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Une autre façon d’être ensemble est possible

Aimer n’est pas se fondre dans l’autre. Et pourtant, combien de fois confond-on l’amour avec la fusion, l’élan avec la dépendance, la proximité avec la perte de soi ?

Derrière le mot « amour », il y a souvent des peurs : peur d’être abandonné, peur de ne pas être aimé tel que l’on est, peur de perdre l’autre si l’on affirme trop sa vérité. Alors, on s’ajuste, on se sur-adapte, on se tait. Et peu à peu, c’est soi que l’on abandonne.

Mais il existe une autre voie, celle du lien conscient. Celle qui relie sans enfermer. Celle qui permet à chacun de rester entier au sein de la relation de couple.


Ce que la fusion vient souvent cacher

Dans les couples fusionnels, il y a parfois :

  • Une peur profonde de la solitude
  • Une croyance que l’amour véritable implique de tout partager
  • Une idéalisation de la complémentarité
  • Une difficulté à poser des limites saines
  • Un oubli progressif de soi

Quand deux partenaires amoureux fonctionnent ainsi, l’équilibre n’est plus : l’un porte, l’autre s’efface. Ou bien chacun attend de l’autre ce qu’il n’ose pas s’offrir lui-même.

La fusion n’est pas l’Amour. C’est une forme de protection inconsciente contre le sentiment d’insécurité.


La peur d’être Soi : au cœur des schémas affectifs

Ce qui empêche souvent d’être libre dans le lien, c’est la mémoire bien ancrée d’une blessure très ancienne :

  • L’enfant en nous qui ne s’est senti aimé que sous conditions : être sage, doux, gentil, conforme aux attentes de ses parents ou figures parentales d’éducation,
  • L’adolescent qui s’est senti exclu ou invalidé lorsqu’il à osé exprimer son avis ou s’est opposé,
  • L’adulte qui rejoue, sans s’en rendre compte, cet amour conditionnel dans les relations amoureuses.

Le couple devient alors aisément un terrain de répétition du schéma appris et bien souvent dysfonctionnel. Il se transforme en champ de bataille invisible où chaque partenaire cherche à être reconnu, validé, accueilli… mais dans l’incapcité de s’accueillir pleinement lui-même.

Le travail d’accompagnement que propose Anaïck Vaillant, Coach de vie et thérapeute de couple, vient justement déposer de la clarté sur ces mécanismes, qui sont la plupart du temps, inconscients. Il est alors possible pour chacun de reprendre la responsabilité de son propre espace intérieur.


Vers un couple libre : les repères d’un lien vivant

Un couple conscient et « secure » repose sur quelques piliers essentiels :

  • L’espace de chacun respecté : besoins, rythmes, envies, activités, relations
  • La parole vraie : exprimer sans reprocher ou accuser, faire des demandes et non exiger, poser des limites claires sans menacer (chantage)
  • La co-responsabilité du lien : ce n’est ni à l’u, ni à l’autre, de porter le couple, mais à chacun de s’y engager totalement
  • La reconnaissance des schémas affectifs blessés: plutôt que de blâmer l’autre, comprendre d’où vient sa réaction (enfant intérieur)
  • La nécessaire évolution : accepter que le couple évolue, change, que chacun se transforme avec la possibilité de ne plus souhaiter aller dans la même direction.

Une nouvelle forme de relation amoureuse en émergence

De plus en plus de couples ressentent le besoin de sortir des modèles figés du passé (du patriarcat). Ils n’ont plus envie de jouer « au couple modèle » mais au contraire, ils sont en recherche d’un lien vrai et authentique.

Ce mouvement se ressent grandement dans les demandes d’accompagnement actuelles :

  • Davantage de couples en début de relation, souhaitant poser des bases saines,
  • Plus de demandes de couples « jeunes » (tranche d’âge 20 – 30 ans)
  • Mais aussi des partenaires de longue date, désireux de se réinventer,
  • Et principalement des individus en quête d’une manière d’aimer plus respectueuse et alignée

Cette évolution de la relation conjugale est une véritable chance : elle sert de catalyseur, permettant de transformer l’amour dans le couple en un chemin d’éveil.


Et si vous choisissiez un accompagnement du lien vivant ?

Anaïck Vaillant propose un accompagnement sur mesure pour les couples en transition, en relation d’âmes, en quête de sens ou en désir d’évolution.

Son approche, sensible et profonde, vous aide à :

  • Nommer ce qui bloque sans crainte,
  • Entendre l’autre sans se perdre,
  • Recontacter le désir authentique,
  • Créer une relation plus fluide, plus libre, plus ancrée.

Les séances de couple sont en duo exclusivement, en présentiel au cabinet de Rezé ou en visio. Après quelques séances, si une demande individuelle émerge et que le couple consent à ce que l’un (ou les deux) des partenaires entament un accompagnement individuel avec Anaïck, la démarche peut alors évoluer dans ce sens. C’est toujours décidé en conscience et consenti par chacun.


Aimer véritablement en étant complètement soi

Le vrai amour commence là : quand chacun peut rester entier, debout, vivant aux côtés de l’autre. Sans peur. Sans masque. Sans fusion.

Le couple n’est pas la réunion de deux moitiés d’êtres. Il est la danse de deux entièretés.

Et si vous aussi, vous choisissiez d’aimer autrement, d’aimer sainement, dès maintenant ?

Prenez rendez-vous avec Anaïck Vaillant pour explorer ensemble un nouveau territoire du lien. Un lien libre, vivant, engagé.

C’est un premier pas qui peut tout changer !

On parle souvent de l’ombre comme de ce que l’on cache, de nos blessures, de nos failles, de ce qui gêne, fait honte ou peur. Mais il existe une autre forme d’ombre, plus discrète, plus insidieuse : celle qui se dissimule dans notre lumière.

Nos qualités les plus célébrées – altruisme, douceur, loyauté, sagesse – peuvent, lorsqu’elles deviennent absolues, nous enfermer. Ce n’est pas leur nature qui est en cause, mais l’excès, la rigidité, la fuite de la nuance. Une bonté sans limite peut se transformer en sacrifice. Une écoute constante, un oubli de soi. Une paix à tout prix, une impossibilité de poser ses limites.

Carl Jung nous a appris que l’ombre n’est pas seulement négative. Elle comprend aussi ce que nous ne nous autorisons pas à être : assertif, vivant, libre… parfois dérangeant.
Et si notre plus grand enfermement venait parfois de notre volonté de bien faire ?

Cet article propose de plonger dans cette zone méconnue de l’ombre – la face lumineuse – pour mieux comprendre comment nos plus grandes forces peuvent, sans conscience, devenir nos plus subtiles prisons. Et surtout, comment les réconcilier.


Trop de douceur : la tyrannie de la bonté

Imaginons la tyrannie de la douceur :

  • vous dites « oui » pour éviter de blesser… jusqu’à vous oublier
  • vous absorbez les émotions des autres… puis vous craquez
  • vous cultivez une image « bienveillante » et lisse mais au fond de vous gronde une colère sourde ou une fatigue inexpliquée

La générosité est une magnifique qualité, cependant quand elle est « en excès », elle devient fuite ou manipulation : une manière d’éviter le conflit – ou de chercher une reconnaissance sans dire clairement ce qui est attendu de l’autre.


Réhabiliter la nuance et le paradoxe : sortir du tout ou rien

Notre société aime les étiquettes : on est fort ou fragile, gentil ou égoïste, lumineux ou sombre. Pourtant, la psyché humaine ne se laisse pas enfermer dans ces cases binaires. Jung l’avait bien compris : c’est dans la tension des contraires que naît l’unité intérieure.

Réhabiliter la nuance, c’est accepter qu’on puisse être :

  • généreux(se) et avoir besoin de recevoir
  • empathique et avoir le droit de dire non
  • engagé(e) et parfois indisponible
  • sage et toujours en chemin
  • doux (ce) et tenace dans la défense de ses besoins

Voici quelques exemples concrets :

  • Une femme reconnue pour sa bienveillance naturelle peut, inconsciemment, se sentir coupable de poser une limite, même quand elle est épuisée. Son don de soi devient alors un voile sur sa colère silencieuse
  • Un thérapeute très connecté à la souffrance d’autrui peut oublier d’exprimer sa propre vulnérabilité, se cachant derrière le rôle de soutien
  • Un homme loyal envers sa famille peut nier ses propres désirs d’émancipation, croyant qu’honorer ses proches signifie se sacrifier pour eux

Ces tensions ne sont pas des faiblesses. Ce sont des appels à revisiter notre lumière, à lui redonner du mouvement, du souffle, de l’humanité. Une bonté consciente inclut la fermeté. Une écoute sincère connaît aussi ses limites.

