nous déstabilise car elle rejoue les attentes affectives de l’enfance, les besoins fondamentaux d’amour, d’attachement, de protection et de reconnaissance. C’est d’ailleurs la seule relation qui, pour la plupart des individus, exige l’exclusivité.

La relation amoureuse est une formidable opportunité pour dévoiler des facettes inconnues de notre personnalité. Elle procède tel un miroir vivant qui nous renvoie à notre vérité, à notre vulnérabilité, à nos zones encore inexplorées.

La rencontre de deux personnalités est comme le contact de deux substances chimiques : s’il se produit une réaction, les deux en sont transformées. Carl Jung

Tomber amoureux nous fait rejouer quelque chose de l’indifférenciation des origines, de l’illusion de complétude, de l’amour maternel inconditionnel. Mais, ce n’est pas dans la fusion qu’on grandit, mais dans la mise en lumière mutuelle.

Cela permet de :

  • Ne plus se trahir pour être aimé,
  • Écouter ses besoins sans les étouffer pour préserver le lien,
  • Accueillir l’autre tel qu’il est, sans se nier soi,
  • Choisir la relation chaque jour, plutôt que de la subir par peur de la solitude.

Se retrouver à travers l’Autre : la clé d’un Amour vivant

Quand la relation devient un espace de conscience, elle nous transforme.

L’autre nous sert de Révélateur :

  • Il met en lumière nos mécanismes inconscients,
  • Il nous confronte à nos blessures d’enfance non guéries,
  • Il nous pousse à nous regarder avec plus de vérité et de discernement.

La relation la plus importante que vous ayez est celle que vous entretenez avec vous-même Louise Hay

C’est à partir de cette relation avec soi, intérieure, réconciliée et nourrie, que l’on peut aimer sans se perdre.


Coaching relationnel : un accompagnement pour aimer autrement

Anaïck Vaillant, Coach de vie et thérapeute de couple propose un coaching relationnel doux, puissant et ajusté pour vous aider à sortir des jeux de rôle auxquels vous vous êtes identifiés et enfin habiter les liens avec présence et souveraineté. Cette offre s’adresse aux couples qui souhaitent :

  • Se libérer des schémas de dépendance affective ou d’évitement relationnel,
  • Apprendre à poser des limites sans peur de perdre l’amour,
  • Réconcilier lien et liberté intérieure,
  • Revenir à une relation vivante, inspirée et consciente.

Son approche mêle écoute intuitive, lecture psychologique et systémique des dynamiques relationnelles et accompagnement au recentrage.


Aimer pleinement et ne plus jamais se laisser tomber

L’amour, dans sa forme la plus juste, ne demande pas de se sacrifier.
Il ne pose pas la fusion comme idéal, mais l’union dans l’altérité.

Se retrouver à travers l’autre, c’est découvrir qu’aucune relation ne comble ce que l’on ne s’offre pas à soi-même.
Et c’est justement là que commence l’amour réel : dans la liberté d’être, ensemble.

Envie d’explorer une autre façon d’aimer, plus libre et alignée ?
Anaïck Vaillant t’accompagne avec une approche sensible et transformatrice.
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Et si l’on refusait le dogme de la perfection ?

Ce n’est pas un nouveau mantra. C’est un souffle. Un soulèvement doux mais engagé, profond.
Celui de femmes qui choisissent de ne plus être lisse, de ne plus s’ajuster pour correspondre.
Des femmes qui veulent « être » plutôt que « paraître », ressentir et vibrer plutôt que performer.

Oser être vivante, vraie, naturelle – pas parfaite, c’est accepter de descendre dans le corps, de se relier à la peau, aux sensations, aux tremblements, à ses tripes – là où naît la Vérité.


Rompre avec l’injonction sociétale : Urgent et Vital

Nous avons hérité de nombreuses injonctions – invisibles et insidieuses :

  • Être belle, mais naturelle.
  • Être forte, mais douce.
  • Être spirituelle, mais jamais trop intense.

Ce carcan subtil fatigue. Il fige. Il fait taire. Il épuise. Il crée la charge mentale.
Rompre avec ces injonctions sociétales, c’est simplement se respecter, s’aimer, cesser de se nier.


Revenir au corps vivant, sentir au lieu de contrôler

Le féminin incarné ne se pense pas. Il se respire. Il se danse. Il se ressent.

Reconnecter au corps vivant, c’est :

  • Se lever le matin en écoutant ses sensations corporelles, ses intuitions, pas les obligations
  • Marcher pieds nus, pleurer sans se cacher, prendre du plaisir sans s’excuser
  • Manger, dormir, rêver… comme des actes de présence
  • Faire de soi sa priorité

Cela peut aider de mettre en lumière les injonctions héritées de l’enfance, impulsées par l’image sociale, le bien pensant, pour enfin désobéir, se libérer des carcans et retrouver le goût de l’élan de joie spontané.


