Catégorie

Accompagnement

Catégorie

Parce que nous vivons dans un Monde où tout semble aller de travers – conflits, famine, incertitudes climatiques, crises économiques, repères sociaux – une question urgente et essentielle s’invite alors d’elle-même : Où en sommes nous de notre paix intérieure ?

Pas la paix factice, celle que l’on joue pour éviter le conflit.
Pas celle qu’on affiche sur les réseaux entre deux tempêtes émotionnelles.
Mais celle, plus rare, plus exigeante, qui se vit dans le silence du cœur. Celle qui ne dépend ni des circonstances ni des autres. La vraie.

Et dans vos liens les plus proches, parents, enfants, partenaire, cette paix existe-t-elle ? Ou y a-t-il encore des tensions larvées, des non-dits qui usent, des compromis qui vous éloignent de vous-même ?

Nous voulons souvent changer le monde, apaiser les débats, transmettre des valeurs. Mais si nous ne sommes pas en paix dans notre cercle intime, le plus sacré, le plus fragile, alors toute quête extérieure sonne faux. Et comment imaginer un Monde en paix si nous sommes en conflit en nous-même ou avec les autres ?


Quand l’extérieur n’est que le reflet de l’intérieur

La quête du bonheur, du bien-être, de l’équilibre, de la sérénité… est bien souvent attendue de l’extérieur, comme si elle était conditionnée par notre environnement. Et pourtant :

  • Combien de tensions familiales non dites vous alourdissent encore ?
  • Combien de compromis dans votre couple vous éloignent de vous-même ?
  • Combien de conflits évités au travail se rejouent dans vos nuits ?

Tant que notre cercle intime, celui des relations profondes, reste en tension, la paix extérieure demeure une illusion.

La paix est un miroir. Elle ne se quémande pas : elle se crée, de l’intérieur. Elle s’installe quand le mensonge s’efface, quand la peur n’a plus besoin de masque.

Incarne le changement que tu veux voir advenir dans le Monde – M. Gandhi


Signes d’une paix apparente… mais pas réelle

Voici quelques indicateurs subtils que quelque chose cherche encore à se dire :

  • Vous vous sentez « en décalage » avec vos proches, sans savoir pourquoi.
  • Vous ne dites pas tout, pour ne pas « blesser » ou « mettre le feu ».
  • Vous ressentez une fatigue émotionnelle sans raison tangible.
  • Vous souriez souvent… mais soupirez intérieurement.
  • Vous attendez les vacances comme une fuite, pas comme une reconnexion.

Ces micro-fractures dans l’intime ne sont pas des échecs.
Elles sont des appels.
Des invitations à descendre en soi, à interroger ce qui, en nous, mérite d’être vu, compris, réajusté.


Et si les vacances n’étaient pas une pause, mais un révélateur ?

Les vacances approchent. Pour beaucoup, elles seront l’occasion de souffler.
Mais parfois, sous cette volonté de « déconnexion », se cache une fuite :

  • Fuite du trop-plein émotionnel accumulé
  • Fuite des conversations nécessaires mais inconfortables
  • Fuite de ce que la relation, ou la solitude, révèle de nous

Et si cet été était différent ?
Et si, au lieu de fuir, vous faisiez le choix courageux d’aller vers vous-même ?
Pas pour tout chambouler. Mais pour écouter, ressentir, ajuster.


Le cercle intime : miroir de votre système intérieur

Et si vous profitiez de cette pause pour revisiter vos liens ? Amoureux, familiaux, amicaux, professionnels… Non par crise, mais par choix.
C’est justement là que se cultive la Paix authentique et vraie : dans les micro-ajustements relationnels. Dans les mots non-dits enfin exprimés avec justesse. Dans l’écoute de ce que l’on ressent… au lieu de ce que l’on croit devoir être.

La paix intérieure ne se gagne pas en lisant un livre. Elle se vit dans l’expérience, dans l’ajustement quotidien de ses relations.

  • Suis-je encore en train de me taire pour ne pas froisser ou par peur de blesser ?
  • Est-ce que je me trahis au nom d’un prétendu amour ?
  • Quelle vérité ai-je peur de dire ou d’entendre ?
  • Ne suis-je pas encore en train de « faire des effort », de « sacrifier » des parts de moi ?

Bien qu’inconfortables, ces questions sont libératrices. Et aujourd’hui, vous pouvez décidez de ne plus vous offrir le luxe « d’attendre ».

Attendre quoi d’ailleurs ?

« Attendre » est un acte sacrificiel. Quand on attend de l’autre, de l’extérieur, on se transforme alors en mendiant. Focalisant sur l’objet de nos désirs, nous nous détournons de tout ce que la Vie a à nous offrir, et parfois même de bien plus grand.

L’attente est contre-productive :

  • Eloigne la paix – elle conduit au conflit intérieur : conflit avec une pensée, qui est une idée construite mentalement et crue – et qui, maintenant, pèse lourd.
  • Inconfortable à vivre émotionnellement
  • Repousse énergétiquement la manifestation du désir car elle émet une vibration de « manque »

Une conscience collective en mutation

Partout, les liens se redéfinissent. Des couples se réajustent, des familles explosent ou se réparent.
De plus en plus de personnes ressentent un besoin viscéral de vérité dans leurs relations, même au prix de vagues momentanées.

Le changement de paradigme est là : bas les masques et faux-semblants, fin de la paix achetée au prix du renoncement de soi.

Dans ce contexte, le Coaching de vie peut s’avérer un allié précieux pour faire émerger une paix vivante. Une paix qui n’exclut pas la confrontation, mais l’ouvre à la Conscience.


Et si la quiétude de l’été était la période idéale ?

  • Vous vous sentez épuisé(e) émotionnellement par vos relations ?
  • Vous vous surprenez à réagir, à être agressif.ve, à vous sur-adapter, ou à vous renfermer ?
  • Vous aspirez à plus de clarté, de justesse, de liens authentiques ?

Anaïck Vaillant – Révélatrice du Soi – propose un accompagnement individuel sensible et profondément humain pour vous aider à :

  • sortir des fidélités inconscientes qui sabotent la paix dans vos liens,
  • clarifier vos besoins et votre posture intérieure,
  • restaurer une sécurité affective dans le lien à soi et aux autres,
  • retrouver la joie d’aimer… sans se renier.

👉 Pour un temps d’échange gratuit (15 mn) ou fixer une séance


Si le « nous » rimait avec sincérité plutôt qu’avec évitement ?

Souvent perçues comme un répit salvateur pour les couples, les vacances peuvent aussi devenir un terrain glissant : celui où les tensions refoulées remontent, où les silences deviennent plus lourds, où l’intimité forcée met en lumière ce que l’on avait réussi à éviter le reste de l’année.

Et si, au lieu de « partir pour souffler », vous choisissiez en amont de poser ensemble vos valises émotionnelles ?

L’espace du couple offert par Anaïck Vaillant ne vise pas à réparer ce qui est brisé, mais à créer un moment privilégié pour dire, entendre, ajuster, ce qui permet de :

  • rétablir un dialogue sincère, hors des schémas réactifs du quotidien
  • clarifier les attentes, besoins et mettre en lumière les blessures de chacun
  • sortir des boucles de reproches ou de retrait / distance
  • réinvestir l’élan du lien, la complicité, l’envie d’être ensemble et de partager

Plutôt que de risquer une « explosion » sur la plage, ou un été passé à « ruminer intérieurement », cette démarche vous offre la possibilité de partir en congés unis, alignés, apaisés. Tout ne sera pas réglé, évidemment, mais « l’essentiel », ce qui vous lie à l’autre, aura été vu, exprimé, entendu dans le respect et la sincérité.

Ne restez plus seuls face à l’incompréhension, au sentiment de solitude, avec comme stratégie la fuite en avant – embarquez avec moi cet été vers des vacances au goût de la paix, du plaisir et du partage à deux !

👉 Pour en savoir plus ou prendre rendez-vous

Une exploration simple vers la Présence – Conscience


Bon nombre d’entre-nous passons une grande partie de notre vie à chercher quelque chose : un apaisement, un sens, une forme de complétude.
Notre culture occidentale nous incite à chercher le bonheur à l’extérieur de nous : dans les relations, les réussites, les possessions, l’argent, les objectifs à atteindre.
C’est ce que l’on nous a appris dès notre enfance : avancer, construire, accumuler, prévoir, prouver. Et cela a sa raison d’être… un temps.