En réalité, c’est souvent en réintégrant notre polarité oubliée que notre qualité retrouve son équilibre. Elle cesse d’être une armure ou un devoir, pour redevenir un choix vivant et incarné.


Identifier la toxicité au creux de la lumière apparente

Certaines de nos qualités les plus admirées – écoute, générosité, responsabilité, perfectionnisme, loyauté – peuvent devenir « nos pires enemies » si elles s’exercent sans conscience.

Comment repérer leur possible dérive ?

  • Vous vous sentez constamment vidé(e) ou débordé(e) malgré vos efforts pour « bien faire »
  • Vous ressentez une frustration intérieure quand vos élans ne sont pas reconnus ou valorisés
  • Vous ne vous autorisez pas à décevoir, dire non ou faire moins, même quand vous êtes à bout
  • Vous avez l’impression que votre valeur repose uniquement sur ce que vous apportez aux autres
  • Vous attirez des relations unilatérales, où vous donnez beaucoup… sans réciprocité

La lumière devient alors toxique et agit comme un masque. Elle vous pousse à vous conformer à une version idéalisée de vous-même, à vous sur-adapter sans cesse et de plus en plus, souvent au détriment de votre vérité intérieure.

Identifier ces mécanismes, ce n’est pas renier vos qualités : c’est leur redonner de la souplesse. Vous pouvez continuer à aimer, à donner, à accompagner, à inspirer – mais sans vous trahir.


Comment réconciler force et douceur en conscience ?

Vous êtes généreux(se), toujours disponible, et pourtant vous vous sentez silencieusement épuisé(e) ou frustré(e) ?
Il est peut-être temps de vous choisir enfin et d’apprendre à :

  • repérer ce qui rend toxique vos plus belles qualités
  • apprendre à poser des limites saines et respectueuses
  • équilibrer votre énergie intérieure (donner ET recevoir)
  • vous (re)connecter à votre être profond
  • suivre votre joie, vos élans du cœur sans culpabilité

Voici quelques objectifs qu’offre l’accompagnement personnalisé proposé par Anaïck Vaillant – Coach de vie et Psycho-praticienne – à Rezé (Nantes) ou à distance.

Prenez dès maintenant contact avec elle pour échanger sur ses différentes propositions d’accompagnement (vie privée – vie de couple – vie professionnelle).


Et si l’ombre n’annulait pas la lumière mais l’affinait ?

La lumière quand elle devient toxique n’est ni un défaut ni une faiblesse : c’est une qualité mal orientée.
L’enjeu ? La reconnaître sans la juger, l’ajuster sans la nier.
Réhabiliter cette ombre qui se dissimule au creux de la lumière, c’est offrir à vos qualités – l’empathie, l’engagement, la douceur, la profondeur et la clarté qu’elles méritent.

Ainsi, il vous est possible de devenir entièrement vous-même, authentique, sincère, sans filtre ni artifice. Et si vous aussi – comme de nombreuses personnes l’ont fait avant vous – vous décidiez d’oser cette réconciliation intérieure ? Et si vous aussi vous faisiez confiance à l’expertise d’Anaïck Vaillant pour vous permettre d’y arriver plus facilement ?

Le moment n’est il pas venu de révéler pleinement votre lumière au Monde !

Combien il est nécessaire de comprendre cette blessure originelle pour la transcender et vivre enfin pleinement ?

La blessure de rejet est l’une des cinq blessures émotionnelles et psychologiques profondes et invisibles qui peut avoir un impact durable sur la vie d’un individu. Elles sont réveillées par des expériences traumatisantes (abus, pertes, violences) de la part de nos figures d’attachement (souvent les parents) et elles entachent le lien d’amour chez l’enfant. Tant qu’elles ne sont pas conscientisées et libérées, elles se réactivent tout au long de la vie dans les situations relationnelles et font souvent l’objet de consultations en thérapie ou coaching de vie.


Comprendre pour se libérer de la blessure de rejet

Ne pas se sentir digne d’amour, avoir le sentiment d’être exclu, ignoré, invisible ou être constamment sur la défensive dans ses relations ? Fuir dès qu’une relation devient trop intime, notamment avec un partenaire du sexe opposé ? Ces sensations ou comportements pourraient être le signe d’une blessure de rejet. Profondément enracinée dans l’enfance, cette blessure impacte l’estime de soi et la qualité des relations, notamment amoureuses.

Comment la reconnaître, la comprendre et surtout, s’en libérer ? Explorons ensemble cette blessure et les solutions pour la transcender.


Les origines de cette blessure

La blessure de rejet a pour fondement le droit d’exister

Elle a pour origine un traumatisme pendant la grossesse et est réveillée par le parent du même sexe (figure de réveil) – le personnage (notre parent) n’est pas responsable de la blessure, il met en place ce dont l’enfant a besoin pour s’observer et transcender ce sentiment de non reconnaissance.

Cette blessure est extrêmement souffrante puisque l’être ressent des angoisses profondes liées à son existence. Se sentant rejeté pour qui il est (ou certaines parts de lui), il ne remet pas en question les figures d’autorité qui le repoussent, mais c’est lui même, son existence propre qu’il rejette. Il rejette les plaisirs de la vie et les sensations corporelles, croyant ainsi qu’il plaira davantage à ceux qui l’entourent. Il a tendance à s’isoler, se couper des aspects matériels, manifestant de cette manière son refus d’accepter tout ce qui lui permettrait d’aimer son être.

Ce qui a est gravé chez l’enfant touche son identité, avec le sentiment de ne pas être digne, légitime, à la hauteur des défis qui lui sont confiés, ce qui le conduit une fois adulte à chercher la reconnaissance à tous prix (validation, encouragements, place, travail, renommée, statut, argent…) et à s’imposer des normes de réussite inatteignables (exigence).


Comment se manifeste la blessure de rejet ?

Face au sentiment d’insécurité ressenti par l’enfant qui n’a pas la maturité émotionnelle suffisante pour gérer ce qu’il ressent, l’ego met en place des mécanismes de défense, appelés aussi « masques » qui sont des stratégies de survie pour le protéger et lui éviter des troubles graves de la personnalité.

Il grandit avec ses masques de protection. En voici quelques signes chez l’adulte :

  • « Faux-self » : façade protectrice conforme aux attentes extérieures qui masque le « vrai self », créant un hyper contrôle de soi, une recherche de perfection (« driver » Sois-parfait), un état défensif ou adaptatif en société
  • Grande dépendance au regard de l’autre : recherche constante d’approbation et de validation extérieure, peur de déplaire, de décevoir, d’être jugé
  • Besoin de reconnaissance sociale ou au contraire recherche d’invisibilité
  • Fuite des émotions (état dissociatif) avec refuge dans l’analyse mentale (recherche de solution, relativisation, minimisation…)
  • Stratégies d’évitement ou d’isolement : des relations trop intimes (amicales ou amoureuses), de la communication (peur des conflits) … isolement ou « sauveur » ultra disponible pour les autres s’impliquant énormément dans le travail, les activités, la famille, le sport …
  • Difficultés à exprimer ses besoins : peur d’être blessant pour l’autre ou d’être rejeté s’il ose exprimer ses ressentis, envies ou besoins
  • Autocritique exacerbée : dévalorisation de soi, comparaison aux autres, sentiment d’être nul (non existant), déception de ce qu’il est
  • Comportements d’auto-sabotage notamment dans les relations qui impliquent une intimité relationnelle et émotionnelle
  • Sentiment de culpabilité avec des difficultés à se choisir, à se prioriser pour vivre pleinement l’amour

Qui dit besoin de reconnaissance de soi dit Acceptation. L’être qui souffre du rejet par manque d’accueil à son égard est en résistance avec la vie, avec ce qu’il est et refuse la plupart du temps de s’accorder l’amour auquel il a droit. Il fuit sa réalité, son existence et aura tendance à faire de même avec les situations de la vie, tant qu’il n’aura pas pris conscience de ce schéma.