Le féminin sâcré et léger… sans performance

Trop souvent, la femme qui se tourne vers elle-même, qui entreprend un chemin intérieur, se retrouve dans les mêmes méandres. La quête spirituelle devient un nouveau terrain de perfection maquillée :

  • méditer tous les jours,
  • avoir le sourire en toutes circonstances,
  • être capable de tout embrasser,
  • ne jamais être en colère,
  • « vibrer haut » à toute heure…

Pourtant, « être vivante », c’est se donner la permission d’être en vrac, d’avoir besoin de vide,
de choisir le silence plutôt qu’un mantra appris par cœur.

Le féminin véritable est cyclique, parsemé d’ambiguïté, contrasté.
Il n’a pas besoin d’être parfait pour être sacré.


Et si on célébrait l’imperfection ?

Imagine : un rituel non pas pour se « nettoyer », mais pour se reconnaître, pour re-naitre à soi-même.
Un espace pour honorer :

  • Tes failles comme des fêlures où passe la lumière
  • Tes rides, ton ventre, ton rythme unique
  • Tes doutes, tes colères, ton rire trop fort

Célébrer l’imperfection, c’est dire OUI à la Vie, telle qu’elle est. Et se tenir debout, avec ça.


Etre une femme magnétique

La femme magnétique ne séduit pas : elle émane, rayonne.
Ce n’est pas son apparence qui éblouie, mais sa présence habitée, pleine, assumée.
Elle est descendue dans son corps. Et cela se sent. Elle vit à pleine peau, même si cela déborde.
Elle attire irrésistiblement parce qu’elle est intègre et libre.

Elle ne cherche plus à plaire. Elle choisit d’être vraie. Elle sait montrer la vulnérabilité, les impossibilités, le silence, les larmes, les ombres…
Dans cette vérité nue, une puissance libère… et séduit naturellement.

Parce qu’elle ne cherche plus la validation à l’extérieur, qu’elle a cessé de mendier l’amour,
elle devient espace. Gravité. Miroir vivant.

Elle sait que sa lumière peut déranger mais elle l’accepte. Elle choisit de ne plus s’excuser d’exister. Elle n’attend plus d’être choisie. Elle se choisit elle-même. C’est là sa véritable authenticité.

“Ce n’est pas notre obscurité qui nous effraie le plus… c’est notre lumière” Marianne Williamson (lien vers texte : Notre peur la plus profonde, extrait du livre « Un retour à l’Amour »).

Et cette lumière, la femme magnétique n’essaie plus de la cacher pour être acceptée.


Et si toi aussi, tu décidais d’incarner le nouveau Féminin ?

On ne te demande plus d’être parfaite.
Seulement d’être là.
Présente à toi, au monde, à ce qui frémit en dedans. Naturelle.

Et si c’était ça, le féminin d’aujourd’hui ?
Pas un idéal. Pas une vitrine.
Mais un battement de cœur – incarné, sauvage, sensible, une aura pleine de Soi.

🌿 Prête à rencontrer la femme authentique et magnétique qui sommeille en toi ?

Anaïck Vaillant, Coach de vie et Psycho-praticienne, t’accompagne à son cabinet de Rezé ou à distance, dans ce chemin de retour à toi – sans pression, sans masque, sans devoirs.

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Sentiment d’imposteur, auto-sabotage : comment sortir du cercle vicieux ?

Tu doutes de ta place, de ta valeur, de ta légitimité à être là où tu es, à avoir le droit d’être heureux ? Tu avances, mais quelque chose semble te retenir, freiner à l’intérieur de toi. Une voix discrète mais persistante souffle que tu n’es peut-être pas assez. Ce sentiment d’illégitimité touche plus de personnes qu’on ne le croit, surtout celles qui se remettent beaucoup en question, qui osent de nouveaux projets, une posture nouvelle.

Cet article t’invite à explorer ce doute avec douceur et lucidité. Plutôt que de chercher à le faire taire, nous allons apprendre à l’écouter, le comprendre et le traverser. Parce que sous le doute, se cache souvent une métamorphose, un retour à Soi, en cours.


Le sentiment d’illégitimité : un signal, pas une vérité

Ce que tu ressens n’est pas un dysfonctionnement : c’est un message, une réaction naturelle dans un système qui a valorisé l’extériorité plus que l’intériorité. Le sentiment d’illégitimité n’indique pas que tu n’es pas à la hauteur, mais qu’une partie de toi n’est pas encore sûre de pouvoir être pleinement visible, assumée, présente.