Puis, la Vie va se charger de nous ramener à l’essentiel.
Un bouleversement, une souffrance physique ou psychique, une perte, une fatigue chronique, une expérience mystique, un vide intérieur difficile à nommer…
Comme si, à un moment, ce que nous poursuivions depuis toujours ne répondait plus. Comme si la Vie nous laissait tomber ?

Et si ce n’était pas le simple fruit du « hasard » ?
Et si cette sensation d’épuisement n’était pas un échec… mais un appel silencieux de la Conscience ?
Comme si quelque chose en nous, de plus vaste, de plus vrai, refusait de continuer à faire semblant.
Comme si la Vie, dans sa sagesse infinie, nous invitait à reconnaître que ce « moi », « cette personne » que nous croyons être n’a jamais été la totalité de ce que nous sommes.

Il ne s’agit pas ici de concepts ou de croyances. Il s’agit d’un Retour au Soi, à la Présence silencieuse qui a toujours été là, mais que le mental a masqué, recouvert de voiles.

Et si l’heure était venue de nous arrêter un instant … pour enfin voir ce qui est déjà là, ce qui a toujours été là, vivant, conscient, inchangé ?
Ce que vous êtes ne se trouve pas. Il se reconnaît.

Dans cet article, je vous invite à ouvrir doucement cette porte, pas vers un ailleurs, mais vers la Présence que vous Etes, Ici et Maintenant.


Pourquoi cherchons-nous autant à l’extérieur ?

Depuis l’enfance, on nous a appris à :

  • A nous identifier à une personne : un corps, des pensées, des émotions, une histoire …
  • A obéir, nous conformer, prouver notre valeur, faire notre place, réussir
  • Développer l’intelligence cognitive : Penser plutôt que de ressentir
  • Chercher des réponses à l’extérieur

Mais cette quête sans fin devient un jour épuisante.
Et Vivre simplement notre Vie semble être passé au second plan. Pourtant, l’essentiel, ce que nous sommes par Nature (l’intelligence de la Vie, la Conscience… ) n’a pas besoin d’être construite, elle a seulement besoin d’être rappelée à notre bon souvenir, puisqu’elle semble avoir été oubliée.

Elle ne s’ajoute pas : elle se dévoile.


Peut on définir la « Conscience » ?

Ici, pas besoin de croyance, ni d’aucun concept spirituel.

Par Conscience, on entend simplement :

  • Ce qui préexiste à tout, qui sait que nous sommes là
  • Ce qui observe que des pensées, sons, sensations apparaissent d’eux-mêmes
  • Ce qui reste tranquille même quand tout semble bouger à l’extérieur

Elle est là quand vous êtes en silence
Elle est là quand vous respirez
Elle est là même dans le chaos, en arrière-plan, calme, immobile

Elle est toujours là, ne nous quitte jamais.

C’est ce que NOUS SOMMES, avant les identifications au mental, aux rôles que nous jouons, aux histoires.


Comment se souvenir de la Conscience – Présence, concrètement ?

Nous n’avons besoin d’aucune technique compliquée. Seulement quelques pratiques simples pour ralentir et voir ce qui est déjà là.

1. Faire une pause consciente – Revenir à la présence

  • Fermez les yeux.
  • Laisser tout être comme c’est.
  • Ressentez le simple fait d’exister, ici, maintenant.

Pas besoin de visualiser. Juste rester avec ce qui est.

2. Observer sans juger

  • Une pensée arrive ? Notez-la, puis laissez-la passer.
  • Une émotion – sensation corporelle se fait sentir ? Accueillez-la, sans l’étiquetter.

Vous êtes celui ou celle qui observe. Pas ce qui est observé – perçu.

3. Ramener l’Attention vers l’instant

  • Écoutez les sons qui apparaissent autour
  • Portez votre attention sur la respiration (l’air qui entre, l’air qui sort)
  • Touchez ce qui est vivant dans votre corps

Plus vous revenez ici, par l’intermédiaire du corps notamment, plus le mental s’éloigne et perd de son pouvoir


Ce que vous découvrez en vous est profondément vivant

En revenant simplement à la Présence, certains ressentent :

  • Un apaisement profond, sans raison apparente
  • Une clarté soudaine
  • Une sensation de revenir chez soi

Cette Présence à Soi n’est pas quelque chose de nécessairement spectaculaire.
Parfois, c’est juste un souffle plus libre, un regard plus calme, une douceur dans la poitrine.

Et c’est suffisant. Car la Conscience ne crie pas, elle chuchote par le silence.


Et si tout était déjà là ? Et si vous étiez déjà complet(e) ?

Il n’y a rien à atteindre. Rien à mériter.
Seulement Re-connaître ce que vous êtes déjà : l’espace tranquille, vivant, conscient, vaste… derrière le vacarme du mental.

Prenez un moment pour vous poser. Fermez les yeux. Et réalisez :
Vous êtes là. Présent(e). Accompli(e). Et il ne manque rien.


Quand tout s’effondre, quelque chose de VRAI peut émerger

Et si ce trop-plein, cette lassitude, ce ras le bol…
N’était pas une fin, mais une porte d’entrée vers l’essentiel ?

Il arrive un moment où ce que l’on fait « par habitude » ne suffit plus. Ce moment est souvent vécu comme inconfortable car il y a perte de contrôle du mental – ego.

En réalité, c’est une véritable bascule.
Un appel discret mais puissant de la Conscience à revenir à elle-même. Non pas au « personnage – je », mais à la Présence vivante que nous sommes en essence, au-delà des histoires du « personnage – je » .


Si ces mots résonnent, que vous vous sentez confus, perdu, alors un espace d’écoute où déposer cela est possible, en séance au cabinet de Nantes Rezé ou à distance. Pour être entendu(e), guidé(e) à détricoter ce qui semble lourd, repérer les automatismes du mental qui empêchent le lâcher-prise afin de laisser émerger, simplement, ce qui est déjà là.

Anaïck Vaillant, Révélatrice du Soi, vous propose un accompagnement sensible et respectueux, pour vous aider à vous reconnecter à ce qui en vous ne s’est jamais effondré.

Prenez contact dès aujourd’hui.
Faites ce premier pas.
Non pas pour devenir quelqu’un d’autre,
Mais pour revenir à ce que vous êtes déjà.

Parce que parfois, il suffit d’une présence pour ouvrir une porte.

Et si vous appreniez à vous aimer sans culpabiliser ?


Dans un monde où l’on valorise la performance, l’indépendance et l’image de soi, la frontière entre amour de soi et égocentrisme devient réellement floue. Pourtant, savoir faire la différence est essentiel pour retrouver un équilibre.
Anaïck Vaillant, psycho-praticienne et Coach de vie, vous accompagne à reconnecter avec vous-même, à poser des limites saines, et à construire une relation apaisée avec votre monde intérieur.


Qu’est-ce que l’Amour de soi ?

L’Amour de soi n’est ni narcissique ni égoïste. Il s’agit d’un engagement envers soi-même, reconnaître sa propre valeur et cultiver une bienveillance intérieur. Concrètement, c’est :

  • Se traiter avec respect, même dans une situation qui conduit à un sentiment d’échec
  • Dire non sans culpabiliser (quand je dis non à l’autre, je me dis oui)
  • S’accorder du repos, du temps pour soi, sans justification
  • Honorer ses besoins émotionnels et physiques et les exprimer simplement

L’Amour de soi est un socle, une fondation sur laquelle s’établir : il permet ensuite de mieux aimer les autres, sans se sacrifier.


L’égocentrisme : un masque de protection ?

À l’inverse, l’égocentrisme naît souvent d’un manque ou d’une blessure non reconnue. Il s’exprime par :

  • Un besoin constant d’attention ou de validation
  • L’incapacité à écouter l’autre réellement
  • Une vision centrée sur ses intérêts, au détriment de l’entourage
  • Une difficulté à se remettre en question

L’égocentrisme n’est pas de l’amour de soi, c’est souvent une réponse automatique, un mécanisme de défense appris dans l’enfance et qui démontre un manque d’amour intérieur.


Comment distinguer les deux ?

Posez-vous ces questions :

  • Ce que je fais, est-ce pour me respecter ou pour éviter de ressentir un manque ?
  • Mon positionnement intérieur m’apporte-il la paix, la joie ou renforce-il les tensions ?
  • Suis-je capable d’accueillir pleinement l’autre sans me perdre ?

L’Amour de Soi apaise. L’égocentrisme isole.


Narcissisme et empathie : deux polarités inversées

Le narcissisme, souvent confondu avec l’amour de soi, se caractérise par une survalorisation de l’ego, un besoin d’être admiré, et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui. L’autre n’est plus perçu comme un être à part entière, mais comme un miroir de sa propre valeur ou un moyen de combler un vide intérieur.