La blessure de rejet dans la relation de couple

Dans la relation de couple, cette blessure crée des schémas toxiques : 

  • Une certaine distance relationnelle et émotionnelle vis à vis du partenaire 
  • Un besoin excessif de validation : attente constante d’attention et d’affection, attitude enfantine
  • Un évitement de la communication : peur des conflits, que l’autre s’éloigne (le rejette)
  • Des stratégies toxiques : longs silences, fermeture émotionnelle,  ghosting (interruption de la relation sans prévenir ni communiquer) , mensonges et gaslighting (déformation de l’information qui est une forme de manipulation mentale)  
  • Une difficulté à poser des limites : peur d’être mal considéré, de décevoir 
  • Une attirance pour des partenaires distants : renforcement inconscient de la blessure – moins de risque de s’attacher et de souffrir 
  • Un manque d’engagement relationnel et de présence à l’autre et ses émotions 

Comment guérir de la blessure de rejet ?

Heureusement, il est possible de s’en soulager voire de s’en libérer avec un travail personnel et des actions concrètes :

  • Prendre conscience de ses schémas : observer ses réactions face aux situations de rejet
  • Travailler sur l’estime de soi : pratiquer l’auto-compassion et l’affirmation de soi
  • Exprimer ses ressentis / émotions : oser dire ce que l’on ressent sans peur du jugement 
  • Reprogrammer son inconscient : utiliser des techniques comme l’EFT, la visualisation ou la méditation guidée.
  • Se faire accompagner : un coach de vie peut être un allié précieux dans ce cheminement.

En quoi le coaching de vie peut-il soulager ?

Un coaching de vie peut vous aider à :

  • Prendre conscience des blessures inconscientes et de leurs manifestations
  • Transformer les croyances limitantes que vous avez à propos de vous 
  • Mettre en place des actions concrètes pour transcender les stratégies / masques mis en place pour éviter de revivre le rejet
  • Apprendre à poser des limites saines dans vos relations
  • Vous détacher des peurs qui vous paralysent – agir et prendre votre place 
  • Apprendre à ressentir le corps, faciliter la libération émotionnelle  
  • Oser vous engager pleinement dans les relations intimes – apprendre à vous ouvrir, à faire confiance, à exprimer vos sentiments, envies, besoins.
  • Ouvrir la porte de votre cœur (chakra cœur) à votre propre existence pour faire la paix en vous-même et vous ouvrir authentiquement à l’amour

C’est bien souvent dans le cadre d’une thérapie de couple que cette blessure est conscientisée. En effet, si le/la partenaire a un fonctionnement en polarité inversée (blessure d’abandon), il/elle va exprimer son incompréhension face au fonctionnement « fuyant/évitant » de sa/son partenaire, la relation étant en miroir.

Article : la blessure d’abandon : dépendance affective


Choisir plutôt que souffrir ?

La blessure de rejet n’est pas une fatalité. En comprenant ses origines et en adoptant les bonnes stratégies, il est possible de s’en libérer et de retrouver une sérénité intérieure et une véritable connexion avec soi et les autres. Que ce soit par un travail d’introspection ou avec l’aide d’un coach de vie ou de couple, chaque étape vers la guérison est une avancée vers une vie plus épanouie et des relations plus authentiques. 

Prêt(e) à transformer votre vie ? Faites le premier pas aujourd’hui et osez vous libérer du poids du rejet ! Prenez contact avec Anaïck Vaillant – premier échange téléphonique de 15mn possible gratuitement puis séances à son cabinet de Rezé – Nantes ou en distanciel.

Impression que rien ne vous nourrit, vous rassasie ? Quête insatiable pour remplir ce vide intérieur ressenti puissamment et recherche vaine à l’extérieur, dans les relations, les situations et les objets ? Sentiment de « puits sans fond » qui n’est jamais rempli et d’insatisfaction constante ? Ces sensations et ces attitudes pourraient bien être le signe d’une blessure d’abandon.

La blessure d’abandon est l’une des cinq blessures de « l’âme » identifiées par la thérapeute Lise Bourbeau. Chacune des blessures est réveillée suite à des expériences traumatiques de la part de nos figures d’attachement, les parents la plupart du temps. Elles seront réactivées au long de la vie au travers des expériences vécues. Profondes et souvent inconscientes, elles impactent de nombreuses sphères de notre vie, notamment les relations amoureuses. D’où vient la blessure d’abandon ? Comment se manifeste-t-elle ? Et surtout, comment la traverser ? Cet article vous apporte des réponses concrètes ainsi que des pistes de solutions, notamment à travers du coaching de vie.

1. Comprendre pour se libérer de la blessure d’abandon

Ressentir fortement l’absence parce que l’être se sent déconnecté de son Essence

Alors que votre plus grand désir est de renouer profondément avec le sentiment de Plénitude intérieure et de trouver le bonheur en vous-même, c’est la tendance à nourrir les sensations de manque et à vous sentir insuffisant, incomplet qui prévaut. Ces pensées provoquent une sensation d’accablement face aux défis qui se présentent à vous.

Explorons ensemble cette blessure d’abandon, ses origines, ses manifestations et les solutions pour la transcender afin de redevenir libre d’être Soi.

2. Origines de la blessure d’abandon

La blessure d’abandon a pour fondement le manque, l’impression d’un besoin permanent de quelqu’un ou de quelque chose pour être satisfait.

Elle tire son origine d’une situation traumatique majeure (entre O et 3 ans) et qui s’est réveillée au contact du parent du sexe opposé. C’est lui qui a pour rôle d’aider l’enfant à accueillir l’amour des autres. L’abandon n’a pas besoin d’être définitif ou réel pour être activé, les longs silences, l’absence de regard de ce parent au moment où le jeune enfant réclame son attention est suffisante pour activer les filtres de perception qui provoquent une forte insécurité affective.

L’enfant sera alors en constante quête du soutien de ce parent mais ses filtres, sa manière de percevoir le Monde qui l’entoure, l’empêchent de voir ce que ce parent lui offre, mettant en exergue, uniquement, ses manquements. L’enfant ressent donc beaucoup de tristesse et développe petit à petit le sentiment de ne pas pouvoir exister seul, par lui-même, sans ce soutien. Il associe l’amour à l’incertitude, la proximité à la menace d’un éloignement. Et comme il se construit avec l’idée qu’il ne mérite pas d’avoir d’attention, lorsqu’il a besoin d’aide, il va plutôt choisir de s’isoler.

A l’âge adulte, ses relations avec les personnes du sexe opposé seront teintées par le filtre de l’abandon ce qui provoquera une difficulté à s’ouvrir à l’autre et à faire confiance. Il recherchera inconsciemment de la compagnie pour obtenir de l’attention et parvenir, en vain, à remplir ce vide qu’il ressent profondément. Pourtant, malgré cette compagnie, il se sentira toujours seul, vide, incompris. Et quand il fera l’expérience du refus ou des désistements, ce sera vécu comme un abandon de plus.

C’est cette profonde « tristesse originelle » que l’être aspire à transcender pour gouter à la plénitude, la complétude, c’est la voie de la guérison.

3. La blessure d’abandon : Les protections de l’ego

Pour éviter de faire face à ce sentiment d’abandon, l’ego « va alors développer des stratégies de protection qui deviendront, au fil du temps, symptomatiques et souffrantes dans la vie de l’individu, en voici quelques signes :

  • La dépendance affective ( soif d’attention et d’amour intense – manque d’autonomie)
  • Recherche désespérée de soutien émotionnel chez l’autre
  • Tendance aux addictions et aux compensations auto-destructrices (nourriture, alcool, drogue, sexe, jeux vidéos) destinés à combler le vide intérieur
  • Difficultés à ressentir pleinement les sensations, émotions – « corps = souffrance »
  • Manque d’estime de soi : sentiment d’être insuffisante ou de ne pas mériter l’amour
  • Tendance à la soumission (enfant victime) – « j’accepte « des miettes » dans les relations » ou je m’oublie
  • Difficultés à poser des limites et à exprimer ses besoins
  • Sentiment de ne jamais pouvoir s’accomplir seul
  • Risque d’emprise et de relations avec des profils pervers narcissiques

Pour éviter d’être confronté au manque, au vide intérieur et à sa plus grande peur, l’isolement, l’individu développe une stratégie de survie en adoptant un comportement dépendant affectif.

Il ne veut pas seulement aimer, il veut être sûr que l’objet de son amour ne partira jamais, qu’il ne sera plus jamais seul !

L’isolement n’est pas la solitude (moment de retrait volontaire) mais une sensation éprouvée à la suite d’absence prolongée de contacts. La crainte étant l’absence de soutien affectif et le besoin primordial, celui d’être aimé, l’individu va bien souvent être conduit à marchander l’amour (accepter des miettes) ou à faire passer les besoins des autres avant les siens. Il sera sujet à bien des déceptions lorsque les autres brilleront pas leur absence le laissant alors insatisfaits face à ses besoins (renforcement de sa croyance limitante).