Ce doute peut apparaître quand :

  • Tu changes de métier ou de posture (ex : devenir accompagnante, créer ton activité)
  • Tu sors des cadres familiaux, sociaux ou professionnels
  • Tu fais quelque chose qui n’a pas encore de reconnaissance externe
  • Tu accèdes à plus de responsabilité, d’influence, de visibilité

Ce n’est donc pas une faiblesse, mais un seuil psychique que beaucoup traversent.


Illégitimité ou imposture : deux faces du même manque de racines

Ces deux sentiments, bien que différents, partagent un même tronc :

  • Le sentiment d’illégitimité : « Je n’ai pas le droit, je ne suis pas autorisé(e) »
  • Le syndrome de l’imposteur : « Je trompe les autres sans qu’ils s’en rendent compte »

Dans les deux cas, l’âme se contracte au lieu de rayonner.
Et on retient sa puissance par peur de mal faire… ou de trop faire.

Le syndrome de l’imposteur serait en quelque sorte une forme concrète du sentiment d’illégitimité. Il s’exprime par :

  • Une peur d’être « démasqué »
  • La croyance que tu as réussi « par hasard »
  • Un besoin constant de faire plus pour mériter ta place
  • Une impression d’être moins compétent(e) que les autres, voire incompétent(e)
  • Une pensée obsessionnelle récurrente  » on va se rendre compte que je n’ai rien à faire là »

En réalité, ce syndrome touche souvent des personnes :

  • Compétentes, hypersensibles, ultra impliquées
  • Qui s’auto-observent beaucoup (position meta)
  • Qui ont grandi dans des environnements exigeants ou invalidants, humiliants

identifier ce mécanisme et en comprendre les ressorts, c’est déjà commencer à le désactiver.


Des signes qui ne trompent pas (ou trop bien)

Tu ressens l’un ou l’autre (ou les deux) si :

  • Tu baisses les yeux quand on reconnaît ton travail
  • Tu attends toujours « le bon moment », le diplôme en plus, la preuve extérieure
  • Tu as du mal à poser ta voix, ton prix, ton cadre de travail
  • Tu te sens coupable de faire respecter tes besoins, ton temps
  • Tu te sur-adaptes ou tu t’auto-sabotes dès que tu gagnes en visibilité

Et si ces sensations ne veulent plus partir, c’est qu’elles demandent à être transmutées, pas ignorées.


Revenir à son axe : les clés pour recontacter ton autorité intérieure

Tu n’as pas besoin d’être « plus » ou « mieux ». Tu as besoin de t’habiter plus pleinement, d’être toi.

Voici quelques clés concrètes pour retrouver confiance :

  • Revenir au corps : le mental doute, mais le corps sait
  • Nommer ce que tu vis. Le mettre en mots diminue la confusion.
  • Revenir à ton intention profonde. Pourquoi fais-tu ce que tu fais ?
  • Ancrer tes légitimités internes. Même si tu n’as pas toutes les reconnaissances extérieures.
  • Partager ton chemin. Parler de ton doute à d’autres le rend plus humain.
  • Célébrer tes pas. Chaque mouvement vers toi compte, même petit.
  • Poser des actes concrets : même minuscules, ils t’ancrent dans le réel

Aucune imposture, un appel à l’incarnation

Ce que tu prends pour un manque de légitimité est souvent un besoin d’ancrage.
Ce que tu nommes syndrome de l’imposteur est bien souvent une hypersensibilité mal reconnue.

Derrière ces doutes se cache une certitude silencieuse : celle d’avoir quelque chose de précieux à offrir. Le sentiment d’illégitimité est une traversée. Il signale souvent un alignement en gestation, une étape où l’ancien ne suffit plus, et le nouveau n’est pas encore ancré.

Et si le vrai courage, ce n’était pas d’être sûr(e) de toi ?
Mais d’oser te montrer, même quand tu trembles ?

Tu n’es pas un(e) imposteur(tice).
Tu es juste en train de revenir à l’essentiel – A ce que tu es naturellement, sans masque.


Prêt(e) à la métamorphose ?

Tu te reconnais dans ces lignes ? Tu veux être guidé(e) pour retrouver ton alignement intérieure et vivre cette métamorphose qui t’est proposée de manière plus douce ?
Je t’accompagne à oser ta « juste place » – sans en rajouter, sans t’excuser, sans t’empêcher.