À l’inverse, l’empathie issue de l’amour de soi repose sur une base saine : quand on est connecté à soi, on n’a plus besoin de dominer, séduire ou manipuler pour exister. L’Amour de soi authentique permet d’ offrir une Présence aimante, douce, une écoute sincère et une capacité à ressentir sans se perdre.

Différences clés :

  • Le narcissique cherche à être vu ; l’empathique cherche à comprendre.
  • Le narcissique impose ; l’empathique accueille.
  • Le narcissique a besoin d’être admiré ; l’empathique se suffit à lui-même.

Cultiver l’Amour de soi, c’est désamorcer les racines du narcissisme en s’accordant enfin ce que l’on attendait des autres : la reconnaissance, la tendresse, la validation.


Un soutien pour revenir à l’essentiel (Nature profonde)

Au sein du cabinet de Rezé – Nantes (ou en visio), Anaïck Vaillant, Psycho-praticienne et Coach, vous propose un accompagnement personnalisé pour :

  • Identifier vos limitations intérieures
  • Apprendre à écouter vos sensations, émotions avec douceur
  • Libérer les croyances liées à la culpabilité ou au rejet
  • Recréer un lien d’amour véritable avec vous-même

Objectif : retrouver une stabilité émotionnelle, une estime de soi naturelle, et des relations équilibrées.

Chaque séance est un pas vers une reconnexion authentique, loin des jugements, des masques et des automatismes.

L’Amour de soi est une voie de transformation. Il ne vous rend pas « trop », il vous rend juste vous.
Loin de l’égocentrisme, il permet d’habiter votre vie avec plus de conscience, de fluidité, et d’humanité.


Redonner toute sa place à l’Amour …

Dans une société qui confond souvent affirmation de soi et individualisme, il est urgent de redonner à l’Amour de soi ses lettres de noblesse.
Il ne s’agit pas de se mettre au centre et de ne plus être altruiste, mais de revenir à soi pour mieux rayonner.

Vous sentez que quelque chose bloque en vous ? Que vous donnez trop… ou pas assez ? Que vous n’arrivez pas à recevoir dans le cœur ?
Je vous invite à franchir le premier pas vers vous-même.
Prenez contact et découvrez un accompagnement qui vous aidera à faire la paix avec vous-même et à offrir votre rayonnement au Monde.

Une autre façon d’être ensemble est possible

Aimer n’est pas se fondre dans l’autre. Et pourtant, combien de fois confond-on l’amour avec la fusion, l’élan avec la dépendance, la proximité avec la perte de soi ?

Derrière le mot « amour », il y a souvent des peurs : peur d’être abandonné, peur de ne pas être aimé tel que l’on est, peur de perdre l’autre si l’on affirme trop sa vérité. Alors, on s’ajuste, on se sur-adapte, on se tait. Et peu à peu, c’est soi que l’on abandonne.

Mais il existe une autre voie, celle du lien conscient. Celle qui relie sans enfermer. Celle qui permet à chacun de rester entier au sein de la relation de couple.


Ce que la fusion vient souvent cacher

Dans les couples fusionnels, il y a parfois :

  • Une peur profonde de la solitude
  • Une croyance que l’amour véritable implique de tout partager
  • Une idéalisation de la complémentarité
  • Une difficulté à poser des limites saines
  • Un oubli progressif de soi

Quand deux partenaires amoureux fonctionnent ainsi, l’équilibre n’est plus : l’un porte, l’autre s’efface. Ou bien chacun attend de l’autre ce qu’il n’ose pas s’offrir lui-même.

La fusion n’est pas l’Amour. C’est une forme de protection inconsciente contre le sentiment d’insécurité.


La peur d’être Soi : au cœur des schémas affectifs

Ce qui empêche souvent d’être libre dans le lien, c’est la mémoire bien ancrée d’une blessure très ancienne :

  • L’enfant en nous qui ne s’est senti aimé que sous conditions : être sage, doux, gentil, conforme aux attentes de ses parents ou figures parentales d’éducation,
  • L’adolescent qui s’est senti exclu ou invalidé lorsqu’il à osé exprimer son avis ou s’est opposé,
  • L’adulte qui rejoue, sans s’en rendre compte, cet amour conditionnel dans les relations amoureuses.

Le couple devient alors aisément un terrain de répétition du schéma appris et bien souvent dysfonctionnel. Il se transforme en champ de bataille invisible où chaque partenaire cherche à être reconnu, validé, accueilli… mais dans l’incapcité de s’accueillir pleinement lui-même.

Le travail d’accompagnement que propose Anaïck Vaillant, Coach de vie et thérapeute de couple, vient justement déposer de la clarté sur ces mécanismes, qui sont la plupart du temps, inconscients. Il est alors possible pour chacun de reprendre la responsabilité de son propre espace intérieur.


Vers un couple libre : les repères d’un lien vivant

Un couple conscient et « secure » repose sur quelques piliers essentiels :

  • L’espace de chacun respecté : besoins, rythmes, envies, activités, relations
  • La parole vraie : exprimer sans reprocher ou accuser, faire des demandes et non exiger, poser des limites claires sans menacer (chantage)
  • La co-responsabilité du lien : ce n’est ni à l’u, ni à l’autre, de porter le couple, mais à chacun de s’y engager totalement
  • La reconnaissance des schémas affectifs blessés: plutôt que de blâmer l’autre, comprendre d’où vient sa réaction (enfant intérieur)
  • La nécessaire évolution : accepter que le couple évolue, change, que chacun se transforme avec la possibilité de ne plus souhaiter aller dans la même direction.

Une nouvelle forme de relation amoureuse en émergence

De plus en plus de couples ressentent le besoin de sortir des modèles figés du passé (du patriarcat). Ils n’ont plus envie de jouer « au couple modèle » mais au contraire, ils sont en recherche d’un lien vrai et authentique.

Ce mouvement se ressent grandement dans les demandes d’accompagnement actuelles :

  • Davantage de couples en début de relation, souhaitant poser des bases saines,
  • Plus de demandes de couples « jeunes » (tranche d’âge 20 – 30 ans)
  • Mais aussi des partenaires de longue date, désireux de se réinventer,
  • Et principalement des individus en quête d’une manière d’aimer plus respectueuse et alignée

Cette évolution de la relation conjugale est une véritable chance : elle sert de catalyseur, permettant de transformer l’amour dans le couple en un chemin d’éveil.


Et si vous choisissiez un accompagnement du lien vivant ?

Anaïck Vaillant propose un accompagnement sur mesure pour les couples en transition, en relation d’âmes, en quête de sens ou en désir d’évolution.

Son approche, sensible et profonde, vous aide à :

  • Nommer ce qui bloque sans crainte,
  • Entendre l’autre sans se perdre,
  • Recontacter le désir authentique,
  • Créer une relation plus fluide, plus libre, plus ancrée.

Les séances de couple sont en duo exclusivement, en présentiel au cabinet de Rezé ou en visio. Après quelques séances, si une demande individuelle émerge et que le couple consent à ce que l’un (ou les deux) des partenaires entament un accompagnement individuel avec Anaïck, la démarche peut alors évoluer dans ce sens. C’est toujours décidé en conscience et consenti par chacun.


Aimer véritablement en étant complètement soi

Le vrai amour commence là : quand chacun peut rester entier, debout, vivant aux côtés de l’autre. Sans peur. Sans masque. Sans fusion.

Le couple n’est pas la réunion de deux moitiés d’êtres. Il est la danse de deux entièretés.

Et si vous aussi, vous choisissiez d’aimer autrement, d’aimer sainement, dès maintenant ?

Prenez rendez-vous avec Anaïck Vaillant pour explorer ensemble un nouveau territoire du lien. Un lien libre, vivant, engagé.

C’est un premier pas qui peut tout changer !

On parle souvent de l’ombre comme de ce que l’on cache, de nos blessures, de nos failles, de ce qui gêne, fait honte ou peur. Mais il existe une autre forme d’ombre, plus discrète, plus insidieuse : celle qui se dissimule dans notre lumière.

Nos qualités les plus célébrées – altruisme, douceur, loyauté, sagesse – peuvent, lorsqu’elles deviennent absolues, nous enfermer. Ce n’est pas leur nature qui est en cause, mais l’excès, la rigidité, la fuite de la nuance. Une bonté sans limite peut se transformer en sacrifice. Une écoute constante, un oubli de soi. Une paix à tout prix, une impossibilité de poser ses limites.