Ces mécanismes de défense, bien qu’utiles pendant l’enfance, finissent par générer encore plus de souffrance et d’insatisfaction.

4. Comment se manifeste la blessure d’abandon ?

Les symptômes de cette blessure sont variés et peuvent s’exprimer sous différentes formes :

  • Sentiment chronique de vide ou d’insécurité (crises d’angoisse, panique)
  • Difficultés à vivre seul(e) ou isolement par protection, peur d’être abandonné
  • Comportements de surinvestissement dans les relations – donner plus que recevoir – donner « trop » – « être assez » pour que l’autre reste
  • Besoin de validation constante – recherche de réassurance permanente
  • Oscillation constante entre dépendance et peur de déranger / besoin d’être rassuré et honte d’en demander trop
  • Comportements passif-agressif : les attentes envers l’autre sont nombreuses et l’attitude « d’attente (de soutien, de nouvelles, de présence, d’engagement, de prises de conscience…) conduit à la frustration – agressivité
  • Forte anxiété surtout face à un profil de personnalité « fuyant » (cf. article sur la blessure de rejet)
  • Etat de panique lors d’une séparation – symptômes physiques de « coeur brisé » ressentis
  • Dépression et idées suicidaires car l’incarnation est vécue comme intolérable

Dans la relation de couple, ces manifestations peuvent créer un cercle vicieux d’attachement excessif et de conflits répétitifs.

5. Quels sont les effets sur la relation de couple ?

La blessure d’abandon influence grandement la dynamique amoureuse :

  • Hyper-dépendance vis à vis du partenaire : peur irrationnelle de perdre l’autre
  • Forte exigence avec beaucoup d’attentes du partenaire sensé réparé le vide ressenti enfant
  • Sacrifice permanent – acceptation de l’inacceptable, risque d’emprise de manipulateurs
  • Contrôle de la relation (lié à la blessure de trahison) et signes de jalousie excessive (surveillance, intrusions…)
  • Recherche de fusion dans la relation
  • Attirance pour des partenaires indisponibles émotionnellement (blessure de rejet) / Oscillation entre fusion et rupture
  • Répétition du schéma d’abandon : j’abandonne avant d’être abandonné

Sans travail de conscientisation puis de libération émotionnelle, ces comportements peuvent mener à des relations toxiques ou insatisfaisantes. La thérapie de couple permet bien souvent d’identifier la présence de cette blessure, notamment quand le couple fonctionne en polarités inversées, l’un souffrant de la blessure de rejet, l’autre de la blessure d’abandon.

6. Pistes et solutions pour cicatriser puis guérir

Comprendre et accepter cette blessure est une première étape de cicatrisation vers la guérison. Voici quelques solutions pour amorcer la guérison :

  • Prendre conscience de la blessure et de ses impacts
  • Verbaliser ses émotions et apprendre à les accueillir pour s’en libérer
  • Cultiver l’amour de soi et développer l’autonomie affective
  • Reprogrammer les croyances limitantes engrammées dans le subconscient
  • S’entrainer à la respiration consciente pour apaiser l’anxiété – Outils de cohérence cardiaque, EFT, EMDR ou Hypnose (syndrômes post traumatiques)

7. En quoi le coaching de vie peut-il aider à s’en libérer ?

Le coaching de vie est un outil puissant pour accompagner la guérison de la blessure d’abandon. Un coach aide à :

  • Prendre conscience des mécanismes de défense (dépendance affective, peur du vide et de la solitude…) et identifier ses « failles narcissiques » pour éviter les manipulations
  • Déconstruire les croyances limitantes et reprogrammer le subconscient pour gagner en confiance
  • Apprendre des techniques de libération émotionnelle
  • Se reconnecter à Soi et s’ouvrir à l’aspect spirituel de l’être : Pratique d’intériorisation, méditations pour se reconnecter à l’abondance de la Vie
  • Développer l’expression de Soi, de l’intuition et les perceptions subtiles (chakra de la gorge) – l’individu se sent souvent coupé de ses sensations corporelles et extra sensorielles.
  • Apprendre à poser des limites saine
  • Etre capable de développer une relation d’amour pour soi afin d’être capable de vivre une relation amoureuse équilibrée avec un(e) partenaire.

Avec un accompagnement personnalisé, il devient possible de se libérer des peurs et de construire des relations plus saines.

Conclusion

La blessure d’abandon peut sembler insurmontable, mais avec une prise de conscience et un accompagnement adapté, il est tout à fait possible de cicatriser et pourquoi pas de guérir. Que ce soit par un travail personnel d’introspection ou de méditation, yoga, chemin spirituel ou par un accompagnement professionnel comme le coaching de vie, chaque pas vers la guérison vous rapproche d’une vie plus sereine et épanouie.

Prêt(e) à transformer votre relation à vous-même et aux autres ?

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Il y a des moments où tout devient TROP. Trop de pression, trop de responsabilités, trop de silences aussi. On continue d’avancer en pilotage automatique… jusqu’à ce que le corps, l’esprit ou le cœur lâchent. C’est souvent subtil au début : fatigue persistante, désengagement, irritabilité, perte d’élan. Puis vient l’impression d’être vidé(e), coupé(e) de soi.

Ce n’est pas toujours un burn-out clinique, mais cela peut en être la lisière.
On parle aussi d’épuisement émotionnel, mental, relationnel ou existentiel. Tous ces états ont un point commun : un désalignement profond entre ce que vous vivez et qui vous êtes vraiment.

Dans ce brouillard intérieur, le coaching de vie offre plus qu’un soutien. Il peut devenir un espace de reconnexion à votre rythme, à votre vérité, à vos ressources. Il ne s’agit pas de « repartir comme avant », mais de revenir à soi autrement : plus conscient, plus solide, plus aligné.


Un contexte sous pression : le burn-out n’est plus un « mal » isolé

Depuis quelques années, les cas d’épuisement explosent. Ce n’est plus une exception : c’est devenu une réalité silencieuse, souvent banalisée mais qui demande à être réellement prise au sérieux.

  • De plus en plus de personnes vivent un épuisement mental, émotionnel ou physique sans poser de mots clairs dessus.
  • Le burn-out professionnel touche aujourd’hui toutes les générations, y compris les jeunes actifs et les professionnels de santé.
  • Le burn-out parental, le bore-out (l’ennui extrême) et la surcharge numérique s’ajoutent à la pression ambiante.
  • Les femmes, les cadres, les aidants sont parmi les plus exposés, souvent en raison d’une accumulation de rôles invisibles.

L’épuisement n’a pas qu’un seul visage. Il peut être discret, progressif, déguisé en sur-adaptation.


Reconnaître les signes de l’épuisement : quand le corps et l’âme s’expriment

Il ne se manifeste pas toujours brutalement. Il s’installe souvent à pas feutrés, jusqu’à ce que quelque chose en vous dise : « je n’y arrive plus ».

Les signaux peuvent varier selon les personnes, mais certains indicateurs reviennent fréquemment :

  • Fatigue chronique, même après une nuit de sommeil
  • Perte d’élan, de joie, d’envie – ce qui vous animait semble à distance
  • Irritabilité, hypersensibilité ou détachement émotionnel
  • Difficulté à se concentrer, sensation de brouillard mental
  • Tensions physiques persistantes : dos, nuque, ventre, maux inexpliqués
  • Sentiment d’absurdité ou de déconnexion vis-à-vis de votre travail ou de vos proches
  • Besoin de retrait, envie de silence, parfois culpabilité de ne plus réussir à “tenir” ou « faire face »

Ce qui rend ces signes complexes, c’est qu’ils peuvent sembler banals au départ. Mais lorsqu’ils se répètent, s’intensifient, ou deviennent une forme de normalité, ils méritent alors d’être sérieusement écoutés avec sérieux et tendresse.

Reconnaître l’épuisement, ce n’est pas faillir. Bien au contraire, c’est souvent le premier acte de courage vers une autre manière d’être au monde.


L’opportunité de mieux se connaître ?

L’épuisement n’est pas une impasse : il peut devenir le signal d’un besoin profond de changement. Un appel à réinventer son rapport à l’énergie, au temps, aux priorités. En ce sens, il nécessite un accompagnement spécifique et approprié, qui prenne en compte toutes les dimensions de l’être.
Le coaching de vie proposé par Anaïck Vaillant est à la fois boussole et laboratoire d’expérimentation, il permet de :

  • prendre conscience de son dialogue intérieur (ressentis, sensations, émotions, pensées…)
  • identifier ce qui a conduit au mal-être
  • envisager un mode de vie plus en phase avec soi
  • instaurer des habitudes respectueuses de son rythme
  • restaurer une énergie durable
  • reconnecter avec le désir d’agir

Avec l’aide d’un professionnel à vos côtés, vous retrouvez plus de clarté, de structure et de confiance.
Parce que loin d’être un frein, ce syndrome d’épuisement peut devenir une source fertile de renouveau.