Le coaching individuel peut t’aider à clarifier ton axe, apaiser tes doutes et oser une posture intérieure centrée. 🔍 Si tu veux aller plus loin, je te recommande vivement de lire cet article dans lequel tu découvriras :

  • Des pistes concrètes pour apprivoiser ta sensibilité, sans la fuir
  • Ce que recouvrent réellement l’hypersensibilité et les particularités du haut potentiel émotionnel
  • Pourquoi ces traits sont souvent mal compris, voire invisibilisés
  • Comment cette intensité émotionnelle peut devenir une ressource précieuse
  • Les défis spécifiques rencontrés par les profils HPI-HPE et hypersensibles

🔎 Pour en savoir plus sur les accompagnements d’Anaick Vaillant et pour consulter les articles partagés.

Et si ce que vous cherchiez à l’extérieur – reconnaissance, amour, paix, légitimité – était déjà là, en vous ? Et si la clé n’était pas de devenir quelqu’un d’autre, mais de cesser de croire qu’il vous manque quelque chose, que vous n’êtes pas déjà complet(e), accompli(e) ?

Dans un monde où le développement personnel est devenu une course sans ligne d’arrivée, je vous propose une rupture douce mais radicale : et si vous n’aviez plus besoin de « travailler » sur vous pour vous sentir légitime, vivant(e) ?
À travers une approche de coaching qui remet l’élan du cœur au centre, cet article vous invite à changer de point de vue, pas à vous transformer.

Vous découvrirez pourquoi votre monde extérieur est le reflet exact de ce que vous croyez sur vous, et comment, en disant un simple non à certaines idées, vous ouvrez la voie à une réalité plus fluide, plus alignée – plus vôtre.

Ce texte s’adresse à celles et ceux qui sentent qu’il est temps d’arrêter de se réparer, et de commencer à vivre à partir de ce qu’ils sont déjà.


✨ Ce que vous vivez est le miroir de ce que vous croyez sur vous-même

Et si les circonstances extérieures – votre réalité – ne faisait que refléter – avec une précision implacable – ce que vous croyez être vrai à votre sujet, à l’intérieur de vous ? Et si ce n’était pas l’autre en réalité qui vous blessait, mais ce que vous projetez sur lui depuis des parts de vous que vous refusez encore d’aimer?

Chaque relation, chaque situation, chaque tension est une invitation à voir clair, non sur l’autre, mais sur vous. J’ai l’habitude de dire que c’est un « cadeau mal emballé ».

La personne qui se croit séparée du tout sera toujours en manque de tout — Laurent Levy

Le manque, l’insatisfaction, les schémas qui reviennent encore et encore… ne sont pas des fatalités, mais des reflets de vos croyances actives.
La Vie, dans sa cohérence, vous répond avec exactitude : à chaque idée que vous validez en silence, elle vous offre l’expérience qui la confirme.

Ce que cette vision change profondément :

  • Toute critique de l’autre est une auto-critique camouflée
  • Accuser, juger, blâmer renforce la séparation intérieure
  • Offrir un sourire sincère, une écoute, un regard doux… c’est vous reconnecter à l’amour que vous êtes déjà
  • Ce n’est pas le monde qu’il faut réparer, mais les idées que vous nourrissez sur vous-même

Changer de regard sur vous, c’est changer d’expérience du monde.


La vraie rupture : stop au “travail sur soi”

Vous avez peut-être déjà beaucoup « travaillé sur vous »- thérapies, stages de développement personnel, lectures, conférences – et pourtant, le sentiment de « ne pas être assez/ suffisant » est toujours présent. C’est comme si vous poursuiviez inlassablement une quête : celle de devenir enfin « la meilleure version » de vous-même.

Cette quête épuisante est illusoire. Pourquoi ? Parce que chercher à se réparer ou à évoluer en permanence, valide l’idée qu’il y a quelque chose à changer, à réparer en vous.

Comme le dit Franck Lopvet, tant que vous essayez de devenir quelqu’un d’autre que vous-même, vous rejetez celui ou celle que vous êtes déjà. Et ce rejet, aussi subtil soit-il, nourrit la souffrance. Ce n’est pas l’ombre qu’il faut effacer, c’est votre regard sur vous-même qu’il faut réconcilier. C’est là que commence la vraie bascule : oser être sans filtre, sans condition, sans attente de devenir « mieux ». C’est ce “oui” radical à soi qui ouvre la porte à la paix.

Selon Charlotte Hoefman, rien en vous n’est “cassé” à réparer : chaque part, chaque émotion, chaque réaction a une fonction juste dans votre système. Il ne s’agit plus de “nettoyer” ce que vous vivez, mais de le rencontrer avec douceur et lenteur. En revenant à votre corps, à vos ressentis, à ce qui est là sans forcer, vous créez un espace de sécurité intérieure où la transformation se fait naturellement, sans pression. Le chemin n’est pas de devenir une autre version de vous-même, mais de vous inclure pleinement.