Carl Jung nous a appris que l’ombre n’est pas seulement négative. Elle comprend aussi ce que nous ne nous autorisons pas à être : assertif, vivant, libre… parfois dérangeant.
Et si notre plus grand enfermement venait parfois de notre volonté de bien faire ?

Cet article propose de plonger dans cette zone méconnue de l’ombre – la face lumineuse – pour mieux comprendre comment nos plus grandes forces peuvent, sans conscience, devenir nos plus subtiles prisons. Et surtout, comment les réconcilier.


Trop de douceur : la tyrannie de la bonté

Imaginons la tyrannie de la douceur :

  • vous dites « oui » pour éviter de blesser… jusqu’à vous oublier
  • vous absorbez les émotions des autres… puis vous craquez
  • vous cultivez une image « bienveillante » et lisse mais au fond de vous gronde une colère sourde ou une fatigue inexpliquée

La générosité est une magnifique qualité, cependant quand elle est « en excès », elle devient fuite ou manipulation : une manière d’éviter le conflit – ou de chercher une reconnaissance sans dire clairement ce qui est attendu de l’autre.


Réhabiliter la nuance et le paradoxe : sortir du tout ou rien

Notre société aime les étiquettes : on est fort ou fragile, gentil ou égoïste, lumineux ou sombre. Pourtant, la psyché humaine ne se laisse pas enfermer dans ces cases binaires. Jung l’avait bien compris : c’est dans la tension des contraires que naît l’unité intérieure.

Réhabiliter la nuance, c’est accepter qu’on puisse être :

  • généreux(se) et avoir besoin de recevoir
  • empathique et avoir le droit de dire non
  • engagé(e) et parfois indisponible
  • sage et toujours en chemin
  • doux (ce) et tenace dans la défense de ses besoins

Voici quelques exemples concrets :

  • Une femme reconnue pour sa bienveillance naturelle peut, inconsciemment, se sentir coupable de poser une limite, même quand elle est épuisée. Son don de soi devient alors un voile sur sa colère silencieuse
  • Un thérapeute très connecté à la souffrance d’autrui peut oublier d’exprimer sa propre vulnérabilité, se cachant derrière le rôle de soutien
  • Un homme loyal envers sa famille peut nier ses propres désirs d’émancipation, croyant qu’honorer ses proches signifie se sacrifier pour eux

Ces tensions ne sont pas des faiblesses. Ce sont des appels à revisiter notre lumière, à lui redonner du mouvement, du souffle, de l’humanité. Une bonté consciente inclut la fermeté. Une écoute sincère connaît aussi ses limites.

En réalité, c’est souvent en réintégrant notre polarité oubliée que notre qualité retrouve son équilibre. Elle cesse d’être une armure ou un devoir, pour redevenir un choix vivant et incarné.


Identifier la toxicité au creux de la lumière apparente

Certaines de nos qualités les plus admirées – écoute, générosité, responsabilité, perfectionnisme, loyauté – peuvent devenir « nos pires enemies » si elles s’exercent sans conscience.

Comment repérer leur possible dérive ?

  • Vous vous sentez constamment vidé(e) ou débordé(e) malgré vos efforts pour « bien faire »
  • Vous ressentez une frustration intérieure quand vos élans ne sont pas reconnus ou valorisés
  • Vous ne vous autorisez pas à décevoir, dire non ou faire moins, même quand vous êtes à bout
  • Vous avez l’impression que votre valeur repose uniquement sur ce que vous apportez aux autres
  • Vous attirez des relations unilatérales, où vous donnez beaucoup… sans réciprocité

La lumière devient alors toxique et agit comme un masque. Elle vous pousse à vous conformer à une version idéalisée de vous-même, à vous sur-adapter sans cesse et de plus en plus, souvent au détriment de votre vérité intérieure.

Identifier ces mécanismes, ce n’est pas renier vos qualités : c’est leur redonner de la souplesse. Vous pouvez continuer à aimer, à donner, à accompagner, à inspirer – mais sans vous trahir.


Comment réconciler force et douceur en conscience ?

Vous êtes généreux(se), toujours disponible, et pourtant vous vous sentez silencieusement épuisé(e) ou frustré(e) ?
Il est peut-être temps de vous choisir enfin et d’apprendre à :

  • repérer ce qui rend toxique vos plus belles qualités
  • apprendre à poser des limites saines et respectueuses
  • équilibrer votre énergie intérieure (donner ET recevoir)
  • vous (re)connecter à votre être profond
  • suivre votre joie, vos élans du cœur sans culpabilité

Voici quelques objectifs qu’offre l’accompagnement personnalisé proposé par Anaïck Vaillant – Coach de vie et Psycho-praticienne – à Rezé (Nantes) ou à distance.

Prenez dès maintenant contact avec elle pour échanger sur ses différentes propositions d’accompagnement (vie privée – vie de couple – vie professionnelle).


Et si l’ombre n’annulait pas la lumière mais l’affinait ?

La lumière quand elle devient toxique n’est ni un défaut ni une faiblesse : c’est une qualité mal orientée.
L’enjeu ? La reconnaître sans la juger, l’ajuster sans la nier.
Réhabiliter cette ombre qui se dissimule au creux de la lumière, c’est offrir à vos qualités – l’empathie, l’engagement, la douceur, la profondeur et la clarté qu’elles méritent.

Ainsi, il vous est possible de devenir entièrement vous-même, authentique, sincère, sans filtre ni artifice. Et si vous aussi – comme de nombreuses personnes l’ont fait avant vous – vous décidiez d’oser cette réconciliation intérieure ? Et si vous aussi vous faisiez confiance à l’expertise d’Anaïck Vaillant pour vous permettre d’y arriver plus facilement ?

Le moment n’est il pas venu de révéler pleinement votre lumière au Monde !

Combien il est nécessaire de comprendre cette blessure originelle pour la transcender et vivre enfin pleinement ?

La blessure de rejet est l’une des cinq blessures émotionnelles et psychologiques profondes et invisibles qui peut avoir un impact durable sur la vie d’un individu. Elles sont réveillées par des expériences traumatisantes (abus, pertes, violences) de la part de nos figures d’attachement (souvent les parents) et elles entachent le lien d’amour chez l’enfant. Tant qu’elles ne sont pas conscientisées et libérées, elles se réactivent tout au long de la vie dans les situations relationnelles et font souvent l’objet de consultations en thérapie ou coaching de vie.


Comprendre pour se libérer de la blessure de rejet

Ne pas se sentir digne d’amour, avoir le sentiment d’être exclu, ignoré, invisible ou être constamment sur la défensive dans ses relations ? Fuir dès qu’une relation devient trop intime, notamment avec un partenaire du sexe opposé ? Ces sensations ou comportements pourraient être le signe d’une blessure de rejet. Profondément enracinée dans l’enfance, cette blessure impacte l’estime de soi et la qualité des relations, notamment amoureuses.

Comment la reconnaître, la comprendre et surtout, s’en libérer ? Explorons ensemble cette blessure et les solutions pour la transcender.


Les origines de cette blessure

La blessure de rejet a pour fondement le droit d’exister

Elle a pour origine un traumatisme pendant la grossesse et est réveillée par le parent du même sexe (figure de réveil) – le personnage (notre parent) n’est pas responsable de la blessure, il met en place ce dont l’enfant a besoin pour s’observer et transcender ce sentiment de non reconnaissance.

Cette blessure est extrêmement souffrante puisque l’être ressent des angoisses profondes liées à son existence. Se sentant rejeté pour qui il est (ou certaines parts de lui), il ne remet pas en question les figures d’autorité qui le repoussent, mais c’est lui même, son existence propre qu’il rejette. Il rejette les plaisirs de la vie et les sensations corporelles, croyant ainsi qu’il plaira davantage à ceux qui l’entourent. Il a tendance à s’isoler, se couper des aspects matériels, manifestant de cette manière son refus d’accepter tout ce qui lui permettrait d’aimer son être.

Ce qui a est gravé chez l’enfant touche son identité, avec le sentiment de ne pas être digne, légitime, à la hauteur des défis qui lui sont confiés, ce qui le conduit une fois adulte à chercher la reconnaissance à tous prix (validation, encouragements, place, travail, renommée, statut, argent…) et à s’imposer des normes de réussite inatteignables (exigence).


Comment se manifeste la blessure de rejet ?

Face au sentiment d’insécurité ressenti par l’enfant qui n’a pas la maturité émotionnelle suffisante pour gérer ce qu’il ressent, l’ego met en place des mécanismes de défense, appelés aussi « masques » qui sont des stratégies de survie pour le protéger et lui éviter des troubles graves de la personnalité.