Comment le coaching agit : 4 leviers de transformation

1. Redéfinir son énergie motrice

  • Identifier ce qui nourrit l’être, l’âme et ce qui l’épuise
  • Réorganiser ses activités en cycles plus respectueux de soi

2. Reposer ses limites

  • Reconnaître ses besoins non négociables (relaxation, sommeil, alimentation, relations, temps de pauses)
  • Apprendre à dire non avec bienveillance et demander de l’aide, du soutien, déléguer

3. Retrouver du sens

  • Clarifier ses valeurs et priorités
  • S’autoriser à rêver, à nourrir son imagination pour choisir des actions réalistes et alignées

4. Ré-énergiser le corps et l’esprit

  • Intégrer des pratiques simples : respiration, marche en conscience, micro-pauses, relaxation, cohérence cardiaque, méditation, contemplation, danse libre, chant spontané…
  • Mettre en place des rituels anti-épuisement
  • Prendre le temps d’une retraite : méditation – yoga – jeun – marche en conscience
    • Le village des Pruniers (Plum Village en Dordogne propose des retraites et accueille de plus en plus de personnes en situation de burn-out – pensez-y, c’est un merveilleux temps de ressourcement à s’offrir)
    • Suivre un programme de Mindfulness (Méditation de pleine conscience) : Cycle MBSR (ouvert à tous) ou MBCT (prescrit par un professionnel de santé, en cas de dépression) – les sessions se déroulent en individuel ou en groupe

Et si cet effondrement avait un sens ?

L’épuisement, bien qu’inconfortable, puisque souvent accompagné d’un sentiment d’effondrement de la structure (physique et psychique), peut devenir une chance. Celle de revenir à Soi : en questionnant les automatismes, en prenant conscience des pensées – croyances récurrentes, en suivant l’élan du coeur plutôt que la voix du mental contraignant.

Ce n’est peut-être pas un détour… Mais le vrai début du chemin !

Avec l’accompagnement professionnel, sensible et intuitif qu’offre Anaïck Vaillant, il n’est pas question de seulement mettre un bandage sur une plaie. Vous explorez ce qui, en vous, appelle à être respecté, entendu, reconnu, réorienté.

🔹 Pour transformer la fatigue en lucidité
🔹 Pour poser un nouveau souffle sur votre vie
🔹 Pour choisir plutôt que subir

Si vous ressentez l’envie d’être accompagné(e) sans pression, mais avec profondeur, prenez contact pour un premier échange.
Un espace vous attend, calme, soutenant, sans injonction.
Juste un espace pour vous, au moment où vous en avez le plus besoin.

Comment l’héritage devient un chemin de liberté ?

Nous portons tous en nous l’empreinte de notre lignée, et parfois, cet héritage agit comme un fil invisible qui nous retient, nous empêche d’avancer, de choisir librement notre vie. Comment honorer nos ancêtres sans rejouer leurs histoires ? Comment se libérer des schémas familiaux répétitifs tout en restant fidèle à soi-même ? Comment transformer le lourd poids du passé en un présent léger et joyeux ?


Les loyautés invisibles : des liens subtils mais puissants

Ivan Boszormenyi-Nagy, pionnier dans la thérapie familiale, a introduit le concept de – loyautés familiales invisibles – ces engagements inconscients que nous prenons envers notre famille pour maintenir l’équilibre du système. Ces loyautés jouent un rôle primordial dans les familles.

En effet, chaque individu semble être en attente de justice et de réciprocité dans les relations qu’il a avec ses proches. Cette attente est déterminante dans l’attitude qu’il aura envers eux.

Ces loyautés se manifestent souvent sans que l’on s’en rende compte, sous formes de :

  • Répétition de schémas de vie (échecs, maladies, choix professionnels)
  • Sentiment de culpabilité à l’idée de réussir là où nos ancêtres pensent avoir échoué
  • Besoin de porter les souffrances non exprimées de nos aïeux

Ainsi, elles se tissent dans les gestes, les croyances, les non-dits. Un enfant peut, par amour, adopter les souffrances, les valeurs ou les limites d’un parent, même si cela freine son propre développement. Cette fidélité affective agit comme un pacte invisible : « Je ne réussirai pas mieux que toi « , « je ne vivrai pas ce que tu n’as pas pu vivre », « je resterai dans l’ombre pour que tu ne te sentes pas seul(e) », « je resterai fidèle à l’engagement du mariage car on ne divorce pas dans la famille », « je n’aurai pas un statut social, une renommée, davantage d’abondance financière que mes parents »…

Bien que la plupart du temps inconscientes, ces dynamiques influencent néanmoins profondément notre vie quotidienne.


Honorer sans répéter : une nouvelle approche de l’héritage

Il est possible de rendre hommage à nos ancêtres sans pour autant rester fidèle et reproduire leurs blessures. Cela passe par :

  • La reconnaissance des histoires familiales, sans jugement
  • La mise en lumière des schémas répétitifs grâce à des outils comme le génogramme familial
  • La prise de conscience de nos propres choix et désirs, distincts de ceux de notre lignée

Cette démarche permet de transformer l’héritage familial en une source de force et de résilience.


Les archétypes familiaux : une lecture symbolique de nos dynamiques

Carl Jung a introduit la notion d’archétypes, ces figures universelles présentes dans l’inconscient collectif. Dans le contexte familial, certains archétypes peuvent se manifester :

  • Le Sauveur : celui qui cherche à réparer les blessures du passé
  • Le Rebelle : celui qui rejette en bloc l’héritage familial
  • Le Gardien : celui qui perpétue les traditions sans questionnement

Identifier ces archétypes en soi permet de mieux comprendre nos comportements et de choisir consciemment notre positionnement.


Devenir bouc émissaire : quand la loyauté prend le masque du sacrifice

Dans de nombreuses dynamiques familiales, celui ou celle qui ose remettre en question les schémas établis, souvent le rebelle, devient alors le « bouc émissaire« . Ce rôle n’est pas une malchance : c’est souvent le signe d’une âme en quête de vérité et d’émancipation.

En sortant des loyautés invisibles, il révèle ce qui a été tu – caché. Il montre les fractures, dérange les silences, remet du mouvement dans un système figé. Et si ce rôle est douloureux, il est aussi profondément libérateur, pour soi et pour la lignée (passée et future) toute entière.

Faire ce lien, c’est reconnaître :

  • Que rompre la chaîne des répétitions n’est pas trahir, mais transformer
  • Que porter un regard lucide et aimant sur le passé est un acte de guérison
  • Que sortir du rôle assigné, même au prix de la solitude, est une étape vers l’alignement intérieur

👉 Pour aller plus loin, lisez aussi l’article Le mouton noir de la famille : bouc émissaire ou révélateur dans ma rubrique Articles


Loyautés et Individuation : un passage nécessaire vers le Soi

Sortir des loyautés familiales inconscientes est souvent une étape incontournable du processus d’individuation. Selon Carl Jung, ce processus dynamique est une quête de l’Être profond, un chemin vers la pleine réalisation du Soi. Tant que nous restons attachés à des schémas qui ne nous appartiennent pas, nous ne pouvons donc pas accéder à notre Essence véritable.

L’individuation implique donc :

  • La reconnaissance des influences familiales sur notre psyché (programmes internes – croyances)
  • La différenciation progressive de notre identité propre
  • L’intégration des parts héritées, sans les subir

Ce travail intérieur, parfois douloureux, ouvre la voie à une liberté plus consciente et à une vie alignée avec notre vérité intérieure.


Vers une prise de conscience collective

De plus en plus de personnes s’intéressent à leur histoire familiale pour mieux se comprendre et se libérer des schémas répétitifs. La psychogénéalogie et les constellations familiales, popularisées par Bert Hellinger, offrent des outils puissants pour explorer ces dynamiques. Ces approches permettent de :

  • Mettre en lumière les loyautés invisibles pour s’en émanciper
  • Réintégrer les membres exclus du système familial
  • Retrouver sa place légitime au sein de sa lignée

Cette prise de conscience collective témoigne d’un désir croissant de vivre en accord avec soi-même, libéré des poids du passé.


Etes vous décidé(e) à écrire votre propre histoire ?