✨ Les nouvelles règles du jeu : cheminer vers la complétude

Et si vous changiez de lunettes, plutôt que de changer de vie ?
Et si vous quittiez les dogmes bien installés du développement personnel – effort, mérite, lutte, patience – qui nourrisse le personnage (la personnalité) pour revenir à quelque chose de plus simple, plus juste, plus naturel ?

C’est en effet un véritable changement de paradigme :
💡 Ne plus croire ce que vous voyez, mais voir ce que vous croyez.
Car votre réalité ne fait que refléter les idées que vous validez, parfois sans vous en rendre compte. Ce à quoi vous ne portez plus attention, cesse simplement d’exister dans votre monde.

Ce que cela transforme, concrètement :

  • Passer de l’identité de victime à celle de créateur.trice lucide
  • Dire non à l’idée qu’il faut “mériter” l’amour, la paix ou la réussite
  • Refuser la croyance qu’il faut “guérir” avant de vivre
  • Reconnaître que chaque idée validée devient matière dans votre vie
  • Dire oui à l’élan de joie, maintenant, sans attendre
  • Accepter que votre regard soit plus puissant que vos circonstances de vie

Changer de vie, ce n’est pas tout changer… c’est souvent juste changer de point de vue

En tant que Coach professionnelle certifiée et Psycho-praticienne, je vous propose un accompagnement aligné avec ces nouvelles règles du jeu.
Un espace pour :

  • Identifier les croyances invisibles qui vous retiennent
  • Recontacter votre espace créateur – celui qui choisit
  • Libérer votre mental du cycle infernal problème/solution
  • Nourrir des idées vivantes, vibrantes, créatrices
  • Réintégrer la joie comme boussole quotidienne, simplement

✨ Vous n’avez pas besoin de vous changer… juste de vous retrouver

Ce que vous êtes profondément, par Nature, l’être ne demande ni correction, ni amélioration.
Vous n’êtes pas un chantier en cours, ni un projet à compléter. Vous êtes déjà enti.er(ère) – mais vous avez simplement appris à l’oublier.

Le Coaching personnalisé que je propose ne cherche pas à vous guérir, réparer. Il vous invite à revenir à vous. À cette part intacte, claire, joyeuse, qui n’a jamais cessé d’exister sous les couches de doutes, de “pas assez”, de “je dois encore…”.

Je ne suis pas là pour vous donner des conseils ou vous changer, je suis là pour mettre des mots sur ce que vous savez déjà mais que vous avez refoulé, enfoui, oublié.

C’est un accompagnement qui a pour intention de vous aider à sortir des logiques de manque, de séparation, de lutte… pour revenir à l’unité tranquille.
Un espace pour reconnaître ce qui est déjà là : votre joie, votre justesse, votre puissance créatrice.

Quand vous cessez de chercher, vous commencez à trouver.
Et ce que vous trouvez, ce n’est pas une nouvelle version de vous-même…
C’est vous. Ici. Maintenant. Suffisant(e), Accompli(e),Aimant(e).


Reprendre sa place de choisissant – créateur

Cette vision offre une rupture radicale avec le paradigme du manque qui vous invite au « toujours plus ».

Vous ne verrez rien de nouveau dans votre Vie tant que vous poursuivrez vos rêves à l’extérieur, tant que vous essaierez de faire changer les autres, tant que vous croirez devoir mériter d’être heureux(se) ou que vous penserez ne pas être digne, à la hauteur…
Dès que vous choisissez de valider une nouvelle idée, votre réalité s’ajuste. A vous de décider ce que vous choisissez de valider ? A vous de décider à qui vous donnez votre pouvoir ?


Prêt(e) à choisir une nouvelle réalité ?

Inutile d’attendre, de chercher à vous réparer ou à vous guérir : vous êtes déjà complet(e), parfait(e) par Nature. Il suffit seulement d’accepter de dire oui à cette idée, et de « marcher » avec elle. Votre seul choix est de suivre votre élan, votre joie et elle ne se trouve pas dans votre mental mais dans votre cœur.

Si cela résonne en vous, je vous propose un premier contact téléphonique (15 mn) pour :

  • Explorer ce que vous vivez actuellement
  • Clarifier votre vrai désir
  • Voir ensemble comment mon accompagnement peut vous aider à basculer vers une vie plus simple, alignée, et joyeuse
  • Et fixer une date de première séance si vous avez l’élan d’entamer un accompagnement avec moi

Prendre rendez-vous avec Anaïck