Il grandit avec ses masques de protection. En voici quelques signes chez l’adulte :

  • « Faux-self » : façade protectrice conforme aux attentes extérieures qui masque le « vrai self », créant un hyper contrôle de soi, une recherche de perfection (« driver » Sois-parfait), un état défensif ou adaptatif en société
  • Grande dépendance au regard de l’autre : recherche constante d’approbation et de validation extérieure, peur de déplaire, de décevoir, d’être jugé
  • Besoin de reconnaissance sociale ou au contraire recherche d’invisibilité
  • Fuite des émotions (état dissociatif) avec refuge dans l’analyse mentale (recherche de solution, relativisation, minimisation…)
  • Stratégies d’évitement ou d’isolement : des relations trop intimes (amicales ou amoureuses), de la communication (peur des conflits) … isolement ou « sauveur » ultra disponible pour les autres s’impliquant énormément dans le travail, les activités, la famille, le sport …
  • Difficultés à exprimer ses besoins : peur d’être blessant pour l’autre ou d’être rejeté s’il ose exprimer ses ressentis, envies ou besoins
  • Autocritique exacerbée : dévalorisation de soi, comparaison aux autres, sentiment d’être nul (non existant), déception de ce qu’il est
  • Comportements d’auto-sabotage notamment dans les relations qui impliquent une intimité relationnelle et émotionnelle
  • Sentiment de culpabilité avec des difficultés à se choisir, à se prioriser pour vivre pleinement l’amour

Qui dit besoin de reconnaissance de soi dit Acceptation. L’être qui souffre du rejet par manque d’accueil à son égard est en résistance avec la vie, avec ce qu’il est et refuse la plupart du temps de s’accorder l’amour auquel il a droit. Il fuit sa réalité, son existence et aura tendance à faire de même avec les situations de la vie, tant qu’il n’aura pas pris conscience de ce schéma.


La blessure de rejet dans la relation de couple

Dans la relation de couple, cette blessure crée des schémas toxiques : 

  • Une certaine distance relationnelle et émotionnelle vis à vis du partenaire 
  • Un besoin excessif de validation : attente constante d’attention et d’affection, attitude enfantine
  • Un évitement de la communication : peur des conflits, que l’autre s’éloigne (le rejette)
  • Des stratégies toxiques : longs silences, fermeture émotionnelle,  ghosting (interruption de la relation sans prévenir ni communiquer) , mensonges et gaslighting (déformation de l’information qui est une forme de manipulation mentale)  
  • Une difficulté à poser des limites : peur d’être mal considéré, de décevoir 
  • Une attirance pour des partenaires distants : renforcement inconscient de la blessure – moins de risque de s’attacher et de souffrir 
  • Un manque d’engagement relationnel et de présence à l’autre et ses émotions 

Comment guérir de la blessure de rejet ?

Heureusement, il est possible de s’en soulager voire de s’en libérer avec un travail personnel et des actions concrètes :

  • Prendre conscience de ses schémas : observer ses réactions face aux situations de rejet
  • Travailler sur l’estime de soi : pratiquer l’auto-compassion et l’affirmation de soi
  • Exprimer ses ressentis / émotions : oser dire ce que l’on ressent sans peur du jugement 
  • Reprogrammer son inconscient : utiliser des techniques comme l’EFT, la visualisation ou la méditation guidée.
  • Se faire accompagner : un coach de vie peut être un allié précieux dans ce cheminement.

En quoi le coaching de vie peut-il soulager ?

Un coaching de vie peut vous aider à :

  • Prendre conscience des blessures inconscientes et de leurs manifestations
  • Transformer les croyances limitantes que vous avez à propos de vous 
  • Mettre en place des actions concrètes pour transcender les stratégies / masques mis en place pour éviter de revivre le rejet
  • Apprendre à poser des limites saines dans vos relations
  • Vous détacher des peurs qui vous paralysent – agir et prendre votre place 
  • Apprendre à ressentir le corps, faciliter la libération émotionnelle  
  • Oser vous engager pleinement dans les relations intimes – apprendre à vous ouvrir, à faire confiance, à exprimer vos sentiments, envies, besoins.
  • Ouvrir la porte de votre cœur (chakra cœur) à votre propre existence pour faire la paix en vous-même et vous ouvrir authentiquement à l’amour

C’est bien souvent dans le cadre d’une thérapie de couple que cette blessure est conscientisée. En effet, si le/la partenaire a un fonctionnement en polarité inversée (blessure d’abandon), il/elle va exprimer son incompréhension face au fonctionnement « fuyant/évitant » de sa/son partenaire, la relation étant en miroir.

Article : la blessure d’abandon : dépendance affective


Choisir plutôt que souffrir ?

La blessure de rejet n’est pas une fatalité. En comprenant ses origines et en adoptant les bonnes stratégies, il est possible de s’en libérer et de retrouver une sérénité intérieure et une véritable connexion avec soi et les autres. Que ce soit par un travail d’introspection ou avec l’aide d’un coach de vie ou de couple, chaque étape vers la guérison est une avancée vers une vie plus épanouie et des relations plus authentiques. 

Prêt(e) à transformer votre vie ? Faites le premier pas aujourd’hui et osez vous libérer du poids du rejet ! Prenez contact avec Anaïck Vaillant – premier échange téléphonique de 15mn possible gratuitement puis séances à son cabinet de Rezé – Nantes ou en distanciel.

Impression que rien ne vous nourrit, vous rassasie ? Quête insatiable pour remplir ce vide intérieur ressenti puissamment et recherche vaine à l’extérieur, dans les relations, les situations et les objets ? Sentiment de « puits sans fond » qui n’est jamais rempli et d’insatisfaction constante ? Ces sensations et ces attitudes pourraient bien être le signe d’une blessure d’abandon.

La blessure d’abandon est l’une des cinq blessures de « l’âme » identifiées par la thérapeute Lise Bourbeau. Chacune des blessures est réveillée suite à des expériences traumatiques de la part de nos figures d’attachement, les parents la plupart du temps. Elles seront réactivées au long de la vie au travers des expériences vécues. Profondes et souvent inconscientes, elles impactent de nombreuses sphères de notre vie, notamment les relations amoureuses. D’où vient la blessure d’abandon ? Comment se manifeste-t-elle ? Et surtout, comment la traverser ? Cet article vous apporte des réponses concrètes ainsi que des pistes de solutions, notamment à travers du coaching de vie.

1. Comprendre pour se libérer de la blessure d’abandon

Ressentir fortement l’absence parce que l’être se sent déconnecté de son Essence

Alors que votre plus grand désir est de renouer profondément avec le sentiment de Plénitude intérieure et de trouver le bonheur en vous-même, c’est la tendance à nourrir les sensations de manque et à vous sentir insuffisant, incomplet qui prévaut. Ces pensées provoquent une sensation d’accablement face aux défis qui se présentent à vous.

Explorons ensemble cette blessure d’abandon, ses origines, ses manifestations et les solutions pour la transcender afin de redevenir libre d’être Soi.

2. Origines de la blessure d’abandon

La blessure d’abandon a pour fondement le manque, l’impression d’un besoin permanent de quelqu’un ou de quelque chose pour être satisfait.

Elle tire son origine d’une situation traumatique majeure (entre O et 3 ans) et qui s’est réveillée au contact du parent du sexe opposé. C’est lui qui a pour rôle d’aider l’enfant à accueillir l’amour des autres. L’abandon n’a pas besoin d’être définitif ou réel pour être activé, les longs silences, l’absence de regard de ce parent au moment où le jeune enfant réclame son attention est suffisante pour activer les filtres de perception qui provoquent une forte insécurité affective.

L’enfant sera alors en constante quête du soutien de ce parent mais ses filtres, sa manière de percevoir le Monde qui l’entoure, l’empêchent de voir ce que ce parent lui offre, mettant en exergue, uniquement, ses manquements. L’enfant ressent donc beaucoup de tristesse et développe petit à petit le sentiment de ne pas pouvoir exister seul, par lui-même, sans ce soutien. Il associe l’amour à l’incertitude, la proximité à la menace d’un éloignement. Et comme il se construit avec l’idée qu’il ne mérite pas d’avoir d’attention, lorsqu’il a besoin d’aide, il va plutôt choisir de s’isoler.

A l’âge adulte, ses relations avec les personnes du sexe opposé seront teintées par le filtre de l’abandon ce qui provoquera une difficulté à s’ouvrir à l’autre et à faire confiance. Il recherchera inconsciemment de la compagnie pour obtenir de l’attention et parvenir, en vain, à remplir ce vide qu’il ressent profondément. Pourtant, malgré cette compagnie, il se sentira toujours seul, vide, incompris. Et quand il fera l’expérience du refus ou des désistements, ce sera vécu comme un abandon de plus.