Vous sentez que des schémas familiaux vous entravent ? Vous souhaitez vous libérer des loyautés invisibles tout en honorant vos racines ?

Anaïck Vaillant vous propose un accompagnement personnalisé pour :

  • Explorer ce qui dans votre histoire familiale impacte encore votre présent
  • Identifier les schémas répétitifs qui se perpétuent dans votre réalité
  • Apprendre la technique de « révision » pour choisir de nouvelles croyances non limitantes et manifester une nouvelle réalité
  • Retrouver ainsi la liberté d’être et de choisir

Offrez-vous la possibilité de vivre pleinement votre vie, en harmonie avec votre héritage.

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Hériter autrement, c’est choisir la Liberté

Sortir des loyautés invisibles ne signifie pas renier sa famille, mais au contraire, l’honorer en vivant pleinement sa propre vie. C’est reconnaître les souffrances du passé, les transformer en forces, et transmettre à son tour un héritage libéré.

Avec l’accompagnement personnalisé et novateur que je vous propose, vous pouvez entamer ce voyage intérieur, en toute sérénité et avec bienveillance.

Parce que votre histoire mérite d’être écrite ou ré-écrite en toute liberté

Et si l’on refusait le dogme de la perfection ?

Ce n’est pas un nouveau mantra. C’est un souffle. Un soulèvement doux mais engagé, profond.
Celui de femmes qui choisissent de ne plus être lisse, de ne plus s’ajuster pour correspondre.
Des femmes qui veulent « être » plutôt que « paraître », ressentir et vibrer plutôt que performer.

Oser être vivante, vraie, naturelle – pas parfaite, c’est accepter de descendre dans le corps, de se relier à la peau, aux sensations, aux tremblements, à ses tripes – là où naît la Vérité.


Rompre avec l’injonction sociétale : Urgent et Vital

Nous avons hérité de nombreuses injonctions – invisibles et insidieuses :

  • Être belle, mais naturelle.
  • Être forte, mais douce.
  • Être spirituelle, mais jamais trop intense.

Ce carcan subtil fatigue. Il fige. Il fait taire. Il épuise. Il crée la charge mentale.
Rompre avec ces injonctions sociétales, c’est simplement se respecter, s’aimer, cesser de se nier.


Revenir au corps vivant, sentir au lieu de contrôler

Le féminin incarné ne se pense pas. Il se respire. Il se danse. Il se ressent.

Reconnecter au corps vivant, c’est :

  • Se lever le matin en écoutant ses sensations corporelles, ses intuitions, pas les obligations
  • Marcher pieds nus, pleurer sans se cacher, prendre du plaisir sans s’excuser
  • Manger, dormir, rêver… comme des actes de présence
  • Faire de soi sa priorité

Cela peut aider de mettre en lumière les injonctions héritées de l’enfance, impulsées par l’image sociale, le bien pensant, pour enfin désobéir, se libérer des carcans et retrouver le goût de l’élan de joie spontané.


Le féminin sâcré et léger… sans performance

Trop souvent, la femme qui se tourne vers elle-même, qui entreprend un chemin intérieur, se retrouve dans les mêmes méandres. La quête spirituelle devient un nouveau terrain de perfection maquillée :

  • méditer tous les jours,
  • avoir le sourire en toutes circonstances,
  • être capable de tout embrasser,
  • ne jamais être en colère,
  • « vibrer haut » à toute heure…

Pourtant, « être vivante », c’est se donner la permission d’être en vrac, d’avoir besoin de vide,
de choisir le silence plutôt qu’un mantra appris par cœur.

Le féminin véritable est cyclique, parsemé d’ambiguïté, contrasté.
Il n’a pas besoin d’être parfait pour être sacré.


Et si on célébrait l’imperfection ?

Imagine : un rituel non pas pour se « nettoyer », mais pour se reconnaître, pour re-naitre à soi-même.
Un espace pour honorer :

  • Tes failles comme des fêlures où passe la lumière
  • Tes rides, ton ventre, ton rythme unique
  • Tes doutes, tes colères, ton rire trop fort

Célébrer l’imperfection, c’est dire OUI à la Vie, telle qu’elle est. Et se tenir debout, avec ça.


Etre une femme magnétique

La femme magnétique ne séduit pas : elle émane, rayonne.
Ce n’est pas son apparence qui éblouie, mais sa présence habitée, pleine, assumée.
Elle est descendue dans son corps. Et cela se sent. Elle vit à pleine peau, même si cela déborde.
Elle attire irrésistiblement parce qu’elle est intègre et libre.

Elle ne cherche plus à plaire. Elle choisit d’être vraie. Elle sait montrer la vulnérabilité, les impossibilités, le silence, les larmes, les ombres…
Dans cette vérité nue, une puissance libère… et séduit naturellement.

Parce qu’elle ne cherche plus la validation à l’extérieur, qu’elle a cessé de mendier l’amour,
elle devient espace. Gravité. Miroir vivant.

Elle sait que sa lumière peut déranger mais elle l’accepte. Elle choisit de ne plus s’excuser d’exister. Elle n’attend plus d’être choisie. Elle se choisit elle-même. C’est là sa véritable authenticité.

“Ce n’est pas notre obscurité qui nous effraie le plus… c’est notre lumière” Marianne Williamson (lien vers texte : Notre peur la plus profonde, extrait du livre « Un retour à l’Amour »).

Et cette lumière, la femme magnétique n’essaie plus de la cacher pour être acceptée.


Et si toi aussi, tu décidais d’incarner le nouveau Féminin ?

On ne te demande plus d’être parfaite.
Seulement d’être là.
Présente à toi, au monde, à ce qui frémit en dedans. Naturelle.

Et si c’était ça, le féminin d’aujourd’hui ?
Pas un idéal. Pas une vitrine.
Mais un battement de cœur – incarné, sauvage, sensible, une aura pleine de Soi.

🌿 Prête à rencontrer la femme authentique et magnétique qui sommeille en toi ?

Anaïck Vaillant, Coach de vie et Psycho-praticienne, t’accompagne à son cabinet de Rezé ou à distance, dans ce chemin de retour à toi – sans pression, sans masque, sans devoirs.

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Sentiment d’imposteur, auto-sabotage : comment sortir du cercle vicieux ?

Tu doutes de ta place, de ta valeur, de ta légitimité à être là où tu es, à avoir le droit d’être heureux ? Tu avances, mais quelque chose semble te retenir, freiner à l’intérieur de toi. Une voix discrète mais persistante souffle que tu n’es peut-être pas assez. Ce sentiment d’illégitimité touche plus de personnes qu’on ne le croit, surtout celles qui se remettent beaucoup en question, qui osent de nouveaux projets, une posture nouvelle.

Cet article t’invite à explorer ce doute avec douceur et lucidité. Plutôt que de chercher à le faire taire, nous allons apprendre à l’écouter, le comprendre et le traverser. Parce que sous le doute, se cache souvent une métamorphose, un retour à Soi, en cours.


Le sentiment d’illégitimité : un signal, pas une vérité

Ce que tu ressens n’est pas un dysfonctionnement : c’est un message, une réaction naturelle dans un système qui a valorisé l’extériorité plus que l’intériorité. Le sentiment d’illégitimité n’indique pas que tu n’es pas à la hauteur, mais qu’une partie de toi n’est pas encore sûre de pouvoir être pleinement visible, assumée, présente.

Ce doute peut apparaître quand :

  • Tu changes de métier ou de posture (ex : devenir accompagnante, créer ton activité)
  • Tu sors des cadres familiaux, sociaux ou professionnels
  • Tu fais quelque chose qui n’a pas encore de reconnaissance externe
  • Tu accèdes à plus de responsabilité, d’influence, de visibilité

Ce n’est donc pas une faiblesse, mais un seuil psychique que beaucoup traversent.


Illégitimité ou imposture : deux faces du même manque de racines

Ces deux sentiments, bien que différents, partagent un même tronc :

  • Le sentiment d’illégitimité : « Je n’ai pas le droit, je ne suis pas autorisé(e) »
  • Le syndrome de l’imposteur : « Je trompe les autres sans qu’ils s’en rendent compte »

Dans les deux cas, l’âme se contracte au lieu de rayonner.
Et on retient sa puissance par peur de mal faire… ou de trop faire.