C’est cette profonde « tristesse originelle » que l’être aspire à transcender pour gouter à la plénitude, la complétude, c’est la voie de la guérison.

3. La blessure d’abandon : Les protections de l’ego

Pour éviter de faire face à ce sentiment d’abandon, l’ego « va alors développer des stratégies de protection qui deviendront, au fil du temps, symptomatiques et souffrantes dans la vie de l’individu, en voici quelques signes :

  • La dépendance affective ( soif d’attention et d’amour intense – manque d’autonomie)
  • Recherche désespérée de soutien émotionnel chez l’autre
  • Tendance aux addictions et aux compensations auto-destructrices (nourriture, alcool, drogue, sexe, jeux vidéos) destinés à combler le vide intérieur
  • Difficultés à ressentir pleinement les sensations, émotions – « corps = souffrance »
  • Manque d’estime de soi : sentiment d’être insuffisante ou de ne pas mériter l’amour
  • Tendance à la soumission (enfant victime) – « j’accepte « des miettes » dans les relations » ou je m’oublie
  • Difficultés à poser des limites et à exprimer ses besoins
  • Sentiment de ne jamais pouvoir s’accomplir seul
  • Risque d’emprise et de relations avec des profils pervers narcissiques

Pour éviter d’être confronté au manque, au vide intérieur et à sa plus grande peur, l’isolement, l’individu développe une stratégie de survie en adoptant un comportement dépendant affectif.

Il ne veut pas seulement aimer, il veut être sûr que l’objet de son amour ne partira jamais, qu’il ne sera plus jamais seul !

L’isolement n’est pas la solitude (moment de retrait volontaire) mais une sensation éprouvée à la suite d’absence prolongée de contacts. La crainte étant l’absence de soutien affectif et le besoin primordial, celui d’être aimé, l’individu va bien souvent être conduit à marchander l’amour (accepter des miettes) ou à faire passer les besoins des autres avant les siens. Il sera sujet à bien des déceptions lorsque les autres brilleront pas leur absence le laissant alors insatisfaits face à ses besoins (renforcement de sa croyance limitante).

Ces mécanismes de défense, bien qu’utiles pendant l’enfance, finissent par générer encore plus de souffrance et d’insatisfaction.

4. Comment se manifeste la blessure d’abandon ?

Les symptômes de cette blessure sont variés et peuvent s’exprimer sous différentes formes :

  • Sentiment chronique de vide ou d’insécurité (crises d’angoisse, panique)
  • Difficultés à vivre seul(e) ou isolement par protection, peur d’être abandonné
  • Comportements de surinvestissement dans les relations – donner plus que recevoir – donner « trop » – « être assez » pour que l’autre reste
  • Besoin de validation constante – recherche de réassurance permanente
  • Oscillation constante entre dépendance et peur de déranger / besoin d’être rassuré et honte d’en demander trop
  • Comportements passif-agressif : les attentes envers l’autre sont nombreuses et l’attitude « d’attente (de soutien, de nouvelles, de présence, d’engagement, de prises de conscience…) conduit à la frustration – agressivité
  • Forte anxiété surtout face à un profil de personnalité « fuyant » (cf. article sur la blessure de rejet)
  • Etat de panique lors d’une séparation – symptômes physiques de « coeur brisé » ressentis
  • Dépression et idées suicidaires car l’incarnation est vécue comme intolérable

Dans la relation de couple, ces manifestations peuvent créer un cercle vicieux d’attachement excessif et de conflits répétitifs.

5. Quels sont les effets sur la relation de couple ?

La blessure d’abandon influence grandement la dynamique amoureuse :

  • Hyper-dépendance vis à vis du partenaire : peur irrationnelle de perdre l’autre
  • Forte exigence avec beaucoup d’attentes du partenaire sensé réparé le vide ressenti enfant
  • Sacrifice permanent – acceptation de l’inacceptable, risque d’emprise de manipulateurs
  • Contrôle de la relation (lié à la blessure de trahison) et signes de jalousie excessive (surveillance, intrusions…)
  • Recherche de fusion dans la relation
  • Attirance pour des partenaires indisponibles émotionnellement (blessure de rejet) / Oscillation entre fusion et rupture
  • Répétition du schéma d’abandon : j’abandonne avant d’être abandonné

Sans travail de conscientisation puis de libération émotionnelle, ces comportements peuvent mener à des relations toxiques ou insatisfaisantes. La thérapie de couple permet bien souvent d’identifier la présence de cette blessure, notamment quand le couple fonctionne en polarités inversées, l’un souffrant de la blessure de rejet, l’autre de la blessure d’abandon.

6. Pistes et solutions pour cicatriser puis guérir

Comprendre et accepter cette blessure est une première étape de cicatrisation vers la guérison. Voici quelques solutions pour amorcer la guérison :

  • Prendre conscience de la blessure et de ses impacts
  • Verbaliser ses émotions et apprendre à les accueillir pour s’en libérer
  • Cultiver l’amour de soi et développer l’autonomie affective
  • Reprogrammer les croyances limitantes engrammées dans le subconscient
  • S’entrainer à la respiration consciente pour apaiser l’anxiété – Outils de cohérence cardiaque, EFT, EMDR ou Hypnose (syndrômes post traumatiques)

7. En quoi le coaching de vie peut-il aider à s’en libérer ?

Le coaching de vie est un outil puissant pour accompagner la guérison de la blessure d’abandon. Un coach aide à :

  • Prendre conscience des mécanismes de défense (dépendance affective, peur du vide et de la solitude…) et identifier ses « failles narcissiques » pour éviter les manipulations
  • Déconstruire les croyances limitantes et reprogrammer le subconscient pour gagner en confiance
  • Apprendre des techniques de libération émotionnelle
  • Se reconnecter à Soi et s’ouvrir à l’aspect spirituel de l’être : Pratique d’intériorisation, méditations pour se reconnecter à l’abondance de la Vie
  • Développer l’expression de Soi, de l’intuition et les perceptions subtiles (chakra de la gorge) – l’individu se sent souvent coupé de ses sensations corporelles et extra sensorielles.
  • Apprendre à poser des limites saine
  • Etre capable de développer une relation d’amour pour soi afin d’être capable de vivre une relation amoureuse équilibrée avec un(e) partenaire.

Avec un accompagnement personnalisé, il devient possible de se libérer des peurs et de construire des relations plus saines.

Conclusion

La blessure d’abandon peut sembler insurmontable, mais avec une prise de conscience et un accompagnement adapté, il est tout à fait possible de cicatriser et pourquoi pas de guérir. Que ce soit par un travail personnel d’introspection ou de méditation, yoga, chemin spirituel ou par un accompagnement professionnel comme le coaching de vie, chaque pas vers la guérison vous rapproche d’une vie plus sereine et épanouie.

Prêt(e) à transformer votre relation à vous-même et aux autres ?

Commencez votre parcours de guérison aujourd’hui – Contactez moi pour prendre rendez-vous !

Il y a des moments où tout devient TROP. Trop de pression, trop de responsabilités, trop de silences aussi. On continue d’avancer en pilotage automatique… jusqu’à ce que le corps, l’esprit ou le cœur lâchent. C’est souvent subtil au début : fatigue persistante, désengagement, irritabilité, perte d’élan. Puis vient l’impression d’être vidé(e), coupé(e) de soi.

Ce n’est pas toujours un burn-out clinique, mais cela peut en être la lisière.
On parle aussi d’épuisement émotionnel, mental, relationnel ou existentiel. Tous ces états ont un point commun : un désalignement profond entre ce que vous vivez et qui vous êtes vraiment.

Dans ce brouillard intérieur, le coaching de vie offre plus qu’un soutien. Il peut devenir un espace de reconnexion à votre rythme, à votre vérité, à vos ressources. Il ne s’agit pas de « repartir comme avant », mais de revenir à soi autrement : plus conscient, plus solide, plus aligné.


Un contexte sous pression : le burn-out n’est plus un « mal » isolé

Depuis quelques années, les cas d’épuisement explosent. Ce n’est plus une exception : c’est devenu une réalité silencieuse, souvent banalisée mais qui demande à être réellement prise au sérieux.