Le syndrome de l’imposteur serait en quelque sorte une forme concrète du sentiment d’illégitimité. Il s’exprime par :

  • Une peur d’être « démasqué »
  • La croyance que tu as réussi « par hasard »
  • Un besoin constant de faire plus pour mériter ta place
  • Une impression d’être moins compétent(e) que les autres, voire incompétent(e)
  • Une pensée obsessionnelle récurrente  » on va se rendre compte que je n’ai rien à faire là »

En réalité, ce syndrome touche souvent des personnes :

  • Compétentes, hypersensibles, ultra impliquées
  • Qui s’auto-observent beaucoup (position meta)
  • Qui ont grandi dans des environnements exigeants ou invalidants, humiliants

identifier ce mécanisme et en comprendre les ressorts, c’est déjà commencer à le désactiver.


Des signes qui ne trompent pas (ou trop bien)

Tu ressens l’un ou l’autre (ou les deux) si :

  • Tu baisses les yeux quand on reconnaît ton travail
  • Tu attends toujours « le bon moment », le diplôme en plus, la preuve extérieure
  • Tu as du mal à poser ta voix, ton prix, ton cadre de travail
  • Tu te sens coupable de faire respecter tes besoins, ton temps
  • Tu te sur-adaptes ou tu t’auto-sabotes dès que tu gagnes en visibilité

Et si ces sensations ne veulent plus partir, c’est qu’elles demandent à être transmutées, pas ignorées.


Revenir à son axe : les clés pour recontacter ton autorité intérieure

Tu n’as pas besoin d’être « plus » ou « mieux ». Tu as besoin de t’habiter plus pleinement, d’être toi.

Voici quelques clés concrètes pour retrouver confiance :

  • Revenir au corps : le mental doute, mais le corps sait
  • Nommer ce que tu vis. Le mettre en mots diminue la confusion.
  • Revenir à ton intention profonde. Pourquoi fais-tu ce que tu fais ?
  • Ancrer tes légitimités internes. Même si tu n’as pas toutes les reconnaissances extérieures.
  • Partager ton chemin. Parler de ton doute à d’autres le rend plus humain.
  • Célébrer tes pas. Chaque mouvement vers toi compte, même petit.
  • Poser des actes concrets : même minuscules, ils t’ancrent dans le réel

Aucune imposture, un appel à l’incarnation

Ce que tu prends pour un manque de légitimité est souvent un besoin d’ancrage.
Ce que tu nommes syndrome de l’imposteur est bien souvent une hypersensibilité mal reconnue.

Derrière ces doutes se cache une certitude silencieuse : celle d’avoir quelque chose de précieux à offrir. Le sentiment d’illégitimité est une traversée. Il signale souvent un alignement en gestation, une étape où l’ancien ne suffit plus, et le nouveau n’est pas encore ancré.

Et si le vrai courage, ce n’était pas d’être sûr(e) de toi ?
Mais d’oser te montrer, même quand tu trembles ?

Tu n’es pas un(e) imposteur(tice).
Tu es juste en train de revenir à l’essentiel – A ce que tu es naturellement, sans masque.


Prêt(e) à la métamorphose ?

Tu te reconnais dans ces lignes ? Tu veux être guidé(e) pour retrouver ton alignement intérieure et vivre cette métamorphose qui t’est proposée de manière plus douce ?
Je t’accompagne à oser ta « juste place » – sans en rajouter, sans t’excuser, sans t’empêcher.

Le coaching individuel peut t’aider à clarifier ton axe, apaiser tes doutes et oser une posture intérieure centrée. 🔍 Si tu veux aller plus loin, je te recommande vivement de lire cet article dans lequel tu découvriras :

  • Des pistes concrètes pour apprivoiser ta sensibilité, sans la fuir
  • Ce que recouvrent réellement l’hypersensibilité et les particularités du haut potentiel émotionnel
  • Pourquoi ces traits sont souvent mal compris, voire invisibilisés
  • Comment cette intensité émotionnelle peut devenir une ressource précieuse
  • Les défis spécifiques rencontrés par les profils HPI-HPE et hypersensibles

🔎 Pour en savoir plus sur les accompagnements d’Anaick Vaillant et pour consulter les articles partagés.

Comment cette intelligence à fleur de peau peut devenir une force ?

Se reconnaître dans un profil atypique, HPI (Haut Potentiel Intellectuel) ou HPE (Haut Potentiel Émotionnel), ce n’est pas juste penser vite et beaucoup. C’est aussi ressentir profondément, intensément, se laisser envahir, parfois jusqu’à l’épuisement.
L’hypersensibilité fait souvent partie de ce cocktail intérieur. Elle colore les perceptions, les relations, les émotions… et pose de vrais défis dans un monde qui valorise le contrôle et la norme.

Mais cette sensibilité n’est pas une faiblesse. Bien au contraire, c’est un atout brut, vibrant, qui demande seulement à être reconnu, apprivoisé, aligné.


De plus en plus de profils atypiques sortent de l’ombre

Les recherches sur le haut potentiel ont grandement évolué ces dernières années. On ne parle plus seulement de quotient intellectuel, mais de profil global :

  • pensée arborescente,
  • grande capacité d’analyse,
  • intensité émotionnelle,
  • sens de la justice,
  • besoin de sens,
  • hyperesthésie ou sensorialité accrue.

Aujourd’hui, des milliers d’adultes découvrent qu’ils sont HPI-HPE- Zèbres – souvent tardivement – parfois après un « diagnostic » posé sur l’un de leurs enfants, bien souvent après un long parcours de vie en décalage avec les autres, le système ou eux-mêmes.


Hypersensibilité : un signal d’alerte ou de lucidité ?

L’hypersensibilité représente une facette de ce profil. Elle n’est pas une juste une « étiquette » de plus. C’est une manière d’entrer en relation avec le monde :

  • les émotions, sensations sont plus présentes, plus denses, plus fortes,
  • les détails sont perçus avec acuité,
  • les mots, les regards, les non-dits résonnent fort,
  • les bruits ou odeurs sont plus perceptibles, plus envahissants, plus entêtants,
  • le corps parle quand l’esprit veut faire taire,
  • la saturation peut surgir là où les autres restent indifférents.

Cette manière de capter les informations peut rapidement devenir un fardeau…

… alors, bien souvent, on essaie de se sur-adapter, de tout lisser pour « rentrer dans le moule », ou de surperformer pour compenser. Résultats : maux physiques, fatigue chronique, doutes, isolement intérieur.


Et si cette douance était une force mal canalisée ?

L’hypersensibilité, quand elle est reconnue peut devenir :

  • un radar émotionnel ultra fin,
  • une source d’intuition puissante,
  • un accès direct à la vérité, l’authenticité,
  • un levier de connexion humaine rare,
  • une boussole intérieure fiable quand on apprend à la lire.

Coaching atypique, Zèbre, HPI-HPE : le déclic nécessaire

Anaïck Vaillant – Coach professionnelle certifiée – propose un accompagnement sur mesure destiné aux personnes qui se reconnaissent dans ce profil atypique, ou cette hypersensibilité. Elle offre une approche unique mêlant :

  • connaissance du sujet et expérience
  • écoute intuitive et stratégie concrète,
  • respect du rythme intérieur,
  • relecture profonde du parcours de vie,
  • outils adaptés aux fonctionnements atypiques.

Grâce à cet accompagnement, vous pouvez :

  • sortir du brouillard mental
  • transformer votre sensibilité en force
  • apprendre à canaliser vos émotions, les accueillir, les libérer
  • remettre du sens et de la cohérence dans vos choix
  • créer une vie alignée avec votre fonctionnement singulier

Même si vous l’avez toujours entendu, NON, vous n’êtes pas trop ! Vous êtes intensément connecté, intensément humain, intensément vivant !


Etes-vous prêt(e) à vous honorer, à changer votre regard ?

L’hypersensibilité n’est pas un « bug » dans le programme. C’est une autre interface.
Un autre langage.
Une autre manière d’être au monde.

Reconnaître son profil « Zèbre -HPI-HPE », c’est bien souvent le début du soulagement, d’une vraie libération. Et d’une vraie transformation, non pas pour changer, mais pour vous retrouver.

Le coaching atypique n’est pas une méthode miracle.
C’est un espace de clarté, de réconciliation avec soi et de passage à l’actions, pour celles et ceux qui ont longtemps cru qu’ils devaient s’adapter à tout… sauf à eux-mêmes.

Prêt(e) à vous réconcilier avec votre sensibilité et à avancer à votre juste rythme ?
Prenez contact pour un premier échange, simple, humain, sans pression.
Parfois, il suffit d’une vraie rencontre pour que les choses commencent à s’aligner.

Comment la reconnaissance du modèle d’attachement facilite l’expression des émotions ?