  • De plus en plus de personnes vivent un épuisement mental, émotionnel ou physique sans poser de mots clairs dessus.
  • Le burn-out professionnel touche aujourd’hui toutes les générations, y compris les jeunes actifs et les professionnels de santé.
  • Le burn-out parental, le bore-out (l’ennui extrême) et la surcharge numérique s’ajoutent à la pression ambiante.
  • Les femmes, les cadres, les aidants sont parmi les plus exposés, souvent en raison d’une accumulation de rôles invisibles.

L’épuisement n’a pas qu’un seul visage. Il peut être discret, progressif, déguisé en sur-adaptation.


Reconnaître les signes de l’épuisement : quand le corps et l’âme s’expriment

Il ne se manifeste pas toujours brutalement. Il s’installe souvent à pas feutrés, jusqu’à ce que quelque chose en vous dise : « je n’y arrive plus ».

Les signaux peuvent varier selon les personnes, mais certains indicateurs reviennent fréquemment :

  • Fatigue chronique, même après une nuit de sommeil
  • Perte d’élan, de joie, d’envie – ce qui vous animait semble à distance
  • Irritabilité, hypersensibilité ou détachement émotionnel
  • Difficulté à se concentrer, sensation de brouillard mental
  • Tensions physiques persistantes : dos, nuque, ventre, maux inexpliqués
  • Sentiment d’absurdité ou de déconnexion vis-à-vis de votre travail ou de vos proches
  • Besoin de retrait, envie de silence, parfois culpabilité de ne plus réussir à “tenir” ou « faire face »

Ce qui rend ces signes complexes, c’est qu’ils peuvent sembler banals au départ. Mais lorsqu’ils se répètent, s’intensifient, ou deviennent une forme de normalité, ils méritent alors d’être sérieusement écoutés avec sérieux et tendresse.

Reconnaître l’épuisement, ce n’est pas faillir. Bien au contraire, c’est souvent le premier acte de courage vers une autre manière d’être au monde.


L’opportunité de mieux se connaître ?

L’épuisement n’est pas une impasse : il peut devenir le signal d’un besoin profond de changement. Un appel à réinventer son rapport à l’énergie, au temps, aux priorités. En ce sens, il nécessite un accompagnement spécifique et approprié, qui prenne en compte toutes les dimensions de l’être.
Le coaching de vie proposé par Anaïck Vaillant est à la fois boussole et laboratoire d’expérimentation, il permet de :

  • prendre conscience de son dialogue intérieur (ressentis, sensations, émotions, pensées…)
  • identifier ce qui a conduit au mal-être
  • envisager un mode de vie plus en phase avec soi
  • instaurer des habitudes respectueuses de son rythme
  • restaurer une énergie durable
  • reconnecter avec le désir d’agir

Avec l’aide d’un professionnel à vos côtés, vous retrouvez plus de clarté, de structure et de confiance.
Parce que loin d’être un frein, ce syndrome d’épuisement peut devenir une source fertile de renouveau.


Comment le coaching agit : 4 leviers de transformation

1. Redéfinir son énergie motrice

  • Identifier ce qui nourrit l’être, l’âme et ce qui l’épuise
  • Réorganiser ses activités en cycles plus respectueux de soi

2. Reposer ses limites

  • Reconnaître ses besoins non négociables (relaxation, sommeil, alimentation, relations, temps de pauses)
  • Apprendre à dire non avec bienveillance et demander de l’aide, du soutien, déléguer

3. Retrouver du sens

  • Clarifier ses valeurs et priorités
  • S’autoriser à rêver, à nourrir son imagination pour choisir des actions réalistes et alignées

4. Ré-énergiser le corps et l’esprit

  • Intégrer des pratiques simples : respiration, marche en conscience, micro-pauses, relaxation, cohérence cardiaque, méditation, contemplation, danse libre, chant spontané…
  • Mettre en place des rituels anti-épuisement
  • Prendre le temps d’une retraite : méditation – yoga – jeun – marche en conscience
    • Le village des Pruniers (Plum Village en Dordogne propose des retraites et accueille de plus en plus de personnes en situation de burn-out – pensez-y, c’est un merveilleux temps de ressourcement à s’offrir)
    • Suivre un programme de Mindfulness (Méditation de pleine conscience) : Cycle MBSR (ouvert à tous) ou MBCT (prescrit par un professionnel de santé, en cas de dépression) – les sessions se déroulent en individuel ou en groupe

Et si cet effondrement avait un sens ?

L’épuisement, bien qu’inconfortable, puisque souvent accompagné d’un sentiment d’effondrement de la structure (physique et psychique), peut devenir une chance. Celle de revenir à Soi : en questionnant les automatismes, en prenant conscience des pensées – croyances récurrentes, en suivant l’élan du coeur plutôt que la voix du mental contraignant.

Ce n’est peut-être pas un détour… Mais le vrai début du chemin !

Avec l’accompagnement professionnel, sensible et intuitif qu’offre Anaïck Vaillant, il n’est pas question de seulement mettre un bandage sur une plaie. Vous explorez ce qui, en vous, appelle à être respecté, entendu, reconnu, réorienté.

🔹 Pour transformer la fatigue en lucidité
🔹 Pour poser un nouveau souffle sur votre vie
🔹 Pour choisir plutôt que subir

Si vous ressentez l’envie d’être accompagné(e) sans pression, mais avec profondeur, prenez contact pour un premier échange.
Un espace vous attend, calme, soutenant, sans injonction.
Juste un espace pour vous, au moment où vous en avez le plus besoin.

Comment l’héritage devient un chemin de liberté ?

Nous portons tous en nous l’empreinte de notre lignée, et parfois, cet héritage agit comme un fil invisible qui nous retient, nous empêche d’avancer, de choisir librement notre vie. Comment honorer nos ancêtres sans rejouer leurs histoires ? Comment se libérer des schémas familiaux répétitifs tout en restant fidèle à soi-même ? Comment transformer le lourd poids du passé en un présent léger et joyeux ?


Les loyautés invisibles : des liens subtils mais puissants

Ivan Boszormenyi-Nagy, pionnier dans la thérapie familiale, a introduit le concept de – loyautés familiales invisibles – ces engagements inconscients que nous prenons envers notre famille pour maintenir l’équilibre du système. Ces loyautés jouent un rôle primordial dans les familles.

En effet, chaque individu semble être en attente de justice et de réciprocité dans les relations qu’il a avec ses proches. Cette attente est déterminante dans l’attitude qu’il aura envers eux.

Ces loyautés se manifestent souvent sans que l’on s’en rende compte, sous formes de :

  • Répétition de schémas de vie (échecs, maladies, choix professionnels)
  • Sentiment de culpabilité à l’idée de réussir là où nos ancêtres pensent avoir échoué
  • Besoin de porter les souffrances non exprimées de nos aïeux

Ainsi, elles se tissent dans les gestes, les croyances, les non-dits. Un enfant peut, par amour, adopter les souffrances, les valeurs ou les limites d’un parent, même si cela freine son propre développement. Cette fidélité affective agit comme un pacte invisible : « Je ne réussirai pas mieux que toi « , « je ne vivrai pas ce que tu n’as pas pu vivre », « je resterai dans l’ombre pour que tu ne te sentes pas seul(e) », « je resterai fidèle à l’engagement du mariage car on ne divorce pas dans la famille », « je n’aurai pas un statut social, une renommée, davantage d’abondance financière que mes parents »…

Bien que la plupart du temps inconscientes, ces dynamiques influencent néanmoins profondément notre vie quotidienne.


Honorer sans répéter : une nouvelle approche de l’héritage

Il est possible de rendre hommage à nos ancêtres sans pour autant rester fidèle et reproduire leurs blessures. Cela passe par :

  • La reconnaissance des histoires familiales, sans jugement
  • La mise en lumière des schémas répétitifs grâce à des outils comme le génogramme familial
  • La prise de conscience de nos propres choix et désirs, distincts de ceux de notre lignée

Cette démarche permet de transformer l’héritage familial en une source de force et de résilience.


Les archétypes familiaux : une lecture symbolique de nos dynamiques

Carl Jung a introduit la notion d’archétypes, ces figures universelles présentes dans l’inconscient collectif. Dans le contexte familial, certains archétypes peuvent se manifester :

  • Le Sauveur : celui qui cherche à réparer les blessures du passé
  • Le Rebelle : celui qui rejette en bloc l’héritage familial
  • Le Gardien : celui qui perpétue les traditions sans questionnement

Identifier ces archétypes en soi permet de mieux comprendre nos comportements et de choisir consciemment notre positionnement.


Devenir bouc émissaire : quand la loyauté prend le masque du sacrifice

Dans de nombreuses dynamiques familiales, celui ou celle qui ose remettre en question les schémas établis, souvent le rebelle, devient alors le « bouc émissaire« . Ce rôle n’est pas une malchance : c’est souvent le signe d’une âme en quête de vérité et d’émancipation.