Pourquoi certaines relations nous apaisent-elles tandis que d’autres nous bouleversent ? Pourquoi réagissons-nous parfois avec intensité ou, au contraire, nous refermons-nous sur nous-mêmes ? La réponse réside souvent dans notre style d’attachement, façonné dès l’enfance, qui influence notre manière d’aimer, de communiquer et de réguler nos émotions.

Identifier son style d’attachement semble être une étape essentielle pour développer son intelligence émotionnelle, faciliter la communication et construire des relations saines et épanouissantes. C’est ce que nous propose de mieux comprendre Anaïck Vaillant, Coach de vie, à travers cet article.


L’intelligence émotionnelle au service de l’amour vrai

L’intelligence émotionnelle (I.E.) est souvent présentée comme une clé précieuse pour créer des relations profondes et durables. Elle correspond à notre capacité à reconnaître, comprendre et réguler nos émotions, mais aussi à accueillir celles des autres avec empathie.

Mais cette compétence ne va pas de soi. Elle s’enracine dans le style d’attachement intégré au cours des premières années de notre vie : que l’on soit de tendance secure, anxieuse, évitante ou désorganisée, notre manière d’aimer est inévitablement colorée par la relation que nous avons aux émotions.

C’est en prenant conscience de notre fonctionnement affectif – nos peurs, nos réflexes de protection, nos élans d’attachement – que l’on peut réellement commencer à développer une intelligence émotionnelle solide, au service de l’authenticité, de l’amour vrai et de la liberté intérieure.


Les différents « styles d’attachement »

La théorie de l’attachement, développée par John Bowlby, explique comment les premières interactions avec nos figures d’attachement (souvent les parents) influencent notre comportement relationnel à l’âge adulte. Ces expériences précoces déterminent notre capacité à faire confiance, à gérer nos émotions et à établir des liens intimes. Il dénombre 4 styles d’attachement dont un seul est sécurisant :


Attachement « secure« 

  • L’enfant a reçu une attention cohérente, empathique et sécurisante
  • Il a appris que ses besoins seraient entendus et pris en compte
  • À l’âge adulte :
    • Confiance en soi et en l’autre
    • Empathie vis à vis de l’autre
    • Bonne régulation émotionnelle
    • Relations stables, capacité à s’engager

Les 3 styles d’attachement « insécurisants »

  1. Attachement anxieux (ou anxieux-ambivalent)
  • L’enfant a reçu une attention inconstante : parfois disponible, parfois absente ou imprévisible.
  • Il apprend à rester en alerte constante, à décoder les signaux, pour ne pas « perdre » l’amour.
  • À l’âge adulte :
    • Peur de l’abandon, besoin de réassurance permanent
    • Surinterprétation des signaux – hypervigilance émotionnelle
    • Dépendance affective, jalousie, recherche de fusion

2. Attachement évitant

  • L’enfant a grandi avec des figures de soin peu réactives ou émotionnellement distantes ou froides
  • Il comprend qu’il est plus sage – prudent ne pas exprimer ses besoins ou émotions.
  • À l’âge adulte :
    • Évitement de l’intimité relationnelle – comportement de fuite – silence
    • Détachement émotionnel – dissociation – fuite dans l’analyse mentale
    • Difficulté à exprimer ses ressentis, à demander de l’aide, à faire confiance et à s’engager

3. Attachement désorganisé (anxieux ET évitant)

  • L’enfant a connu un contexte traumatique, incohérent ou menaçant (abus, négligence, violence, maltraitance, peur de la figure d’attachement).
  • Il vit un conflit intérieur non résolu : je crains celui ou celle censé me protéger – j’en ai peur.
  • À l’âge adulte :
    • Comportements contradictoires : rapprochement/fuite (peur d’être seul et peur de s’engager)
    • Manque d’empathie
    • Difficulté à établir des relations stables
    • Réactions impulsives, imprévisibles ou disproportionnées

Signes d’immaturité émotionnelle dans les relations

L’immaturité émotionnelle qui découlent d’un style d’attachement « insécurisant » aura une incidence sur la qualité des relations, notamment affectices. Voici quelques signes révélateurs :

  • Difficultés à entrer en relation – sans crainte
  • Incapacité à gérer les conflits de manière constructive
  • Dépendance excessive ou évitement émotionnel
  • Manque d’empathie
  • Réactions impulsives ou disproportionnées
  • Difficulté à reconnaître et à exprimer ses émotions

Clés de développement de l’intelligence émotionnelle en fonction du style d’attachement

Comme nous l’avons compris, l’intelligence émotionnelle ne s’apprend pas dans les livres. Elle se cultive dans l’intimité de nos réactions, là où nos liens mettent en lumière nos blessures, nos peurs… mais aussi notre capacité à les transcender. Voici comment elle peut évoluer selon chaque style d’attachement :

⟢ Attachement sécure : renforcer la régulation naturelle

Ce style, fondé sur une base affective stable, offre un terrain favorable à l’intelligence émotionnelle.

Objectifs :

  • Continuer à exprimer ses émotions avec clarté et calme
  • Maintenir une posture empathique, même face à la détresse de l’autre
  • Prendre soin de ses besoins tout en respectant ceux de l’autre

➡️ Le coaching de vie peut ici aider à affiner l’écoute subtile de soi, éviter l’oubli de soi dans la relation, et développer des liens encore plus conscients.


⟢ Attachement anxieux : apaiser la peur de l’abandon

Le cœur bat vite, la peur de ne pas être – suffisant – aimé – choisi domine, et les émotions font rapidement surface et peuvent envahir l’individu et l’espace relationnel.

Chemins de conscientisation :

  • Apprendre à reconnaître les pensées automatiques en lien avec l’idée « on va me laisser tomber »
  • Se rassurer sans attendre la validation extérieure
  • Stabiliser le sentiment de plénitude intérieur, la confiance en Soi et s’abandoner à plus grand

➡️ Un accompagnement aide à sortir du besoin constant de fusion et à retrouver son axe, sans dépendance affective. Pour plus de clarté sur ce style d’attachement, vous pouvez lire les 2 articles suivants :

Fin du développement personnel, Coaching vers la complétude

La blessure d’abandon : le sentiment de vide


⟢ Attachement évitant : s’ouvrir au contact émotionnel

La protection se manifeste souvent par le repli, la distance (fuite), le silence voire un détachement apparent.

Chemins de conscientisation :

  • Reconnecter avec son ressenti corporel et émotionnel
  • Apprendre à nommer ses besoins et émotions sans crainte de l’intrusion
  • S’autoriser à recevoir du soutien sans perdre son autonomie

➡️ Le coaching de vie est propice pour soutenir cette réouverture du cœur, en toute sécurité, à son rythme. Une approche psycho-corporelle – somato-thérapie, Méthode de libération des cuirasses (MLC) – peut également faciliter le retour au corps et la libération émotionnelle.

Pour faciliter la compréhension de ce style d’attachement « évitant », vous pouvez lire en complément l’article suivant : la blessure de rejet : le droit d’exister.


⟢ Attachement désorganisé : restaurer la cohérence intérieure

Souvent lié à des expériences précoces de confusion ou de danger, ce style mêle de manière paradoxale désir de lien et peur de l’autre.

Chemins de conscientisation :

  • Créer un espace intérieur sécurisant (méditation guidée, sophrologie)
  • Identifier les déclencheurs émotionnels sans se juger
  • Expérience de libération émotionnelle (EFT, méthode NERTI …)
  • Apprendre à rester présent sans se dissocier en cas de stress relationnel

➡️ Un accompagnement offre une approche douce et bienveillante pour reconstruire, pas à pas, un socle de confiance et de sécurité intérieure.


Un choix de transformation possible et à tout âge

Quel que soit notre point de départ, il est possible de cicatriser les blessures liés à l’insécurité de nos premiers attachements, ce qui contribue ainsi à renforcer notre intelligence émotionnelle.
C’est un chemin qui demande de l’engagement et de la responsabilisation, mais qui est aussi profondément libérateur.

En effet, choisir de se regarder avec honnêteté et tendresse, c’est comprendre que nos réactions émotionnelles ne sont pas des failles… mais des portes d’accès à notre propre vérité. C’est un voyage intérieur qui conduit à sa Complétude.

Et ce chemin, vous n’avez pas à le parcourir seul(e).

L’accompagnement qu’Anaïck vous offre est un espace sûr, doux et enveloppant qui transforme vos schémas affectifs en profondeur – vous permet de valider de nouveaux possibles – de créer des liens qui vous ressemblent, vraiment.

➡️ Envie de vous sentir plus serein(e), libre et en lien ?
Prenez contact pour un premier échange bienveillant