En sortant des loyautés invisibles, il révèle ce qui a été tu – caché. Il montre les fractures, dérange les silences, remet du mouvement dans un système figé. Et si ce rôle est douloureux, il est aussi profondément libérateur, pour soi et pour la lignée (passée et future) toute entière.

Faire ce lien, c’est reconnaître :

  • Que rompre la chaîne des répétitions n’est pas trahir, mais transformer
  • Que porter un regard lucide et aimant sur le passé est un acte de guérison
  • Que sortir du rôle assigné, même au prix de la solitude, est une étape vers l’alignement intérieur

👉 Pour aller plus loin, lisez aussi l’article Le mouton noir de la famille : bouc émissaire ou révélateur dans ma rubrique Articles


Loyautés et Individuation : un passage nécessaire vers le Soi

Sortir des loyautés familiales inconscientes est souvent une étape incontournable du processus d’individuation. Selon Carl Jung, ce processus dynamique est une quête de l’Être profond, un chemin vers la pleine réalisation du Soi. Tant que nous restons attachés à des schémas qui ne nous appartiennent pas, nous ne pouvons donc pas accéder à notre Essence véritable.

L’individuation implique donc :

  • La reconnaissance des influences familiales sur notre psyché (programmes internes – croyances)
  • La différenciation progressive de notre identité propre
  • L’intégration des parts héritées, sans les subir

Ce travail intérieur, parfois douloureux, ouvre la voie à une liberté plus consciente et à une vie alignée avec notre vérité intérieure.


Vers une prise de conscience collective

De plus en plus de personnes s’intéressent à leur histoire familiale pour mieux se comprendre et se libérer des schémas répétitifs. La psychogénéalogie et les constellations familiales, popularisées par Bert Hellinger, offrent des outils puissants pour explorer ces dynamiques. Ces approches permettent de :

  • Mettre en lumière les loyautés invisibles pour s’en émanciper
  • Réintégrer les membres exclus du système familial
  • Retrouver sa place légitime au sein de sa lignée

Cette prise de conscience collective témoigne d’un désir croissant de vivre en accord avec soi-même, libéré des poids du passé.


Etes vous décidé(e) à écrire votre propre histoire ?

Vous sentez que des schémas familiaux vous entravent ? Vous souhaitez vous libérer des loyautés invisibles tout en honorant vos racines ?

Anaïck Vaillant vous propose un accompagnement personnalisé pour :

  • Explorer ce qui dans votre histoire familiale impacte encore votre présent
  • Identifier les schémas répétitifs qui se perpétuent dans votre réalité
  • Apprendre la technique de « révision » pour choisir de nouvelles croyances non limitantes et manifester une nouvelle réalité
  • Retrouver ainsi la liberté d’être et de choisir

Offrez-vous la possibilité de vivre pleinement votre vie, en harmonie avec votre héritage.

Cliquez sur ce lien : Pour un premier échange de 15mn / une séance avec moi


Hériter autrement, c’est choisir la Liberté

Sortir des loyautés invisibles ne signifie pas renier sa famille, mais au contraire, l’honorer en vivant pleinement sa propre vie. C’est reconnaître les souffrances du passé, les transformer en forces, et transmettre à son tour un héritage libéré.

Avec l’accompagnement personnalisé et novateur que je vous propose, vous pouvez entamer ce voyage intérieur, en toute sérénité et avec bienveillance.

Parce que votre histoire mérite d’être écrite ou ré-écrite en toute liberté

Et si l’on refusait le dogme de la perfection ?

Ce n’est pas un nouveau mantra. C’est un souffle. Un soulèvement doux mais engagé, profond.
Celui de femmes qui choisissent de ne plus être lisse, de ne plus s’ajuster pour correspondre.
Des femmes qui veulent « être » plutôt que « paraître », ressentir et vibrer plutôt que performer.

Oser être vivante, vraie, naturelle – pas parfaite, c’est accepter de descendre dans le corps, de se relier à la peau, aux sensations, aux tremblements, à ses tripes – là où naît la Vérité.


Rompre avec l’injonction sociétale : Urgent et Vital

Nous avons hérité de nombreuses injonctions – invisibles et insidieuses :

  • Être belle, mais naturelle.
  • Être forte, mais douce.
  • Être spirituelle, mais jamais trop intense.

Ce carcan subtil fatigue. Il fige. Il fait taire. Il épuise. Il crée la charge mentale.
Rompre avec ces injonctions sociétales, c’est simplement se respecter, s’aimer, cesser de se nier.


Revenir au corps vivant, sentir au lieu de contrôler

Le féminin incarné ne se pense pas. Il se respire. Il se danse. Il se ressent.

Reconnecter au corps vivant, c’est :

  • Se lever le matin en écoutant ses sensations corporelles, ses intuitions, pas les obligations
  • Marcher pieds nus, pleurer sans se cacher, prendre du plaisir sans s’excuser
  • Manger, dormir, rêver… comme des actes de présence
  • Faire de soi sa priorité

Cela peut aider de mettre en lumière les injonctions héritées de l’enfance, impulsées par l’image sociale, le bien pensant, pour enfin désobéir, se libérer des carcans et retrouver le goût de l’élan de joie spontané.


Le féminin sâcré et léger… sans performance

Trop souvent, la femme qui se tourne vers elle-même, qui entreprend un chemin intérieur, se retrouve dans les mêmes méandres. La quête spirituelle devient un nouveau terrain de perfection maquillée :

  • méditer tous les jours,
  • avoir le sourire en toutes circonstances,
  • être capable de tout embrasser,
  • ne jamais être en colère,
  • « vibrer haut » à toute heure…

Pourtant, « être vivante », c’est se donner la permission d’être en vrac, d’avoir besoin de vide,
de choisir le silence plutôt qu’un mantra appris par cœur.

Le féminin véritable est cyclique, parsemé d’ambiguïté, contrasté.
Il n’a pas besoin d’être parfait pour être sacré.


Et si on célébrait l’imperfection ?

Imagine : un rituel non pas pour se « nettoyer », mais pour se reconnaître, pour re-naitre à soi-même.
Un espace pour honorer :

  • Tes failles comme des fêlures où passe la lumière
  • Tes rides, ton ventre, ton rythme unique
  • Tes doutes, tes colères, ton rire trop fort

Célébrer l’imperfection, c’est dire OUI à la Vie, telle qu’elle est. Et se tenir debout, avec ça.


Etre une femme magnétique

La femme magnétique ne séduit pas : elle émane, rayonne.
Ce n’est pas son apparence qui éblouie, mais sa présence habitée, pleine, assumée.
Elle est descendue dans son corps. Et cela se sent. Elle vit à pleine peau, même si cela déborde.
Elle attire irrésistiblement parce qu’elle est intègre et libre.

Elle ne cherche plus à plaire. Elle choisit d’être vraie. Elle sait montrer la vulnérabilité, les impossibilités, le silence, les larmes, les ombres…
Dans cette vérité nue, une puissance libère… et séduit naturellement.

Parce qu’elle ne cherche plus la validation à l’extérieur, qu’elle a cessé de mendier l’amour,
elle devient espace. Gravité. Miroir vivant.

Elle sait que sa lumière peut déranger mais elle l’accepte. Elle choisit de ne plus s’excuser d’exister. Elle n’attend plus d’être choisie. Elle se choisit elle-même. C’est là sa véritable authenticité.

“Ce n’est pas notre obscurité qui nous effraie le plus… c’est notre lumière” Marianne Williamson (lien vers texte : Notre peur la plus profonde, extrait du livre « Un retour à l’Amour »).

Et cette lumière, la femme magnétique n’essaie plus de la cacher pour être acceptée.


Et si toi aussi, tu décidais d’incarner le nouveau Féminin ?

On ne te demande plus d’être parfaite.
Seulement d’être là.
Présente à toi, au monde, à ce qui frémit en dedans. Naturelle.

Et si c’était ça, le féminin d’aujourd’hui ?
Pas un idéal. Pas une vitrine.
Mais un battement de cœur – incarné, sauvage, sensible, une aura pleine de Soi.

🌿 Prête à rencontrer la femme authentique et magnétique qui sommeille en toi ?

Anaïck Vaillant, Coach de vie et Psycho-praticienne, t’accompagne à son cabinet de Rezé ou à distance, dans ce chemin de retour à toi – sans pression, sans masque, sans devoirs.

Prends dès maintenant rendez-vous avec elle